Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIES

Télécommunications - Hariri hésite encore entre - la privatisation et la libéralisation

L’intervention du Premier ministre Rafic Hariri hier au troisième congrès arabo-international des communications et de la technologie informatique était axée sur l’éventualité d’une privation du secteur des télécommunications au Liban. En réponse aux questions de l’assistance réunie pour la deuxième journée consécutive à l’hôtel Phoenicia, il s’est prononcé pour «la libéralisation» de ce secteur. Selon lui, il convient cependant de réfléchir aussi à sa «privatisation» de manière à assurer des rentrées au Trésor. C’est une affaire qui continue à être étudiée «car le gouvernement ne peut pas bâtir une politique à court terme», a-t-il ajouté. Concernant l’augmentation de la taxe sur le téléphone mobile, M. Hariri a justifié cette mesure en déclarant : «Il ne faut pas oublier que l’État a besoin de recettes. Personnellement, je suis pour l’abolition des taxes et des impôts, mais il ne faut pas exagérer», a-t-il précisé tout en rappelant que le tarif de la communication au Liban reste tout de même moins cher que dans les pays arabes et européens.
L’intervention du Premier ministre Rafic Hariri hier au troisième congrès arabo-international des communications et de la technologie informatique était axée sur l’éventualité d’une privation du secteur des télécommunications au Liban. En réponse aux questions de l’assistance réunie pour la deuxième journée consécutive à l’hôtel Phoenicia, il s’est prononcé...