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Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS

Dépôt d’armes - « Une affaire montée - de toutes pièces », affirment les FL

Les Forces libanaises (FL - dissoutes) ont dénoncé hier «le scénario qui vise à les faire passer pour une partie opposée à la paix civile, à l’heure où tous les efforts sont déployés par les forces et les parties libanaises, toutes communautés confondues, pour réclamer l’ouverture du dossier de la réconciliation nationale et du véritable dialogue entre les Libanais quelles que soient leurs tendances politiques». Évoquant l’affaire de la cache d’armes découverte le 24 janvier dernier dans le projet d’habitat Breij, qui leur a été attribuée, les FL ont affirmé que «les habitants du projet étaient capables de témoigner de ce qu’ils ont vu cette nuit-là : un camion militaire contenant à son bord ce qui a été photographié par la suite», à savoir les munitions. Les FL ont par ailleurs estimé que «de tels procédés staliniens ne favoriseront pas la renaissance du Liban mais sa régression permanente». Elles se sont en outre étonnées de «l’émergence de ce dépôt de munitions, découvert une première fois au début des années 90, au moment où l’affaire de la libération de Samir Geagea est revenue sur le tapis, tant au niveau des personnalités politiques que du peuple». Les FL ont enfin rappelé que deux de leurs sympathisants, Maroun Géries Tok, arrêté le 25 janvier, et Georges Halkiss Tok, arrêté le 29 janvier, n’avaient toujours pas été relâchés. «Les deux hommes sont toujours détenus au ministère de la Défense alors qu’il n’existe pas de mandat d’arrêt à leur encontre», ont-elles conclu.
Les Forces libanaises (FL - dissoutes) ont dénoncé hier «le scénario qui vise à les faire passer pour une partie opposée à la paix civile, à l’heure où tous les efforts sont déployés par les forces et les parties libanaises, toutes communautés confondues, pour réclamer l’ouverture du dossier de la réconciliation nationale et du véritable dialogue entre les Libanais...