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Actualités - REPORTAGES

De la prudence avant tout !

Parmi les règles sacro-saintes à respecter, celle par exemple de remonter à la surface de l’eau selon un rythme approprié c’est-à-dire 18 mètres par minute, en effectuant une pose de 3 minutes 5 mètres avant d’émerger. Car, toute ascension rapide qui n’est pas accomplie selon cette méthode peut provoquer ce que l’on appelle la maladie de la décompression, dont les répercussions sur la santé peuvent être extrêmement graves dans certains cas. Autre règle majeure à laquelle tous les plongeurs devraient souscrire, celle de respecter les «profondeurs limites» qui doivent être sondées dans un rythme-temps bien défini (par exemple 20 mètres en 45 minutes ). Une fois de plus, ces règles ne peuvent en aucun cas être ignorées sans exposer le plongeur à ce qu’on appelle une accumulation d’un taux d’azote élevé dans le sang, d’où un risque imminent d’être affecté par le phénomène de «l’ivresse des profondeurs». Celle-ci n’est pas dangereuse en elle-même, mais par l’altération du jugement et la perte de coordination qu’elle provoque, elle, est très dangereuse et menace la sécurité du plongeur. Des tables PADI (ou autres) pré-établies fournissent les informations nécessaires pour organiser des plongées, et ce, en restant à des niveaux de saturation en azote acceptables. Même chose pour ce qui concerne les profondeurs maximales tolérées. Enfin, outre le «langage des signes» qui constitue le bréviaire par excellence du plongeur (ne pas oublier qu’on ne peut pas parler ou crier sous l’eau) d’autres mesures de sécurité sont à prendre lors d’une expédition dans les profondeurs, à savoir celle d’avoir un «buddy» ou compagnon de route qui ne vous quittera pas d’une semelle ( ou d’un coup de palme dans ce cas-là ). Le «buddy» est votre acolyte par excellence, qui viendra vous porter secours au moindre problème ( et vice versa). Si la plongée est synonyme de quiétude et de silence, elle renforce par ailleurs la solidarité et l’esprit de groupe.
Parmi les règles sacro-saintes à respecter, celle par exemple de remonter à la surface de l’eau selon un rythme approprié c’est-à-dire 18 mètres par minute, en effectuant une pose de 3 minutes 5 mètres avant d’émerger. Car, toute ascension rapide qui n’est pas accomplie selon cette méthode peut provoquer ce que l’on appelle la maladie de la décompression, dont les...