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Actualités - CHRONOLOGIE

Egypt-Air L'hypothèse d'un acte criminel refait surface

Le rédacteur en chef de Jane’s a estimé que l’examen préliminaire d’une des boîtes noires du Boeing d’Egypt Air soulève la possibilité d’un acte criminel. «Je pense que c’est une question qui doit être posée, et à laquelle on doit accorder plus d’importance maintenant que lorsque l’avion s’est écrasé», écrit Chris Yates, rédacteur en chef de Jane’s Airport Security, publication annuelle sur les normes de sécurité dans l’aéronautique. Selon les experts de la sécurité aéronautique américaine, les données du vol contenues dans la première boîte noire montrent que le pilote automatique a été désactivé avant que l’avion effectue une descente contrôlée de 33 000 à 19 000 pieds (11 000 à 5 800 mètres). Pour Yates, la question des raisons de la désactivation du pilote automatique mérite d’être posée. «L’avion a pu subir une décompression et dans ce cas l’équipage a dû descendre à une altitude où les gens pouvaient respirer sans aide», ajoute le rédacteur en chef dans son éditorial. «Qu’est-ce qui a pu provoquer cette décompression ? Une balle tirée dans la cabine causerait cela... Nous en sommes maintenant au stade où les autorités fédérales doivent étudier le nom et les antécédents des passagers du vol», écrit Yates. Au Caire, les journaux égyptiens sont nombreux à évoquer la théorie d’un complot, mais ils diffèrent sur l’identité de ses auteurs.
Le rédacteur en chef de Jane’s a estimé que l’examen préliminaire d’une des boîtes noires du Boeing d’Egypt Air soulève la possibilité d’un acte criminel. «Je pense que c’est une question qui doit être posée, et à laquelle on doit accorder plus d’importance maintenant que lorsque l’avion s’est écrasé», écrit Chris Yates, rédacteur en chef de Jane’s...