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Actualités - CHRONOLOGIE

Expositions Maya Eid à la galerie Epreuve d'artiste

Des lames rectangulaires découpées dans un bois foncé. Une ligne qui se recourbe au niveau de la tête, et le personnage ressort. Taillés sur mesure, des hommes et des femmes, tour à tour souriants ou soucieux, prennent forme. Le visage est clairement défini. La silhouette se confond dans le bois. Des stries blanches ou marron habillent les protagonistes qui évoluent seuls, à deux ou même à trois. Sur fond de coupures de journaux, comme pour raconter leur vie. D’ailleurs, ces figures expressives ont l’air de s’adresser à qui veut bien prêter… l’œil. Les œuvres de Maya Eid, mixed-media sur bois, seront exposées à la galerie Épreuve d’artiste jusqu’au 15 mai. La photographie à l’honneur au Centre culturel français Dans le cadre de l’année «Beyrouth , capitale culturelle du monde arabe», le Centre culturel français présente, jusqu’au 21 mai, deux expositions de photos. – Le patrimoine d’une rive à l’autre, une collection de photos qui représentent dans toute leur grandeur, différents monuments à travers le monde. À Arles et Orange, des vestiges de l’ère romaine : arènes et théâtres antiques. Au Maroc, des mosquées anciennes dans une médina illuminée en pleine nuit. Au Liban, les colonnes de Baalbeck apparaissent dans toute leur splendeur. À Tyr, des générations de pêcheurs face à la mer. Et des enfants tout sourire près des bateaux amarrés au port. – Quotidien sans frontières de Mounir Nasr. Le photographe a travaillé pour l’Organisation des Nations unies pendant vingt ans. Il a ainsi baladé son objectif dans diverses villes du monde. Ses clichés se définissent en deux mots : simplicité et véracité . Un artisan à Damas, les teintureries de Gaza, les colonnes de Petra ou les pyramides d’Égypte. Au Liban, trictrac et narguilé de rigueur pour deux hommes, l’un en seroual et tarbouche et l’autre habillé à l’européenne. À Bécharré, un vieil homme près d’un arbre centenaire. Entre Beyrouth et Damour, les regards purs d’enfants photographiés sur le vif se mêlent aux visages émaciés d’aïeux qui trouvent encore la force de sourire. Et finalement, Mounir Nasr nous entraîne à travers les rues bondées de New York, ou dans le calme des jardins publics allemands, avant de nous éblouir par la façade grandiose du palais de Buckingham.
Des lames rectangulaires découpées dans un bois foncé. Une ligne qui se recourbe au niveau de la tête, et le personnage ressort. Taillés sur mesure, des hommes et des femmes, tour à tour souriants ou soucieux, prennent forme. Le visage est clairement défini. La silhouette se confond dans le bois. Des stries blanches ou marron habillent les protagonistes qui évoluent seuls, à...