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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Pavarotti au Liban Rectificatif

L’interview intitulée «L’affaire Pavarotti», publiée par un mensuel libanais, comporte des propos diffamatoires et des allégations erronées relevant de la fiction. Dans un souci de démontrer la pure vérité, et loin de toute polémique médiatique, un bref rectificatif s’impose. Il n’y a pas d’affaire Pavarotti. Il y a un contrat signé en date du 17 mars 1998 par la société V Productions, dont les responsables ne sont et n’ont jamais été l’intermédiaire de quiconque. Tous les documents le prouvent. Ce sont ces mêmes responsables qui, avec le We Group, avaient signé et exclusivement produit le fameux concert de M. José Carreras en avril 1997, le rôle du média ayant été la promotion de l’événement et une participation minoritaire au projet. Tous les documents le prouvent. Des vedettes de l’envergure de Pavarotti et de Carreras n’acceptent de traiter qu’avec des professionnels de productions de concerts, après s’être assurés de leurs capacités et de leur crédibilité. Ce sont précisément les interventions de personnes étrangères à la profession qui sèment le doute. La signature du contrat de Pavarotti a été précédée de longues négociations menées exclusivement par le bureau de V Productions à Paris, et de trois visites de délégations envoyées par le grand ténor à Beyrouth à l’effet de finaliser les moindres détails avec les équipes techniques et celles du We Group, et ce à l’exclusion de toute autre partie. Tous les documents le prouvent. Toutes décisions concernant le concert du Maestro Pavarotti à Beyrouth doivent être prises par l’unique partie contractante, V Productions, qui, d’ailleurs, informera officiellement et au moment opportun le public libanais des développements de ce grand événement. (Publi-information)
L’interview intitulée «L’affaire Pavarotti», publiée par un mensuel libanais, comporte des propos diffamatoires et des allégations erronées relevant de la fiction. Dans un souci de démontrer la pure vérité, et loin de toute polémique médiatique, un bref rectificatif s’impose. Il n’y a pas d’affaire Pavarotti. Il y a un contrat signé en date du 17 mars 1998 par la société...