
Les silos détruits du port de Beyrouth et le siège d’Électricité du Liban en arrière-plan, le 30 mars 2025, vus depuis le front de mer de la capitale. Photo d’illustration Matthieu Karam/L’Orient-Le Jour
Les infrastructures portuaires et les entreprises du pays pourraient profiter de la reconstruction en Syrie, dont le coût est estimé entre 250 et 400 milliards de dollars.
OLJ / Par Fouad GEMAYEL, le 15 mai 2025 à 00h00
Les silos détruits du port de Beyrouth et le siège d’Électricité du Liban en arrière-plan, le 30 mars 2025, vus depuis le front de mer de la capitale. Photo d’illustration Matthieu Karam/L’Orient-Le Jour
Nous oublions pourtant que Chareh , l'ex jihadiste, en reconnaissant sans condition Israel ,avec Jérusalem comme capitale , ouvre la voie à d'autres pays pour en faire de même ! Chareh aurait aussi acceoté l'idée d'installer des bases américaines dans une Syrie troublée par les dissensions ethniques . La Syrie , creuset du jihadisme international pourrait-elle échapper aux convoitises diffuses de la Turquie et d'Israel ? Il est donc trop tôt de parler de reprise économique et de reconstruction de fe pays déchiré et le Liban pourrait en souffrir plutôt que d'en profiter . Prudence !
Tout cela est tres bien. Il faudrait aussi inclure le retour des deplaces syriens au Liban non?
Ça veut surtout dire qu’une grande majorité des ouvriers syriens à bas prix vont avoir meilleur compte à retourner en Syrie pour reconstruire leur pays, et que donc toutes les constructions en cours ou planifiées au Liban vont soit s’arrêter soit voir leurs coûts exploser…
Nous oublions pourtant que Chareh , l'ex jihadiste, en reconnaissant sans condition Israel ,avec Jérusalem comme capitale , ouvre la voie à d'autres pays pour en faire de même ! Chareh aurait aussi acceoté l'idée d'installer des bases américaines dans une Syrie troublée par les dissensions ethniques . La Syrie , creuset du jihadisme international pourrait-elle échapper aux convoitises diffuses de la Turquie et d'Israel ? Il est donc trop tôt de parler de reprise économique et de reconstruction de fe pays déchiré et le Liban pourrait en souffrir plutôt que d'en profiter . Prudence !
08 h 04, le 15 mai 2025