Le secrétaire général du Hezbollah Naïm Kassem a qualifié lundi la frappe israélienne qui avait touché la veille la banlieue sud de Beyrouth d'« injustifiée », estimant qu'il s'agit d'une « agression politique visant à modifier les règles en vigueur ».

Les détails ici.

Les pillages ont repris et augmentent dans la bande de Gaza qui fait face à une situation humanitaire "désespérée" en raison notamment du blocage de l'aide humanitaire depuis début mars, a indiqué un porte-parole de l'ONU.

"Il y a une augmentation des informations faisant état de pillages, dans un contexte de situation humanitaire désespérée et d'une pénurie de marchandises", a déclaré Stéphane Dujarric, évoquant notamment les pillages ce week-end d'un camion à Deir al-Balah et d'un entrepôt dans la ville de Gaza. Il a indiqué ne pas avoir d'information sur les auteurs de ces pillages. "Face aux pilleurs, on ne pose pas de questions", a-t-il noté.

Mais "ce que je peux dire, c'est que pendant la période transitoire du cessez-le-feu, quand l'aide entrait, nous n'avons reçu aucune information sur des pillages", a-t-il insisté. "Que ce soit des gens qui volent par désespoir ou des gangs criminels qui volent pour vendre, je ne sais pas, mais ce que nous savons c'est qu'il y a de moins en moins de marchandises à Gaza".

Gaza : « Dans 12 mois, la guerre sera terminée », déclare un ministre israélien

Le ministre israélien des Affaires stratégiques, Ron Dermer, a déclaré que la guerre de Gaza se terminerait « dans 12 mois », dans des propos relayés par la radio publique israélienne.

Ce dernier doit pourtant se rendre ce lundi soir au Caire à la tête d’une délégation pour mener de nouveaux pourparlers avec les médiateurs égyptiens et qataris sur une éventuelle nouvelle trêve dans la bande de Gaza, a rapporté Reuters.

Par ailleurs, le journal israélien Israel Hayom a cité un haut responsable de la sécurité israélienne qui a déclaré que le Premier ministre Benjamin Netanyahu prévoyait de mettre fin à la guerre de Gaza « d'ici au mois d'octobre suivant ».

Une délégation israélienne attendue ce lundi au Caire pour de nouveaux pourparlers sur un cessez-le-feu à Gaza

Le chef des services de renseignement égyptiens, le général Hassan Mahmoud Rashady, doit rencontrer ce lundi au Caire une délégation israélienne dirigée par le ministre des Affaires stratégiques, Ron Dermer, a rapporté lundi la chaîne de télévision publique égyptienne Al Qahera News TV, selon Reuters.

Cette rencontre s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par les médiateurs qataris et égyptiens pour rétablir un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, a précisé la chaîne.

Le chef du Shin Bet israélien démissionnera en juin

Le chef des renseignements intérieurs israéliens du Shin Bet, Ronen Bar, a annoncé qu'il quittera ses fonctions le 15 juin, selon plusieurs médias israéliens. Ce dernier avait été limogé le mois dernier par le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, mais avait pu conserver son poste grâce à une décision de la Cour suprême.

Téhéran propose des pourparlers sur le nucléaire avec plusieurs pays européens

L'Iran a proposé d'organiser une rencontre conjointe avec la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne à Rome, possiblement le vendredi 2 mai, pour mener des pourparlers de son programme nucléaire, en parallèle des négociations en cours avec les États-Unis, ont indiqué des diplomates à Reuters.

Les trois pays, parties européennes au précédent accord sur le nucléaire iranien conclu à Vienne en 2015, n'ont pas encore répondu à cette proposition, précise l’agence.

Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne Avichay Adraee a publié sur X des scènes montrant, selon lui, le ciblage par l'armée israélienne dimanche "de l'infrastructure utilisée par le Hezbollah pour stocker des missiles de précision dans la banlieue sud de Beyrouth"

"Hier, l'armée israélienne a attaqué et détruit une infrastructure utilisée pour stocker des missiles de précision appartenant au groupe terroriste du Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth. Le mois dernier, elle avait attaqué plus de 50 cibles terroristes à travers le Liban, suite à des violations de l'accord entre Israël et le Liban qui constituaient une menace pour Israël et ses citoyens", a-t-il ajouté.

Il a enfin affirmé que l'armée israélienne "continuera à agir pour éliminer toute menace contre l'État d'Israël et ses citoyens et pour empêcher la reconstruction du Hezbollah terroriste".

Iran : Le bilan de l'explosion du port monte à 65 morts, selon les autorités iraniennes

L'explosion survenue samedi dans le plus grand port commercial d'Iran a fait au moins 65 morts, selon un nouveau bilan communiqué lundi par les médias d'Etat, après un précédent bilan faisant état de 46 personnes tuées.

"Le bilan des morts dans l'incendie tragique (du port Chahid Rajaï) a atteint 65 morts", auxquels s'ajoutent plus de 1 000 blessés, a indiqué Mohammad Ashouri, le responsable de la province d'Hormozgan (sud) à un millier de kilomètres au sud de Téhéran, cité par les médias d'Etat.

Yémen : Les houthis promettent de poursuivre leurs attaques en mer Rouge après les frappes américaines

Les rebelles houthis ont promis de poursuivre leurs attaques en mer Rouge et en mer d'Arabie après les bombardements de l’aviation américaine, a déclaré Yahya Saree, porte-parole militaire du groupe, dans une déclaration télévisée lundi.

Ces déclarations interviennent après une attaque aérienne des États-Unis qui a tué au moins 68 personnes dans un centre de détention pour migrants africains dans le nord du Yémen, l'une des plus meurtrières depuis six semaines.

Par ailleurs, huit personnes ont été tuées dans la capitale Sanaa des suites d’un autre raid aérien, qui a également fait plusieurs blessés, a indiqué le mouvement rebelle.

L'État islamique tue cinq combattants kurdes dans l'est de la Syrie

Le groupe État islamique a déclaré lundi avoir tué cinq combattants kurdes lors d'une attaque menée dans l'est de la Syrie, à Deir ez-Zor, selon le bureau de presse de l'organisation djihadiste.

Le porte-parole des Forces démocratiques syriennes dirigées par les Kurdes, Farhad Shami, a confirmé auprès de l'agence Reuters que cinq membres des forces de sécurité kurdes syriennes, connues sous l’appellation "Asayish", ont été tués dans l'attaque, qu'il a décrite comme « l'une des plus meurtrières » contre les depuis un certain temps.

Récemment, les Forces démocratiques syriennes, sous commandement kurde, ont organisé une campagne de sécurité contre les "cellules dormantes" de l'Etat Islamique dans le camp d'al-Houl, près de la frontière irakienne. La ville de Deir el-Zor avait été capturée par le groupe État islamique en 2014, mais l'armée syrienne l'a reprise en 2017.

Liban-Sud

Un drone israélien a largué une grenade assourdissante près d'un berger à proximité d'un poste de l'armée libanaise dans les environs de Birket Naqqar, au sud de Chebaa (caza de Hasbaya), sans le blesser, selon notre correspondant au Liban-Sud.

Le bilan des frappes israéliennes à Gaza continue de s’alourdir

Le bilan humain des bombardements israéliens à Gaza de ces dernières 24 heures a été revu à la hausse par le ministère de la Santé de Gaza, qui annonce désormais qu’au moins 71 Palestiniens ont été tués durant cette période, auxquels s’ajoutent 153 blessés.

Un attaque a notamment visé une maison à Beit Lahiya, dans le nord de l’enclave, tuant 10 personnes, dont un prisonnier palestinien, Abdel-Fattah Abu Mahadi, qui avait été libéré dans le cadre du cessez-le-feu. Sa femme, deux de leurs enfants et un petit-enfant figurent également parmi les victimes, selon la direction de l'hôpital indonésien qui a reçu les corps, indique Al Jazeera.

Dimanche soir, un raid a ciblé une autre maison à Khan Younès, au sud, faisant également 10 morts, dont cinq frères et sœurs, dont les plus jeunes étaient âgés d'à peine quatre ans, d’après l'hôpital Nasser.

Au total, 52 314 Palestiniens ont été officiellement tués depuis le début de l'offensive israélienne le 7 octobre 2023, qui a également fait 117 792 blessés.

Iran : L’explosion du port grand port commercial du pays était due à la "négligence", déclare le ministre iranien de l’intérieur

Le ministre iranien de l'intérieur, Eskandar Momeni, a déclaré que l'explosion survenue samedi dans le plus grand port commercial du pays était due à la "négligence" et au non-respect des mesures de sécurité.

"Certains coupables ont été identifiés et convoqués (...). Il y a eu des manquements, notamment le non-respect des mesures de sécurité et la négligence en terme de défense passive", a déclaré M. Momeni à la télévision d'État, ajoutant que les matériaux qui étaient stockés auraient dû être dispersés.

Gaza : Au moins 57 Palestiniens tués par Israël ces dernières 24h

Le ministère de la santé de Gaza a annoncé que 57 personnes ont été tuées par des frappes israéliennes menées à travers l’enclave palestinienne ces dernières 24 heures.

Le communiqué ajoute que 14 corps de victimes tuées lors de précédents bombardements ont été extraits des décombres et que 145 personnes ont été blessées.

Depuis la reprise de l’offensive israélienne le 18 mars, rompant le cessez-le-feu, au moins 2 222 Palestiniens ont été tués et 5 751 ont été blessés, selon les autorités de Gaza.

La France demande à Israël d'"arrêter le massacre qu'il y a aujourd'hui à Gaza"

La France demande à Israël d'"arrêter le massacre qu'il y a aujourd'hui à Gaza", a déclaré la porte-parole du gouvernement Sophie Primas.

Elle a précisé devant la presse que Paris demandait aussi la libération des otages encore retenus par le Hamas dans le territoire, et une "démilitarisation" du mouvement palestinien qui le contrôle, ainsi qu'un "renouveau de l'Autorité palestinienne". Il s'agit, selon elle, "des conditions pour aller vers la reconnaissance" d'un Etat palestinien, que le président français Emmanuel Macron a envisagé pour le mois de juin.

La situation au Liban-Sud

- Une frappe de drone israélien a visé un terrain près d'une station-service de Aïtaroun (caza de Bint Jbeil), sans faire de victimes, rapporte notre correspondant. 

- Un quartier du village de Tayr Debba (caza de Tyr) a été évacué par précaution, après qu'une habitante a reçu un appel téléphonique la sommant d'évacuer le bâtiment dans lequel elle vit, avant un « bombardement imminent ». Par mesure de précaution, les résidents de la zone village ont quitté leurs maisons et décidé de retirer leurs enfants de l’école locale.

Procédure de la CIJ sur Gaza : un exemple de la "persécution systématique" d'Israël, selon Saar

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a dénoncé la "persécution systématique" d'Israël après l'ouverture aux Pays-Bas d'une audience de la Cour internationale de justice (CIJ) concernant les obligations humanitaires d'Israël envers les Palestiniens.

M. Saar a affirmé que les procédures de la CIJ s'inscrivaient "dans le cadre d'une persécution et d'une délégitimation systématiques d'Israël", plus de 50 jours après l'instauration d'un blocus total sur l'aide entrant dans la bande de Gaza. Il a aussi fustigé les Nations unies, dont dépend la CIJ, estimant que c'était "l'ONU et l'Unrwa qui devraient être sur le banc des accusés aujourd'hui, pas Israël", faisant allusion à l'agence onusienne chargée des réfugiés palestiniens.

Ouverture des audiences devant la CIJ : le représentant palestinien affirme qu'Israël utilise le blocage de l'aide comme "arme de guerre"

Le représentant de l'Etat de Palestine a affirmé à la Cour internationale de justice (CIJ) qu'Israël utilisait le blocage de l'aide humanitaire comme "arme de guerre" à Gaza. "La faim est ici. L'aide humanitaire est en train d'être utilisée comme une arme de guerre", a déclaré devant les juges de la CIJ Ammar Hijazi, représentant de l'État de Palestine auprès des organisations internationales. "Toutes les boulangeries de Gaza soutenues par les Nations unies ont été contraintes de fermer leurs portes. Neuf Palestiniens sur 10 n'ont pas accès à l'eau potable", a déclaré M. Hijazi. "Les locaux des Nations unies et d'autres agences internationales sont vides", a-t-il ajouté.

Israël ne participe pas aux audiences mais son allié américain fera une déposition mercredi.

Le Yémen rouvre son ambassade à Damas

Le gouvernement yéménite, reconnu par la communauté internationale, a rouvert hier dimanche son ambassade à Damas, qui était depuis 2016 et jusqu'à la chute du régime de Bachar el-Assad, aux mains des rebelles houthis. L'information a été confirmée au média Asharq al-Awsat par le vice-ministre yéménite des Affaires étrangères, Moustapha el-Noumane, qui estime que cette réouverture marque un nouveau chapitre dans les relations entre les deux pays, avec la nomination future d'ambassadeurs.

Le bilan des frappes américaines sur un centre de détention de migrants au Yémen monte à 68 morts

Des médias des rebelles houthis au Yémen ont affirmé que le bilan des frappes américaines ayant visé un centre de détention de migrants dans le nord du Yémen était monté à 68 morts.

"La défense civile a annoncé que 68 migrants africains avaient été tués et 47 blessés dans l'agression américaine ayant visé un centre (abritant des) migrants illégaux dans la ville de Saadah", a rapporté la chaîne de télévision des rebelles, Al-Massirah. Ces frappes ont porté à 228 le nombre de morts à la suite de frappes américaines au Yémen depuis la mi-mars, selon un décompte de l'AFP basé sur les annonces des Houthis.

La reprise de la guerre à Gaza a "déclenché un nouvel enfer", affirme le CICR

La reprise de la guerre à Gaza a "déclenché un nouvel enfer" dans le territoire palestinien où Israël est en guerre contre le Hamas depuis son attaque le 7 octobre 2023, a averti le directeur général du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

"Gaza subit et endure des morts, des blessés, des déplacements multiples, des amputations, des séparations, des disparitions, des famines et un déni d'aide et de dignité à grande échelle, et juste au moment où le cessez-le-feu (...) laissait croire aux gens qu'ils avaient survécu au pire, un nouvel enfer s'est déclenché", a déclaré Pierre Krähenbühl lors d'une conférence sur la sécurité à Doha.

L'armée libanaise fait exploser des munitions à Hadath, dans la banlieue sud de Beyrouth

Alors que l'armée avait annoncé qu'elle allait faire exploser des munitions à Hadath, dans la banlieue sud de Beyrouth, après la frappe menée la veille par l'armée israélienne, des détonations ont effectivement été entendues dans la zone, selon les médias locaux.

La CIJ doit ouvrir les audiences sur les obligations humanitaires d'Israël

La Cour internationale de justice (CIJ) ouvrira dans la journée une semaine d'audiences consacrées aux obligations humanitaires d'Israël envers les Palestiniens, plus de 50 jours après l'instauration d'un blocus total sur l'aide entrant dans la bande de Gaza ravagée par la guerre. Les représentants des Nations unies entameront un marathon de cinq jours à la CIJ, la plus haute juridiction de l'ONU située à La Haye (Pays-Bas), à 10H00 (08H00 GMT) devant un panel de 15 juges. L'Etat de Palestine sera le premier à faire une déposition, pendant la majeure partie de la journée. Cette semaine, 38 autres pays, dont les Etats-Unis, la Chine, la France, la Russie et l'Arabie saoudite, ainsi que la Ligue des Etats arabes, l'Organisation de la coopération islamique et l'Union africaine, présenteront leurs dépositions.

Huit morts dans les frappes américaines à Sanaa, 30 dans le bombardement d'un centre de détention de migrants

Des médias des rebelles houthis au Yémen ont affirmé ce matin que des frappes américaines avaient visé un centre de détention de migrants à Saadah, leur fief dans le nord du pays, faisant au moins 30 morts.

"Trente corps ont été retirés des décombres dans un centre de détention de migrants africains, et les équipes de la défense civile et du Croissant-Rouge poursuivent leurs efforts sur les lieux du crime américain", a affirmé la chaîne de télévision des rebelles, Al-Massirah, qui cite également un communiqué du ministère de l'Intérieur houthi faisant état de "dizaines de morts et de blessés".

Par ailleurs, dans la nuit, de nouvelles frappes sur la banlieue de la capitale Sanaa ont fait au moins huit morts ainsi que des blessés, a annoncé le groupe. 

Washington dit avoir frappé 800 cibles au Yémen depuis mi-mars

Les États-Unis ont frappé plus de 800 cibles au Yémen depuis mi-mars, tuant des centaines de "combattants" parmi les rebelles houthis, dont des membres de la direction du groupe, a déclaré hier l'armée américaine. Les forces américaines pilonnent les houthis quasi quotidiennement depuis le 15 mars dans le cadre de l'opération "Rough Rider" destinée à faire cesser la menace que les rebelles font peser sur la mer Rouge et le golfe d'Aden, perturbant le commerce mondial. "Depuis le début de l'opération Rough Rider, l'USCentcom a frappé plus de 800 cibles. Ces frappes ont tué des centaines de combattants houthis et de nombreux leaders houthis", a indiqué le Centre américain de commandement pour le Moyen-Orient dans un communiqué.

Malgré les bombardements, les houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen et sont en guerre depuis 2015 contre une coalition menée par l'Arabie saoudite qui soutient le gouvernement reconnu internationalement, continuent de revendiquer des attaques contre des navires américains et israéliens en représailles contre la guerre à Gaza. Toutefois, "bien que les houthis aient continué d'attaquer nos vaisseaux, nos opérations ont dégradé la cadence et l'efficacité de leurs attaques. Les tirs de missiles balistiques ont chuté de 69%", tandis que les attaques de drones-suicides "ont baissé de 55%", souligne le Centcom.

Cordon sécuritaire dans la banlieue sud de Beyrouth

Dans la banlieue sud de Beyrouth, un cordon sécuritaire a été établi dans la soirée autour du lieu de la frappe israélienne menée plus tôt dans l'après-midi, sur un hangar du quartier de Hadath dans lequel l'armée israélienne a accusé le Hezbollah d'avoir stocké des "missiles de précision". 

Les mesures de sécurité, mises en place par le parti selon les médias locaux, ont fait suite à un message du porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, qui avait accusé le Hezbollah d'avoir "non seulement stocké des missiles de précision parmi les civils", mais met également sa base populaire à risque "en les envoyant sur le site de la frappe, qui contient des restes de missiles et d'explosifs". Le parti n'a pas commenté les accusations de l'armée israélienne. 

Frappe israélienne sur Mjeidiyé au Liban-Sud

Dimanche soir, un drone israélien a tiré un missile sur une zone située face à une caserne de l'armée libanaise dans la plaine de Mjeidiyé, dans le caza de Hasbaya au Liban-Sdud, selon les informations de notre correspondant Mountasser Abdallah. Vers 23h, des tirs de mitrailleuse ont visé les environs de Kfarchouba, dans le même caza. 

Bonjour et bienvenue sur notre couverture en direct de la situation au Moyen-Orient, en particulier au Liban.

Nous couvrirons également la situation au Yémen, à Gaza, où Israël poursuit son offensive aérienne et terrestre, ainsi qu’en Israël, en Cisjordanie occupée, et en Syrie.