Bombes à sous-munitions : toute zone à risque doit être « dépolluée » avant le retour des civils, plaide un expert
« Le problème de ces munitions n’est plus véritablement le risque de non-explosion, mais le fait qu’elles soient non discriminantes », affirme le lieutenant-colonel Fabien Tabarly.
OLJ / Propos recueillis par Nemtala EDDÉ, le 03 décembre 2024 à 14h20
Une photo prise depuis le caza de Marjeyoun (Liban-Sud) montre la destruction à Khiam, le 28 novembre 2024, un jour après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah. Photo AFP
Au lendemain du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah le 27 novembre, les autorités libanaises ont exhorté les déplacés rentrant massivement chez eux à éviter de se rendre dans , arguant de la présence de bombes à fragmentation et d’autres...
Au lendemain du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah le 27 novembre, les autorités libanaises ont exhorté les déplacés rentrant massivement chez eux à éviter de se rendre dans , arguant de la présence de bombes à fragmentation et d’autres...
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