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Sport - Basket

Sagesse-Riyadi : « notre bol d’air frais » au Liban

Après s'être affrontées 12 fois entre 2023 et 2024, les deux équipes ont encore la possibilité de se retrouver en finale du tournoi continental qui se dispute actuellement au Qatar.

Sagesse-Riyadi : « notre bol d’air frais » au Liban

Des supporters de Sagesse regardant Thon Maker prendre un tir lors du match entre Sagesse et Riyadi en WASL, le lundi 27 mai à Doha, au Qatar. Photo FIBA/WASL

« Nous n’en avons pas marre de gagner. Chaque nouveau titre nous apporte autant de joie que les précédents, surtout lorsqu’il s’agit de battre Sagesse. » Khodor a beau avoir vu son équipe dominer son rival historique pour la dixième fois de la saison le 27 mai au Qatar, lors du « Final 8 » de la Super-Ligue ouest-asiatique (WASL), l’ombre de la lassitude de la victoire est encore loin de planer au-dessus de Manara. Présent dans la « fan zone » installée aux abords de l’arène Saëb Salam le 21 mai pour permettre à des milliers de fans de suivre sur place le 35e sacre national de Riyadi (le 18e dans l’ère moderne), ce supporter invétéré des Jaunes ne boude pas son plaisir d’assister aux succès répétés de la bande à Waël Arakji face aux hommes de Ghazir. « La fête était encore plus belle cette année. Battre son plus grand...
« Nous n’en avons pas marre de gagner. Chaque nouveau titre nous apporte autant de joie que les précédents, surtout lorsqu’il s’agit de battre Sagesse. » Khodor a beau avoir vu son équipe dominer son rival historique pour la dixième fois de la saison le 27 mai au Qatar, lors du « Final 8 » de la Super-Ligue ouest-asiatique (WASL), l’ombre de la lassitude de la victoire est encore loin de planer au-dessus de Manara. Présent dans la « fan zone » installée aux abords de l’arène Saëb Salam le 21 mai pour permettre à des milliers de fans de suivre sur place le 35e sacre national de Riyadi (le 18e dans l’ère moderne), ce supporter invétéré des Jaunes ne boude pas son plaisir d’assister aux succès répétés de la bande à Waël Arakji face aux hommes de Ghazir. « La fête était encore...
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