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Économie - ÉCLAIRAGE

Ce qu’il faut comprendre des conclusions de la visite du FMI au Liban

Les experts du Fonds ont prévu de revenir en septembre pour faire un nouveau bilan de santé de l’économie du pays.

Ce qu’il faut comprendre des conclusions de la visite du FMI au Liban

Le Premier ministre sortant Nagib Mikati recevant le chef de mission du FMI pour le Liban Ernesto Ramirez Rigo, lundi 20 mai 2024, au Grand Sérail. Photo ANI

Il n’y avait pas de grande surprise à attendre de la visite de la délégation du Fonds monétaire international (FMI) qui a atterri à Beyrouth dans la nuit de dimanche à lundi.Pour la délégation présidée par le chef de mission pour le Liban Ernesto Ramirez Rigo, l'objectif principal de cette tournée visait à prendre acte que les réformes préalables à l'adhésion du Liban à un potentiel programme d’aide financière piloté par le Fonds n’avaient toujours pas enregistré de progrès significatifs.Après trois jours passés à s’entretenir avec des haut responsables, des élus, des dirigeants de banques et des représentants du secteur privé, les experts sont repartis jeudi sans passer par la case conférence de presse, se contentant d'un communiqué livrant un constat explicite assortis de quelques non-dits détectables entre les lignes. Lire aussi...
Il n’y avait pas de grande surprise à attendre de la visite de la délégation du Fonds monétaire international (FMI) qui a atterri à Beyrouth dans la nuit de dimanche à lundi.Pour la délégation présidée par le chef de mission pour le Liban Ernesto Ramirez Rigo, l'objectif principal de cette tournée visait à prendre acte que les réformes préalables à l'adhésion du Liban à un potentiel programme d’aide financière piloté par le Fonds n’avaient toujours pas enregistré de progrès significatifs.Après trois jours passés à s’entretenir avec des haut responsables, des élus, des dirigeants de banques et des représentants du secteur privé, les experts sont repartis jeudi sans passer par la case conférence de presse, se contentant d'un communiqué livrant un constat explicite assortis de quelques non-dits...
commentaires (4)

Malheureusement, il semble que le FMI est dispose a enteriner le vol des depots sous certaines (ses ?) conditions. D'ailleurs, partout ou il est intervenu, le FMI a toujours ete du cote des puissances de l'argent (c/f les banques). Simplement, il veut avoir l'assurance d'etre rembourse de ses prets. Or, la canaille mafieuse corrompue du pouvoir est incapable de lui donner satisfaction sur ce point.

Michel Trad

17 h 45, le 24 mai 2024

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Commentaires (4)

  • Malheureusement, il semble que le FMI est dispose a enteriner le vol des depots sous certaines (ses ?) conditions. D'ailleurs, partout ou il est intervenu, le FMI a toujours ete du cote des puissances de l'argent (c/f les banques). Simplement, il veut avoir l'assurance d'etre rembourse de ses prets. Or, la canaille mafieuse corrompue du pouvoir est incapable de lui donner satisfaction sur ce point.

    Michel Trad

    17 h 45, le 24 mai 2024

  • Pendant l’Assemblée, disons avec une certaine majorité de PRÉSENCE de délégués, appelé Assemblé Parlementaire ; Déclaration haut et fort d’un de ces PRÉSENTS, DIT : EUX, ces REPRÉSENTANTS, (majoritairement) OCCIDENTAUX NE SAVENT PAS OÙ SE TROUVE LE LIBAN – ceci n’est pas du Tik Tok , revoyez la transmission en direct – SURPRISE : pas un seul de NOS délégués réagit ?? Nous dire que c’est un mot faussement échappé ! d’un DÉPUTÉ ? de TOUS NOS DÉPUTÉS ? Allons donc ! NOTRE LIBAN S’ÉCHAPPE et ON nous conseille de faire des…. Reformes ?

    aliosha

    12 h 32, le 24 mai 2024

  • IL N,Y A PAS D,ECONOMIE DANS LE PAYS. IL Y A VOL ET ESCROQUERIE. LES ESCROCS QUI NOUS ONT DEVALISE DE NOS DEPOTS ET SUSPENDU ILLEGALEMENT BOS CONTRATS DE DEPOTS DEPUIS CINQ ANS OSENTNOUS METTRE EN GARDE DE PAYER DES FRAIS POUR BLOCKADE DE NOTRE ARGENT, BLOCKAGE ET ESCROQUERIE QU,ILS NOMMENT *GARDE ET SECURITE DE NOS DEPOTS* DONT NOUS NE POUVONS EN DISPOSER. CE N,EST PLUS UN ETAT. C,EST UN BORDEL.

    LA LIBRE EXPRESSION : LE PAYS EST EN DANGER.

    09 h 12, le 24 mai 2024

  • Ce que demande le FMI est purement et simplement irréalisable par la classe politique actuelle: Gouvernance, Transparence, lutte contre l'évasion fiscale....On parle de lois, de systèmes, d'hommes pour mettre en oeuvre....c'est du chinois pour nos politiciens...l'équipe du fmi perd son temps. Dans d'autres pays stables politiquement, où l'Etat a le monopole de l'autorité et les dirigeants volontaires pour les reformes ça leur a pris 20 ans pour y arriver (3 ou 4 générations de dirigeants). .Le Liban ne posséde pas ce luxe...

    Moi

    02 h 03, le 24 mai 2024

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