
Bassam el-Cheikh Hussein, dans la cage d'escalier de son immeuble, lors d’un entretien avec « L’Orient-Le Jour » à son domicile à Ouzaï, en banlieue sud de Beyrouth, le 19 mars 2024. Photo Matthieu Karam
Alors que certains déposants qui avaient employé la manière forte en 2022 pour récupérer leur épargne attendent de comparaître devant la justice, le phénomène a fortement ralenti dans le pays depuis deux ans.
OLJ / Gabriel BLONDEL, Matthieu KARAM et Emmanuel HADDAD, le 27 mars 2024 à 11h09
Bassam el-Cheikh Hussein, dans la cage d'escalier de son immeuble, lors d’un entretien avec « L’Orient-Le Jour » à son domicile à Ouzaï, en banlieue sud de Beyrouth, le 19 mars 2024. Photo Matthieu Karam
Ahurissant ! Le monde à l'envers !Ça fait penser à la situation à Chypre.Dans les pays de l'occident, nous ne sommes pas à l'abri que cela nous arrive
On poursuit en justice les personnes qui ont ose reclamer leurs propres sous. Pendant ce temps, les crapules bancaires, qui leur ont vole leurs sous, continuent a mener grand train de vie, a investir, de preference a l'etranger, sans etre aucunement inquietes. Et cela grace a de soi-disant juges encore plus corrompus que leurs maitres. Honte a la justice de ce pays. Kellon ya3ne kellon.
Quelle honte! Ils ont le toupet de faire paraître en justice des gens qui réclament leur propre agent et ceux qui ont tout volé et qui devraient avoir la corde au cou volent en liberté. Quel pays, de quoi avoir honte de dire qu’on est libanais!
Au Liban les vrais voleurs gouvernent et pillent le pays et gens, ils vivent tranquillement sans jamais être inquiétés.
Ahurissant ! Le monde à l'envers !Ça fait penser à la situation à Chypre.Dans les pays de l'occident, nous ne sommes pas à l'abri que cela nous arrive
12 h 45, le 28 mars 2024