
Dany Bustros, reine des grands soirs. Photo DR
Vingt-cinq ans après son tragique décès, Dany Bustros, figure quelque peu oubliée des nuits beyrouthines, a pourtant marqué son art par la même sensibilité qui l’a détruite. Intensément tourmentée, maladivement solitaire, retour sur l’histoire de l’artiste libanaise la plus décriée de l’après-guerre.
OLJ / Par Karl RICHA, le 15 mars 2024 à 00h00
Dany Bustros, reine des grands soirs. Photo DR
Elle a marqué mon adolescence. Je pense encore très souvent à elle.
Elle repose en paix, âme trop pure pour ce monde vicieux et vicié.
Un portrait très émouvant.
Un peu trop réduite à sa vie dissolue et à ses souffrances . Réelles. Pour un tableau complet, il aurait fallu écrire sur sa bonté , sa générosité, et sa belle âme. Son art aussi
Dany était ma cousine. Et a fait partie de ma vie d’adolescente. Bien que je ne veuille pas contester les choses écrites, je trouve dommage qu’on l’identifie grandement à sa vie dissolue, et à ses souffrances - réelles, alors qu’il y aurait eu aussi beaucoup à écrire sur sa bonté, sa générosité et son art.
Une mère est une Maman à Vie...
Article touchant, RIP douce Dany
Elle a marqué mon adolescence. Je pense encore très souvent à elle.
10 h 49, le 17 mars 2024