L'armée israélienne "toujours active" à l'hôpital al-Chifa ; Le Liban-Sud sous tension : Jour 40 de la guerre Israël - Hamas

Nous vous remercions de nous avoir suivis en cette quarantième journée de guerre entre le Hamas et Israël. Nous poursuivrons notre couverture du conflit dès demain matin.

Le représentant du Hamas au Liban, Ahmad Abdel Hadi, a affirmé à la chaîne al-Mayadeen que les découvertes militaires de l'armée israélienne à l’hôpital al-Chifa à Gaza sont un "exploit imaginaire".

"L'ennemi n'a rien trouvé à l'hôpital al-Chifa, et il est clair que c'est un exploit imaginaire", a déclaré ce représentant du Hamas. "L'ennemi échouera sur le terrain et sous la pression humanitaire", a-t-il ajouté, accusant les États-Unis d'avoir donné leur "feu vert" à Israël pour attaquer les hôpitaux.

Selon lui, "la résistance se porte bien, et son système de commandement et de contrôle est toujours à un excellent niveau". Il affirme aussi qu'Israël est "incapable d'évaluer correctement la situation et finira par accepter une certaine trêve". "La trêve aurait eu lieu si les États-Unis l'avaient voulu", a-t-il ajouté.

Le ministère des Affaires étrangères du Qatar a demandé l'ouverture d'une enquête internationale sur les attaques israéliennes contre les hôpitaux de Gaza.

Dans un communiqué, Doha a affirmé qu'elle considère que l'assaut israélien contre l'hôpital al-Chifa à Gaza est "un crime de guerre et une violation flagrante des lois et des accords internationaux, en particulier de la quatrième convention de Genève".

"Le ministère des Affaires étrangères demande une enquête internationale urgente, y compris l'envoi d'enquêteurs indépendants de l'ONU pour enquêter sur les faits concernant le ciblage des hôpitaux par l'armée d'occupation israélienne", peut-on lire dans le communiqué.

Le Qatar a également appelé la communauté internationale à "prendre des mesures urgentes pour tenir Israël pour responsable et le dissuader de commettre d'autres crimes contre des civils".

URGENT : L'armée israélienne a indiqué que ses soldats avaient découvert un centre de commandement opérationnel et des équipements technologiques appartenant au Hamas à l’hôpital al-Chifa, a rapporté Reuters.

Sur son compte X, le porte-parole de l'armée israélienne a publié une vidéo et des photos montrant des armes, des munitions, des grenades et des gilets pare-balles qui auraient été trouvés à l'hôpital al-Chifa.

URGENT : L'armée israélienne est "toujours active" au sein de l'hôpital Al-Chifa dans la bande de Gaza, a-t-elle déclaré, selon Reuters.

Le président français Emmanuel Macron a "condamné avec la plus grande fermeté" mercredi les bombardements d'infrastructures civiles dans la guerre qui oppose Israël au Hamas, lors d'une conférence de presse à Berne.

Il a insisté sur le fait que cela valait "pas seulement pour les bâtiments mais les personnes qui y soignent", rappelant que des dizaines d'humanitaires et de fonctionnaires internationaux avaient trouvé la mort dans les bombardement intensifs que mène Israël dans l'enclave palestinienne depuis l'attaque sans précédent du mouvement islamiste Hamas le 7 octobre sur le territoire israélien.

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Benjamin Netanyahu a critiqué Recep Tayyip Erdogan, lors d'une conversation avec le PDG de l'organisation Samaritan's Purse, affirmant que le président turc "qualifie Israël d'État terroriste mais soutient en réalité l'État terroriste Hamas", selon Haaretz.

Plus tôt dans la journée, Recep Tayyip Erdogan a déclaré qu'"Israël est un État terroriste" et que "s'il continue ses massacres, il sera dénoncé comme État terroriste dans le monde entier", avait rapporté Reuters.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se rendra en Égypte et en Jordanie le 18 novembre, a écrit un porte-parole de la Commission européenne sur X.

Elle rencontrera le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi au Caire et se rendra dans le Sinaï pour saluer l'arrivée de l'aide humanitaire de l'UE avant de rencontrer le roi Abdallah de Jordanie à Amman, a également rapporté Reuters.

Une otage du Hamas a accouché à Gaza, selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, cité par l'AFP

Le Conseil de sécurité de l'ONU, incapable de parler d'une seule voix depuis le début de la guerre, se prononce mercredi sur un nouveau projet de résolution appelant à des "pauses et couloirs humanitaires" dans la bande de Gaza.

Le nouveau texte, préparé par Malte, a cette fois toutes les chances d'être d'adopté lors d'une réunion prévue ce soir à 22 heures (15h à New York), les 15 membres du Conseil ayant attendu d'être certains de ne pas essuyer un nouveau rejet avant de programmer un nouveau vote, selon des sources diplomatiques.

Les États-Unis n'ont pas donné leur approbation à Israël pour son offensive à l'hôpital al-Chifa, a affirmé la Maison-Blanche mercredi. Le porte-parole du Conseil national de sécurité, John Kirby, a ajouté que de telles décisions relèvent de l'armée israélienne, alors que le Hamas avait accusé le président Joe Biden d’être "entièrement responsable" de l'offensive. "Nous n'avons pas donné le feu vert à leurs opérations militaires autour de l'hôpital", a déclaré M. Kirby.

Le Hezbollah affirme avoir visé le site israélien de Jal al-Deir ce soir avec des "armes appropriées”.

Une vingtaine de malades atteints de cancer qui ont pu passer de Gaza en Égypte seront transférés en Turquie, a annoncé mercredi soir le ministre turc de la Santé, cité par l'AFP.

"Vingt-six patients atteints de cancer à Gaza ont franchi le poste frontière de Rafah. Nous avons prévu de les emmener en Turquie aujourd'hui", a affirmé aux journalistes le ministre turc de la Santé, Fahrettin Koca, qui s'est rendu en Égypte pour des discussions sur l'acheminement de l'aide humanitaire à Gaza.

Au total 39 personnes, dont 13 accompagnateurs des patients, seront transférées en Turquie grâce à "une coordination de la Turquie, de l'Égypte et d'Israël", a affirmé le ministre.

Le responsable de l'aide humanitaire de l'ONU, Martin Griffiths, a imploré mercredi Israël d'autoriser l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza via le point de passage de Kerem Shalom, en Israël, dans le cadre d'un plan en dix points visant à répondre aux besoins de la population. "Kerem Shalom, s'il vous plaît, Israël, donnez-nous ce point de passage", a ainsi déclaré M. Griffiths aux journalistes à Genève. Le point de passage de Kerem Shalom était utilisé pour transporter plus de 60 % des camions entrant dans la bande de Gaza avant le conflit, a-t-il indiqué.

L'aide actuellement autorisée à entrer dans la bande de Gaza passe par le point de passage de Rafah, à la frontière égyptienne, qui a été conçu pour les piétons et non pour les camions.

Parmi les autres éléments du plan présenté par M. Griffiths figure la facilitation des efforts déployés par les organisations humanitaires pour acheminer un flux continu de convois d'aide et leur permettre de mettre en place des centres de distribution de secours pour les civils.

M. Griffiths a également souligné la nécessité d'augmenter le nombre d'abris sûrs pour les personnes déplacées dans les écoles et autres installations publiques de Gaza et de veiller à ce qu'ils restent à l'abri des hostilités. "Ce sont là les mesures nécessaires pour mettre un terme au carnage", a déclaré M. Griffiths. "Le plan est exhaustif et nous sommes déterminés à faire avancer chaque étape, mais nous avons besoin d'un large soutien international".

URGENT : Un navire de guerre américain a abattu un drone en provenance du Yémen plus tôt dans la journée, en mer Rouge, ont déclaré deux responsables américains à Reuters.

L'Iran a déclaré au Hamas début novembre que ce dernier ne lui avait donné aucun avertissement concernant l'attaque du 7 octobre et que Téhéran n'entrerait pas dans la guerre au nom du Hamas, ont déclaré à Reuters trois hauts responsables sous couvert d'anonymat.

Cela s'est produit lors d'une rencontre entre le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, et le chef de la branche politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, à Téhéran.

Ali Khamenei a déclaré à Ismaïl Haniyé que l'Iran continuerait à apporter son soutien politique et moral au groupe, mais n'interviendrait pas directement, ont déclaré les responsables iraniens au cours des discussions.

Le guide suprême a également pressé Ismaïl Haniyé de faire taire les voix du groupe palestinien appelant publiquement l’Iran et le Hezbollah à se joindre pleinement à la bataille contre Israël, a déclaré à Reuters un responsable du Hamas.

Par ailleurs, trois sources proches du Hezbollah ont déclaré que le groupe avait été surpris par l'attaque dévastatrice du Hamas le mois dernier, car les combattants du Hezbollah n'étaient même pas en alerte dans les villages proches de la frontière et avaient dû être rapidement mobilisés.

Une source a également déclaré à Reuters que le Hamas souhaitait que le Hezbollah frappe plus profondément en Israël avec son énorme arsenal de roquettes, mais que le Hezbollah pensait que cela conduirait Israël à dévaster le Liban sans arrêter son attaque sur Gaza.

URGENT : Un drone israélien a lancé un missile sur le village de Rab el-Talatine il y a quelques instants, a indiqué une source sécuritaire à notre correspondant au Liban-Sud.

Tayr Harfa fait l'objet de tirs d'artillerie israéliens depuis cet après-midi, a rapporté le moukhtar du village, Hasan Haydar, à notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah. M. Haydar a ajouté que des obus sont tombés à l'intérieur du village et à sa périphérie, provoquant des dommages à deux maisons. Cela porte à cinq le nombre de maisons endommagées par les bombardements israéliens dans le village depuis hier, précise-t-il.

Le Hezbollah a déclaré avoir pris pour cible la caserne Pranit à 16h20 avec des "missiles guidés, provoquant des pertes confirmées".

Le Hezbollah a annoncé avoir visé un rassemblement de forces d'infanterie de l'armée israélienne à 16h10, à l'ouest et au sud de Birket Riché à l'aide de "missiles guidés”.

Avant le 7 octobre, il y avait environ 3 500 lits d'hôpitaux à Gaza mais, aujourd'hui, il n'en reste qu'environ 1 400, a déclaré mercredi le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d'une conférence de presse à Genève. Il a également qualifié l'incursion militaire israélienne dans l'hôpital al-Chifa à Gaza comme "totalement inacceptable", dans des propos repris par Reuters.

"Les hôpitaux ne sont pas des champs de bataille", a-t-il renchéri, alors que l'OMS a perdu le contact avec le personnel de santé d'al-Chifa. Il a également indiqué que l'organisation ne disposait d'aucun rapport sur le nombre de morts et de blessés à Gaza au cours des trois derniers jours, ce qui rendait plus difficile l'évaluation de l'état du système de soins de santé dans la région.

Tedros Adhanom Ghebreyesus a précisé qu'un membre du personnel de l'OMS avait décrit la situation en disant : "Pas d'eau, pas d'électricité, seulement des bombardements, des bombardements, des bombardements".

M. Tedros a enfin réitéré ses appels en faveur d'un cessez-le-feu et d'un meilleur accès de l'aide à Gaza, ainsi que de la libération des otages israéliens détenus par le Hamas.

Par ailleurs, Richard Peeperkorn, représentant de l'OMS dans les Territoires palestiniens occupés, a pour sa part déclaré mercredi qu'"un certain nombre de partenaires, dont l'OMS, étudient d'urgence la possibilité d'évacuer les patients et le personnel médical de l'hôpital al-Chifa".

Le Conseil de sécurité des Nations unies prévoit de voter mercredi sur un projet de résolution appelant à des pauses humanitaires urgentes et prolongées, ainsi qu'à la création de couloirs dans l'ensemble de la bande de Gaza pour faciliter l'accès à l'aide, rapportent des diplomates cités par Reuters.

Il s'agira de la cinquième tentative du Conseil de sécurité d'adopter une résolution concernant la guerre depuis qu'il s'est réuni pour la première fois sur la question le 16 octobre.

Les environs de Meis el-Jabal sont bombardés depuis 15h30, affirme le mokhtar du village, Abdel Menehm Choucair, à notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah. Il a également précisé qu'une usine de bois avait été endommagée par la chute d'un obus d'artillerie à proximité.

De plus, il a signalé un problème de communication dans le village, expliquant que les lignes du réseau Alfa ne fonctionnaient plus. Il a appelé à une résolution rapide de ce problème, soulignant son impact sur les communications avec les équipes de secours.

Des obus sont tombés dans les environs de Yarine, ont indiqué des habitants à notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah. Le village de Marwahine, la périphérie de Boustane et celle de Tayr Harfa sont également pris pour cible, selon les habitants.

De son côté, l'armée israélienne a indiqué sur X que plusieurs tirs en provenance du Liban avaient été détectés vers le territoire israélien, ajoutant riposter à la source de ces tirs. L'armée israélienne a précisé que ses chars avaient ciblé un poste d'observation du Hezbollah.

Le journal israélien Haaretz a lui donné plus de détails en rapportant qu'une roquette en provenance du Liban est tombée dans une zone inhabitée de la ville de Shlomi, dans le nord d'Israël. Les alarmes n'ont toutefois pas retenti, a précisé Haaretz.

Les établissements sanitaires et autres infrastructures civiles sont protégés des attaques militaires sans aucune ambiguïté, à part de très rares exceptions, qui ne donnent pas pour autant une liberté absolue à l’attaquant. Que dit le droit international sur le bombardement d'hôpitaux ? Suzanne Baaklini répond à cette question.

Le bureau de presse du Hamas a dénoncé sur Telegram « les mensonges flagrants de l’occupant sioniste sur la présence prétendue d’armes et d’équipements de guerre à l’hôpital Al-Chifa ». « C’est une pièce de théâtre et de la propagande bon marché qui ne convainquent plus personne », a-t-il fait remarquer, accusant l’armée israélienne « de trouver une excuse pour commettre le crime de détruire le secteur de la santé à Gaza ».

Le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens au Proche-Orient (UNRWA), Philippe Lazzarini, a averti sur X (anciennement Twitter) que « toute l’opération » de l’organisation humanitaire « est sur le point de s’effondrer ». « D'ici la fin de la journée (mercredi), environ 70 % de la population de Gaza n'aura pas accès à l'eau potable, a-t-il déploré.

« Avoir du carburant uniquement pour les camions ne permettra plus de sauver des vies. Attendre plus longtemps coûtera des vies ».

Affirmant que l’UNRWA a reçu un peu plus de 23 000 litres de carburant pour la bande de Gaza, le Commissaire général a précisé que « ce carburant ne peut pas être utilisé pour la réponse humanitaire globale, y compris les installations médicales et d'eau ou le travail de l’UNRWA ».

« Il est consternant que le carburant continue d'être utilisé comme arme de guerre », a-t-il souligné.

La France a exprimé mercredi "sa très vive préoccupation face aux opérations militaires israéliennes dans l’hôpital Al-Chifa" de Gaza, estimant que la population palestinienne n'avait "pas à payer pour les crimes du Hamas", selon l'AFP.

Paris "rappelle la nécessité absolue pour Israël de se conformer au droit international humanitaire, qui prévoit tout particulièrement la protection des infrastructures hospitalières et impose en tout temps et en tous lieux des principes clairs de distinction, de nécessité, de proportionnalité et de précaution", selon une déclaration de son ministère des Affaires étrangères.

Depuis 14h15, plus de 30 obus sont tombés dans les périphéries de Adayssé, Houla, Rab el-Talatine, Borj el-Moulouk, Tal el-Nhas, Khiam, Markaba (caza de Marjeyoun) et les hauteurs de Kfarchouba (caza de Hasbaya), a indiqué une source sécuritaire à notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah. En outre, des tirs d'artillerie intensifs ont été signalés par des habitants, à la périphérie de la ville de Aïta el-Chaab et de Yaroun (caza de Bint Jbeil).

"Il n'y a aucun endroit à Gaza" qu'Israël "n'atteindra pas, aucune cachette, aucun refuge", a prévenu le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu mercredi, alors que l'armée israélienne est entrée dans le plus grand hôpital du territoire palestinien, dans des propos rapportés par l'AFP.

"Nous atteindrons et éliminerons le Hamas et nous ramènerons les otages", deux "missions sacrées", a déclaré le chef du gouvernement lors d'une visite dans une base militaire en Israël.

Le Hezbollah a affirmé avoir frappé à 14h10 le site (israélien) de Roueissat el-Alam dans les fermes occupées de Chebaa à l'aide d'armes appropriées, infligeant des « blessures directes ».

Les forces israéliennes détiendraient plus de 200 Palestiniens dans la cour de l'établissement sanitaire, selon des sources au sein de l'hôpital al-Chifa interrogées par la chaîne Al-Jazeera,

La Turquie espère le soutien de l'Italie pour un cessez-le feu à Gaza, selon Reuters

L'opération de l'armée israélienne dans l'hôpital al-Chifa, abritant selon elle une base stratégique du Hamas, a suscité inquiétudes et condamnations de la part d'acteurs de la communauté internationale. Lire la suite ici. 

Le chef des Affaires humanitaires de l'ONU demand que « le carnage à Gaza » cesse.

« Alors que le carnage à Gaza atteint chaque jour de nouveaux niveaux d'horreur, le monde continue d'être sous le choc alors que des hôpitaux sont la cible de tirs, que des bébés prématurés meurent et qu'une population entière est privée de moyens essentiels de subsistance. Cela ne peut pas continuer », a déclaré Martin Griffiths dans un communiqué.

Plus tôt dans la journée, Martin Griffiths avait déclaré sur X être  "horrifié par les informations faisant état de raids militaires à l'hôpital al-Chifa à Gaza".

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Les Brigades al-Qassam du Hamas affirment avoir bombardé la ville d’Ashkelon, dans le nord de la bande de Gaza, a annoncé le bureau de presse du mouvement islamiste sur Telegram. 

Le soutien de l'opinion publique américaine à la guerre menée par Israël contre les militants du Hamas à Gaza s'érode et la plupart des Américains pensent que l'État hébreu devrait appeler à un cessez-le-feu dans un conflit qui s'est transformé en crise humanitaire, selon un nouveau sondage Reuters/Ipsos.

Lire la suite ici.

Les médiateurs qataris cherchaient mercredi à négocier un accord entre le Hamas et Israël pour la libération d'une cinquantaine d'otages civils de Gaza en échange d'un cessez-le-feu de trois jours, a déclaré à Reuters un responsable informé des négociations.

L'accord, qui a été coordonné avec les États-Unis, permettrait également à Israël de libérer des femmes et des enfants palestiniens des prisons israéliennes et d'augmenter l'aide humanitaire autorisée à entrer dans la bande de Gaza, a déclaré le responsable.

Il s'agirait de la plus importante libération d'otages détenus par le Hamas depuis que le groupe militant palestinien a fait irruption à la frontière de Gaza, attaqué certaines parties d'Israël et pris des otages dans l'enclave.

Le Hamas a accepté les grandes lignes de cet accord, mais Israël ne l'a pas fait et négocie encore les détails, a précisé le responsable.

On ignore combien de femmes et d'enfants palestiniens Israël libérerait de ses prisons dans le cadre de l'accord.

Deux explosions de nature indéterminée ont été entendues vers 14h près du village frontalier de Khiam (Marjayoun), au Liban-Sud, selon des témoignages de résidents à L'Orient-Le Jour.

Des bombardements israéliens ont également été entendus aux alentours des villages de Houla et Markaba (Marjayoun), ont indiqué à L'Orient-Le Jour des habitants de la région.

D'autres bombardements ont retenti près de Naqoura, a déclaré à notre publication un porte-parole de la Finul basé dans le village.

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a exigé un « cessez-le feu immédiat » à Gaza et appelé Israël à mettre fin à la « tuerie aveugle de Palestiniens », lors de son discours d'investiture devant la Chambre des députés.

La compagnie palestinienne des télécommunications Paltel a annoncé que les générateurs alimentant ses principaux serveurs étaient à l'arrêt à Gaza faute de carburant, annonçant « une suspension de tous les services de télécommunications sous quelques heures ». Plus de détails ici

L'armée israélienne a bombardé vers 13 heures la périphérie du village de Aïta el-Chaab (Bint Jbeil) au Liban-Sud, ont indiqué des habitants du village à L'Orient-Le Jour.

Le ministre israélien sans portefeuille Benny Gantz a déclaré qu’Israël atteindrait les dirigeants du Hamas "à Gaza et dans le monde entier". Il n'y aura "pas de villes ni de maisons (pour leur servir de) sanctuaires", a-t-il dit, repris par Haaretz.

M. Gantz a ajouté qu’Israël traquerait les dirigeants du Hamas de la même manière qu'il a atteint leurs installations à Gaza : "Ce que nous faisons dans le sud est efficace, cela peut aussi fonctionner dans le nord (frontière avec le Liban), si nécessaire".

L'ONU assure que le carburant reçu à Gaza n'est "pas du tout suffisant", selon l'AFP.

Pour le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, Israël mène dans la bande de Gaza « une guerre contre l'existence des Palestiniens », a-t-il dit mercredi dans un discours. Il a également évoqué une « guerre barbare » et un « génocide » qui « se déroule sous les yeux du monde ».

« C'est une guerre contre l'existence des Palestiniens, contre l'identité nationale palestinienne, l'identité de la terre et l'identité de ses habitants », a ajouté le dirigeant basé à Ramallah, en Cisjordanie occupée, séparée géographiquement de la bande de Gaza par le territoire israélien. 

Le ministère libanais de la Santé publique a annoncé avoir quasiment achevé la formation des cadres médicaux sur tous le territoire, pour « faire face aux développements de l'agression israélienne dans le sud » et pour «améliorer l'état de préparation du secteur de la santé en général".

Le ministère a précisé que ces formations étaient organisées en collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

La Banque centrale israélienne a jugé que les amendements budgétaires proposés par le gouvernement de Benjamin Netanyahu pour financer la guerre contre le Hamas étaient insuffisants et l’appelle à faire davantage de coupes dans les autres dépenses publiques, selon Reuters.  

Les forces américaines ont été bombardées sur la base d'Ain al-Assad dans la région d’Anbar, à l’ouest de l’Irak, rapporte la télévision Al-Mayadeen pro-iranienne.

L’information a été reprise par la Voix du Liban qui a fait état de « violents bombardements ». De son côté, la Résistance islamique en Irak a revendiqué ces frappes sur X, lancées depuis le début de la guerre entre Le Hamas et Israël . « La base de l’occupant américain Ain el-Assad, à l’ouest de l’Irak a été bombardée par des missiles de précision », a affirmé le groupe dans son communiqué.

La résistance islamique en Irak ajoute dans un second communiqué sur Telegram qu'elle a également bombardé la base américaine située sur le champ pétrolier Conico en Syrie, et atteint ses cibles, au Nord de Deir El-Zor.

Le ministère palestinien des Affaires étrangères a accusé mercredi l'armée israélienne d'avoir « violé de façon flagrante » le droit international en lançant une opération militaire dans l'hôpital al-Chifa de Gaza, et réclamé une « intervention internationale pour y protéger les civils », selon l'AFP.

Un enfant déplacé palestinien à l'abri dans une tente installée pour se protéger à Khan Younes dans le sud de la bande de Gaza, le 15 novembre 2023 (Photo Ibraheem Abu Mustafa / Reuters)

Commentant le raid israélien à l'hôpital al-Chifa, la Jordanie a estimé que le Conseil de sécurité de l'ONU « autorise la barbarie » par son « silence ».

C'est la deuxième fois aujourd'hui que la Jordanie dénonce publiquement les opérations israéliennes lancées dans l'enceinte de cet hôpital.

« Israël est un état terroriste », a affirmé le président turc Recep Tayyip Erdogan, selon Reuters. « S'il continue ses massacres, il sera dénoncé comme un état terroriste dans le monde entier », a-t-il poursuivi.

Le président turc a aussi estimé qu' « un génocide est en cours à Gaza », affirmant que son pays « prendra des mesures sur la scène internationale pour arrêter » ce massacre.

L'armée israélienne a bombardé plusieurs zones dans les environs des localités de Boustane (caza de Tyr), selon le chef de cette municipalité que nous avons contacté. Un porte-parole de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (la Finul) a confirmé qu'un bombardements israélien avait pu être entendu au même moment depuis la localité de Naqoura, située dans le même caza. Selon, les témoins de la Finul, les explosion semblaient rentenir depuis les environs de la localité de Chama, une dizaine de km plus au nord à vol d'oiseau et toujours dans le caza de Tyr.

L'Unrwa a rappelé sur son compte X avoir perdu 102 employés déployés dans la bande de Gaza qui est intensément bombardée par l'armée israélienne, après le décès d'un autre membre de ses équipes en début de semaine. 

Le Hamas a dénoncé dans un communiqué publié sur Telegram « l’arrestation de dizaines d’étudiants et étudiantes de l’Université d’Hébron en Cisjordanie, dans le cadre de la campagne qui touche des milliers de personnes depuis le début de la bataille (...) du Déluge d’Al-Aqsa ».

Les hôpitaux de nord de la bande de Gaza sont pris depuis plusieurs jours dans l'étau des combats entre le Hamas et l'armée israélienne.

Voici la liste  principaux établissements concernés.

La Croix-Rouge s'est dit "extrêmement inquiète" après le raid de soldats israéliens dans l'hôpital al-Chifa, selon l’AFP. Par ailleurs, la cheffe de l'agence de l'ONU chargée de la protection de l’enfance, Catherine Russell, a lancé un appel à toutes les parties de "mettre fin à l'horreur" dans la bande de Gaza, lors d'une rare visite ce mercredi depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas. "Je suis horrifié par les informations faisant état de raids militaires à l'hôpital al-Chifa à #Gaza", a en outre écrit Martin Griffiths, responsable des opérations humanitaires d'urgence de l'ONU sur le réseau X (ex-Twitter).

Le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a appelé sur X (ex-Twitter) les habitants de Gaza, en particulier ceux du Nord de la bande, à évacuer certaines zones jusqu’à 16 heures, heure locale, à travers la route Salaheddine et à se diriger vers le Sud. Il a précisé pour l'occasion que les activités militaires seront interrompues de 10h à 14 heures dans d’autres une partie des zones concernées.

L’appel à évacuer s’adresse aux résidents des quartiers de Tell Al-Hawa, Sabra, Al-Zeitoun al-Gharbi, Daraj al-Touffah, Al-Chajaiya et Jabaliya. « Nous suspendrons temporairement les activités militaires aujourd'hui, en particulier entre 10 et 14 h à des fins humanitaires dans les quartiers Assalam, et Al-Nour dans la région de Jabaliya. Nous vous invitons à profiter de ce délai pour atteindre la rue Salaheddine et vous déplacer vers le Sud », a précisé le haut-gradé.

Le porte-parole arabophone a également assuré que « le Hamas avait perdu le contrôle sur le nord de la bande de Gaza et essaie de tout faire" pour empêcher les résidents à quitter cette zone. Il a enfin appelé ces derniers à contacter l'armée israélienne par SMS ou par téléphone.

Un premier camion de carburant venant d'Égypte entre à Gaza depuis le 7 octobre, rapporte l'AFP en citant un média égyptien.

Selon Reuters, Israël aurait autorisé  à la demande des États-Unis la livraison de 24.000 litres de carburant qui sera uniquement destiné aux camions de l'ONU.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a appelé Israël à « exercer la plus grande retenue » à Gaza dans sa guerre avec le Hamas, estimant que la mort de « bébés » devait cesser, selon l'AFP.

« Le prix de la justice ne peut être la poursuite des souffrances pour tous les civils palestiniens. Même les guerres ont des règles », a encore estimé M. Trudeau, qui s'exprimait avant l'opération lancée par l'armée israélienne à l'intérieur de l'hôpital al-Chifa.

En infographie, le périmètre de l'hôpital al-Chifa, dans lequel sont entrés, mercredi matin, des soldats israéliens.

La Jordanie condamne l'assaut israélien contre l'hôpital d'al-Chifa dans la bande de Gaza, selon un communiqué publié sur X.

Le ministère israélien de la Sécurité nationale a affirmé qu'environ 1 700 permis de port d'armes sont délivrés à des Israéliens en moyenne chaque jour depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, ce qui représente une forte augmentation par rapport aux années précédentes, rapporte le Haaretz.

Environ 236 000 demandes de permis de port d'armes ont été soumises au ministère depuis le 7 octobre, a indiqué le ministère, ajoutant que le nombre de demandes soumises en un peu plus d'un mois est égal au nombre de demandes soumises en vingt ans d'activité de routine.

Plus de détails ici.

Un médecin de l'hôpital al-Chifa dément les accusations israéliennes selon lesquelles le Hamas aurait utilisé cette inrastructure comme centre de commandement, rapporte Reuters.

Un médecin de l'établissement sanitaire a affirmé à l'agence que des tirs se sont produits à l'extérieur de l'hôpital, obligeant le personnel à s'éloigner des fenêtres après un raid israélien.

173 Palestiniens, dont 46 enfants, ont été tués par l'armée israélienne, a affirmé l'Unrwa dans la nuit sur X (ex-Twitter). 8 personnes, dont un enfant, ont aussi été tués par des colons israéliens depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 7 octobre.

Selon l'agence, aucune livraison de carburant n'a été autorisée  dans la bande de Gaza depuis le début du conflit. « Nos camions n'ont pas été en mesure de recevoir l'aide arrivant via le point de passage de Rafah (mardi) », a-t-elle ajouté.

Reportage : Un journaliste de l'AFP raconte l'entrée des soldats israéliens, ce mercredi à l'aube, dans le complexe hospitalier al-Chifa, dans le nord de la bande de Gaza : A l'intérieur, dans les couloirs des différents départements d'al-Chifa, les soldats tirent en l'air en allant de pièce en pièce, recherchant visiblement des combattants du Hamas. Des femmes, des enfants en pleurs sont fouillés. D'autres doivent passer sous une borne équipée d'une caméra de reconnaissance, les mêmes qui ont été installées le long des couloirs d'évacuation vers le sud de la bande de Gaza, selon le journaliste. Un reportage à lire ici

Le dirigeant du Hamas, Ezzat el-Rachaq a accusé le président américain (Joe Biden) d’être « un partenaire à part entière dans le génocide mené par l'occupation israélienne de Gaza ».

« C’est la Maison Blanche qui a donné le feu vert à l'occupant pour prendre d'assaut l'hôpital Al-Chifa » a-t-il déclaré dans un communiqué sur Telegram. « Netanyahu et son armée vaincue considèrent l'assaut de l'hôpital Al-Chifa comme une réalisation, alors qu’elle n’est qu’immaturité politique », a ajouté le dirigeant du Hamas.

Plus tôt ce matin, un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche avait pourtant déclaré que les « hôpitaux et les patients devaient être protégés » et que Washington ne « voulaient pas voir » de « frappes aériennes contre un hôpital » ni « d’échanges de tirs ».

Selon une dépêche de Reuters publiée dans la nuit de mardi à mercredi et citant une « source humanitaire », Israël aurait autorisé la distribution de 24.000 litres de diesel destiné aux camions de l’ONU, pour leurs opérations dans la bande de Gaza.

Ce serait la première fois que l’État hébreu permet de livrer du carburant dans l’enclave, à qui il a imposé un blocus total depuis le début de la guerre contre le Hamas. Ce feu vert aurait été décidé en réponse à une requête des États-Unis. Le carburant serait exclusivement destiné aux camions de l’ONU et pas aux hôpitaux. Aucune déclaration officielle n’a pour l’instant corroboré ces informations.

Le site d’information américain Axios, citant pour sa part des sources israéliennes et américaines affirme qu’Israël prévoit d’autoriser les camions de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) de se ravitailler en carburant au poste-frontière de Rafah, qui relie le sud de Gaza à l’Égypte.

Le ministre malaisien de la Défense, Hajji Mohamad bin Haji Hasan, appelle à un cessez-feu immédiat à Gaza, rapporte Reuters.

Il a également déclaré que la Malaisie condamne le terrorisme sous toutes ses formes, y compris la prise de personnes en otage et le bombardement de maisons civiles.

Le point sur la situation au Liban-Sud.

Des bombardements israéliens ont visé, dans la nuit de mardi à mercredi, les abords des villages de Alma el-Chaab, Dhayra, Jebbine, Naqoura et Taïr Harfa (caza de Tyr), selon notre correspondant dans le Sud Mountasser Abdallah et l'Agence nationale d'information officielle (Ani, officielle).

Une frappe aérienne israélienne a également ciblé mardi, vers 23h, une zone située entre Markaba et Rab el-Talatine (caza de Marjayoun), selon des habitants de la région cités par notre correspondant.

Ce matin, Israël a bombardé la périphérie de Jebbine, Taïr Harfa et Yarine (Tyr). Au moins trois roquettes sont aussi tombées aux abords de Khiam (Marjayoun), rapporte notre correspondant.

L'armée israélienne, qui mène une opération militaire ciblée à l'intérieur de l'enceinte de l'hôpital al-Chifa, a par ailleurs déclaré avoir fourni des couveuses et de la nourriture pour bébés à l'établissement sanitaire, selon Reuters.

Des soldats israéliens interrogent des personnes dans l'hôpital al-Chifa, dont des patients et des médecins, tandis que des chars et des transports de troupes encerclent le complexe, rapporte un journaliste collaborant avec l'AFP sur place.

Interrogé sur l'opération israélienne dans l'hôpital al-Chifa lancée dans la nuit de mardi à mercredi, un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a déclaré que "les hôpitaux et les patients devaient être protégés". "Nous ne commenterons pas en détail une opération militaire israélienne en cours. Comme nous l'avons déjà dit, nous ne soutenons pas des frappes aériennes contre un hôpital et nous ne voulons pas voir d'échanges de tirs dans un hôpital où des personnes innocentes, démunies, malades cherchant à recevoir des soins, sont prises entre deux feux. Les hôpitaux et les patients doivent être protégés", a-t-il dit dans une déclaration transmise à l'AFP. Plus de détails ici

Pour rappel : plusieurs milliers de personnes, malades, personnel et civils déplacés par la guerre qui fait rage depuis le 7 octobre, s'entassent sur le site de l'hôpital al-Chifa, encerclé "de toutes parts" par l'armée israélienne, selon le Hamas. Le directeur de l'hôpital a déclaré qu'au moins "179 corps" avaient été enterrés mardi dans une fosse commune.

Un haut responsable de l'administration du Hamas a déclaré à l'AFP voir des "chars" et des "commandos" dans le complexe de l'hôpital. "Je suis dans l'hôpital et je vois des dizaines de soldats et de commandos aux urgences et à la réception et il y a des chars qui sont entrés dans le complexe de l'hôpital", a déclaré à l'AFP Youssef Abul Reesh, un haut responsable du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, appelant l'ONU et la communauté internationale à intervenir "immédiatement" pour mettre fin à cette opération.

Mais voici, d'ores et déjà, deux trois points à savoir : 

L'armée israélienne a annoncé tôt mercredi mener une opération "ciblée" contre le Hamas dans le site de l'hôpital al-Chifa, le plus important de la bande de Gaza. "Les forces de défense israélienne mènent une opération ciblée et de précision contre le Hamas dans un secteur spécifique de l'hôpital al-Chifa", a indiqué l'armée dans un communiqué en anglais. "La direction de l’hôpital a été informée à l’avance de l’avancée dans le complexe. Plus tard au cours de l’opération, nous espérons transférer des incubateurs, des équipements médicaux et de la nourriture infantile à l’hôpital", a encore dit l'armée. L'armée israélienne dispose sur place "d'équipes médicales et de personnes parlant arabe qui ont été entrainées spécifiquement pour cet environnement sensible et complexe et ce dans le but qu'aucun tort ne soit causé aux civils utilisés par le Hamas comme boucliers humains", a-t-elle ajouté sans préciser ses cibles.

Vous trouverez, ici, un récapitulatif général de ce qu'il faut savoir pour commencer la journée.

Bonjour,

Nous nous retrouvons, ce matin, pour reprendre la couverture en direct des événements liés à la guerre entre Israël et el Hamas. Guerre qui entre aujourd'hui dans son 40e jour.