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Politique - Eclairage

Présidentielle : pour l’opposition, pas de « plan C »

La prochaine bataille sera celle de la consolidation du score de Jihad Azour.

Présidentielle : pour l’opposition, pas de « plan C »

Des députés relevant du Rassemblement démocratique (bloc joumblattiste) lors de la séance électorale du 14 juin à la Chambre. Anwar Amro/ AFP

Après Michel Moawad, Jihad Azour. Et maintenant ? La question est d’abord adressée aux protagonistes de l’opposition – notamment Forces libanaises, Kataëb, Parti socialiste progressiste – qui ont soutenu la candidature de l’ancien ministre des...
Après Michel Moawad, Jihad Azour. Et maintenant ? La question est d’abord adressée aux protagonistes de l’opposition – notamment Forces libanaises, Kataëb, Parti socialiste progressiste – qui ont soutenu la candidature de l’ancien ministre des...

commentaires (4)

Il y a 77 députés qui ont dit non au Hezbollah... en manoeuvrant intelligemment, si cela pour certains peut se révéler possible, ceux qui ont voté Azour doivent être en mesure de vaincre certaines réticences, il serait inconcevable de porter au sommet de l'état un individu, qui par ses capacités, rappelle étrangement l'ancien locataire de Baabda.. la présidence requiert d'autre aptitudes que celle qui consisterait à résoudre une équation à deux chiffres : amal et hezbollah. Ces fameux députés de la zone dite "grise" savent ils seulement que les deux partis chiites se complaisent dans cette situation et ne sont nullement pressés de faire élire un nouveau président, leurs bases étant rémunérées, notamment, par l'Iran et que le temps joue en leur faveur..

C…

09 h 34, le 16 juin 2023

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Commentaires (4)

  • Il y a 77 députés qui ont dit non au Hezbollah... en manoeuvrant intelligemment, si cela pour certains peut se révéler possible, ceux qui ont voté Azour doivent être en mesure de vaincre certaines réticences, il serait inconcevable de porter au sommet de l'état un individu, qui par ses capacités, rappelle étrangement l'ancien locataire de Baabda.. la présidence requiert d'autre aptitudes que celle qui consisterait à résoudre une équation à deux chiffres : amal et hezbollah. Ces fameux députés de la zone dite "grise" savent ils seulement que les deux partis chiites se complaisent dans cette situation et ne sont nullement pressés de faire élire un nouveau président, leurs bases étant rémunérées, notamment, par l'Iran et que le temps joue en leur faveur..

    C…

    09 h 34, le 16 juin 2023

  • "La prochaine bataille sera celle de la consolidation du score de Jihad Azour.". Mais, si on arrive, à force de concertations, à lui obtenir les 65 vois nécessaires, Berry refusera d'ouvrir les portes du Parlement. Comme je l répète sans cesse, il n'existe qu'une solution: suivre la Constitution, n'en déplIaise à Berry.

    Yves Prevost

    07 h 19, le 16 juin 2023

  • On se moque de qui donc ? Laissez-moi rure ! Aucune chance ! Pauvre Jihad qui accepte encore de servir Joker ! Mais si ça l'amuse , bon !

    Chucri Abboud

    02 h 25, le 16 juin 2023

  • On se demande à quoi servira d'avoir élu un président de la République, puisque le pays est devenu INGOUVERNABLE. Moi j'ai envie de dire à Jihad Azour: qu'est ce que tu es venu faire dans cette galère? Avec tous tes diplômes et ton intelligence, tu ne te rends pas compte qu'une fois élu, tu vas faire face au même blocage du système et tu vas te faire humilier. Sans la levée de la mainmise du Hezbollah sur les rouages du gouvernement et sans une nouvelle constitution qui abolirait la gouvernance par consensus, je répète: le pays restera INGOUVERNABLE.

    Romulus Maximus

    00 h 26, le 16 juin 2023

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