Le chef du CPL, Gebran Bassil, au Parlement, le 18 avril 2023. Photo Nabil Ismaïl
Gebran Bassil n’en démord pas. Le chef du Courant patriotique libre se montre plus que jamais disposé à jouer toutes les cartes pour s’affirmer comme un élément incontournable dans le choix du futur président de la République, plus de six mois après...
Gebran Bassil n’en démord pas. Le chef du Courant patriotique libre se montre plus que jamais disposé à jouer toutes les cartes pour s’affirmer comme un élément incontournable dans le choix du futur président de la République, plus de six mois après...
commentaires (4)
Je partage absolument le point de vue de Mr Antoine Chouery, et le répète depuis longtemps : le Liban est resté un état féodal, avec une mentalité arriérée et un comportement de stupides suiveurs et vassaux ! Nous nous prenons pour un peuple "avancé" (à défaut d'être "civilisé"), et sommes incapables à notre époque d'abandonner totalement et radicalement le confessionnalisme, d'imposer un scrutin présidentiel à la fois populaire et ouvert indistinctement à toutes les confessions, tout autant que nous sommes incapables ni de respecter nos propres lois, ni de les faire respecter par ceux qui nous gouvernent... Le ver est dans le fruit, ce fruit qui s'affuble de la dénomination de "libanais", et si nous voulons un changement, commençons par changer de mentalité, apprendre à nous unifier pour le bien commun, à savoir la nation, et non, chacun pour sa petite chapelle, et prenons nos responsabilités pour virer cette classe politique mafieuse avec ses clans hérités de la domination, pour ne pas dire colonisation ottomane...
georges nakle
22 h 16, le 09 mai 2023