
Au Collège des sœurs antonines Mar Doumit de Roumieh, ces élèves de terminale inquiets pour leur avenir. Photo A. M.-H.
À l’école secondaire publique mixte de l’émir Chakib Arslane tout comme au Collège des sœurs antonines Mar Doumit de Roumieh, et malgré la situation privilégiée de l’établissement privé, les élèves expriment une angoisse de l’avenir proportionnelle à la crise. En premier lieu, les incertitudes liées au bac.
OLJ / Par Anne-Marie El-HAGE, le 07 avril 2023 à 00h00
Au Collège des sœurs antonines Mar Doumit de Roumieh, ces élèves de terminale inquiets pour leur avenir. Photo A. M.-H.
Très inquiétant cette situation. J'espère qu'ils vont régler ces problèmes rapidement. C'est justement grâce à la qualité de l'enseignement au Liban que nous avons pu travailler à l'étranger. Bon courage au élèves, aux parents et surtout aux équipes enseignante qui subissent tous les conséquences de cette crise économique
Cahiers et livres sur l une, tables nues chez l autre. Désolant
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Très inquiétant cette situation. J'espère qu'ils vont régler ces problèmes rapidement. C'est justement grâce à la qualité de l'enseignement au Liban que nous avons pu travailler à l'étranger. Bon courage au élèves, aux parents et surtout aux équipes enseignante qui subissent tous les conséquences de cette crise économique
Ingrid Sabbagh
22 h 52, le 07 avril 2023