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Politique - Conférence de « Bagdad II »

Une brèche dans le mur de la crise libanaise

Le Liban a été au menu de plusieurs réunions bilatérales en marge du sommet. 

OLJ / Par Mounir RABIH, le 22 décembre 2022 à 00h00

Une brèche dans le mur de la crise libanaise

Le président français Emmanuel Macron prenant la parole lors du sommet régional dit de « Bagdad II » qui s’est tenu mardi en Jordanie. Photo AFP

Si le Liban était absent du communiqué final du sommet régional dit de « Bagdad II », qui s’est tenu mardi en Jordanie, la crise politique à Beyrouth a tout de même été débattue. La conférence s’est tenue sur les rives de la mer Morte,...
Si le Liban était absent du communiqué final du sommet régional dit de « Bagdad II », qui s’est tenu mardi en Jordanie, la crise politique à Beyrouth a tout de même été débattue. La conférence s’est tenue sur les rives de la mer Morte,...

commentaires (8)

Why not let the citizens of Lebanon decide who their next president and prime minister should be? Let many candidates compete and then have a run-off election a week later between the two top vote getters?

Gus olsen / agribusiness intelligence

23 h 04, le 22 décembre 2022

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Commentaires (8)

  • Why not let the citizens of Lebanon decide who their next president and prime minister should be? Let many candidates compete and then have a run-off election a week later between the two top vote getters?

    Gus olsen / agribusiness intelligence

    23 h 04, le 22 décembre 2022

  • Monsieur Macron est un fin technocrate et malgré tout le respect que je peux lui témoigner, puisque j’étais une admiratrice sans borne sur tout ce qu’il a fait pour son pays jusqu’à ce qu’il arrive avec ses grands sabots et qu’il patauge dans la semoule en invitant les fossoyeurs de notre pays à trouver une solution aux problèmes qu’ils ont construit et évertué à mettre en œuvre jusqu’à ce que mort s’en suive et qu’il leur tapote sur l’épaule croyant qu’ils allaient renoncer à leurs projets destructeurs. Il est certes technocrate mais n’a aucune notion de la politique internationale. Il vit dans son monde d’hommes de paroles et de principes avec des loubards qui ne jurent que par les rapports de force et l’humiliation des personnes qui les croient. Alors un conseil M. Macron, lorsqu’on ne sait pas, on écoute les conseils des experts qui ont la dent dure et qui connaissent ces énergumène sur le bout des doigts. Il ne faut jamais mettre les charrettes avant les bœufs. Il y a un temps pour discuter bien sûr, mais une fois que les règles et les démocraties respectées et les lignes bien tracées.

    Sissi zayyat

    20 h 22, le 22 décembre 2022

  • N’importe quoi tant que les molahs iraniens sont la pour empêcher un président rien ne se fera . Figli di buona donna

    Eleni Caridopoulou

    17 h 30, le 22 décembre 2022

  • JE NE DONNE PLUS D,AVIS. - JE MEPRISE LA CENSURE. - LA LIBRE VOIX DES AMIS - EST POUR MOI L,INVESTITURE.

    LA LIBRE EXPRESSION

    13 h 32, le 22 décembre 2022

  • Le fait même d’inviter l’Iran à la table de négociations pour décider du sort de notre pays qu’ils ont pris le soin de détruire est un triomphe en soi pour ces agresseurs. C’est comme si on invitait Poutine à décider du sort de l’Ukraine après le massacre qu’il a infligé à ce pays et à ses citoyens. Le difference est que le président de l’Ukraine peut refuser de s’assoir sur la même table que l’usurpateur pendant que le nôtre n’a rien trouver de mieux que de les mêler à toutes les décisions qui auraient pu sauver notre pays pour ne lui laisser aucune chance de s’en sortir, et une fois évincé, il vient nous vendre le complot contre les chrétiens et le pays alors qu’il a été le premier instigateur de la destruction massive et rapide de la démocratie et de la fonction présidentielle. On n’est pas prêt d’oublier la raison ni les conditions qui lui ont permis d’accéder au fauteuil qu’il voulu réitérer pour que les désirs de son gendron soient satisfaits.

    Sissi zayyat

    12 h 09, le 22 décembre 2022

  • Initiatives, brèches, avancées...Quelle fumisterie ! L'agitation vaine du VRP de Total, allié objectif du régime iranien, ne doit leurrer personne. Pendant ce temps, c'est "business as usual" au Liban : pays en chute libre, ce qui n'empêche pas les vautours de continuer à se gaver...

    IBN KHALDOUN

    12 h 01, le 22 décembre 2022

  • DE LA PART D’UN PRESIDENT DONT LE COMPORTEMENT COMIQUE QUI A RIDICULISE SON PAYS PENDANT LE CHAMPIONNAT DE FOOT : QUE PEUT-ON ATTENDRE ? LES MENACES DE SANCTIONS ARBITRAIRES ( A L’AMÉRICAINE ) ET SON INSOLENCE FAIT QUE LA FRANCE EST DEVENU MÉPRISABLE . NOUS BÊTEMENT ON ESPERE …

    aliosha

    09 h 00, le 22 décembre 2022

  • C'est décevant de voir que les décisions politiques liées au Liban se prennent à Amman entre la France, l'Arabie Saoudite et l'Iran pour ne citer que ceux-ci. La faute en incombe seule à notre classe politique, incapable d'agir de manière autonome. Il faut cependant reconnaître le rôle positif de la France et de son président, Emmanuel Macron, qui est, dans la droite lignée de son histoire, à l'avant-garde des initiatives qui aident le Liban. Que ne ferions-nous sans elle ? S'il fallait attendre que les Saoudiens parlent aux Iraniens, je crois que nous aurions attendu des lustres. En attendant il ne se passe rien sur la scène interne.

    K1000

    00 h 41, le 22 décembre 2022

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