A Beyrouth, le marché foncier est quasiment à l’arrêt
Après l’euphorie de 2020, les ventes des parcelles à Beyrouth se sont nettement ralenties depuis que les propriétaires veulent des paiements en « vrais » dollars.
OLJ / Guillaume BOUDISSEAU, le 04 avril 2022 à 00h00
Le cabinet de conseil immobilier Ramco estime qu’environ 70 terrains dans Beyrouth municipe ont été vendus de 2019 à 2020. Mark Mansour/Photo d’archives « Le Commerce du Levant ».
Elle est loin, la période où des terrains de plusieurs millions de « lollars » (ou « dollars libanais ») pouvaient se vendre en quelques jours. La peur d’un éventuel « haircut » avait entraîné une frénésie d’achats de...
Elle est loin, la période où des terrains de plusieurs millions de « lollars » (ou « dollars libanais ») pouvaient se vendre en quelques jours. La peur d’un éventuel « haircut » avait entraîné une frénésie d’achats de...
Abonnez-vous pour 99$/an au lieu de 169$.
Un an d'actu, de réflexion, d'analyses, de découvertes, d'évasion et bien plus encore !
Enfin une bonne nouvelle !! La drogue dure de l’économie libanaise se tarirait elle ? Il faudrait une décennie sans transactions foncières pour guérir ces grands malades que sont les libanais drogués à l’immobilier. Et avec le stock d’immeubles vides ou « en cours de travaux » (depuis parfois 10 ou 20 ans), il n’y a aucun problème en vue de pénurie ni de logements, ne de bureaux ou de locaux commerciaux. Stop building !!
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
Enfin une bonne nouvelle !! La drogue dure de l’économie libanaise se tarirait elle ? Il faudrait une décennie sans transactions foncières pour guérir ces grands malades que sont les libanais drogués à l’immobilier. Et avec le stock d’immeubles vides ou « en cours de travaux » (depuis parfois 10 ou 20 ans), il n’y a aucun problème en vue de pénurie ni de logements, ne de bureaux ou de locaux commerciaux. Stop building !!
JB El catalán
11 h 29, le 04 avril 2022
ahhh l'immobilier au Liban....ou comment marcher sur la tete depuis 2005....
Comment acheter un bien qui vous apporte au mieux 2% d'interet quand on peut acheter a Paris, Londres ou NY et faire du 3 ou 4%????
Pour acheter dans un pays a risque comme au Liban il faut obtenir un retour sur investissment d'au moins 8%...c'est a dire une correction de 50% encore du niveau d'aujourd'hui.
Elementaire
07 h 45, le 04 avril 2022
Vendre en lollards c’est échanger un terrain contre un bout de papier sans valeur, même pas absorbant par exemple pour être utilisé en rouleaux aux water closets…
commentaires (3)
Enfin une bonne nouvelle !! La drogue dure de l’économie libanaise se tarirait elle ? Il faudrait une décennie sans transactions foncières pour guérir ces grands malades que sont les libanais drogués à l’immobilier. Et avec le stock d’immeubles vides ou « en cours de travaux » (depuis parfois 10 ou 20 ans), il n’y a aucun problème en vue de pénurie ni de logements, ne de bureaux ou de locaux commerciaux. Stop building !!
JB El catalán
11 h 29, le 04 avril 2022