Selon l’Agence France-Presse, « l’Ukraine dispose de quatre centrales (nucléaires) en activité qui fournissent environ la moitié de l’électricité et de plusieurs dépôts de déchets radioactifs, dont celui de Tchernobyl, lieu de la pire catastrophe nucléaire de l’histoire en 1986 ». Si elles s’arrêtent de fonctionner, ces centrales, ce sera le black-out pour une bonne partie de l’Ukraine. Cela favorisera assurément la cause impériale du maître du Kremlin, Vladimir Poutine.
Pour l’Europe, il devrait y avoir à mon sens la ligne rouge du nucléaire à ne pas franchir. La Russie devrait être avertie officiellement que si elle endommage ou détruit une centrale nucléaire, même involontairement, après avoir joué avec le feu, les soldats européens prendront part aux combats aux côtés des Ukrainiens.
Parce que si une centrale nucléaire est éventrée en Ukraine, les pays avoisinants en subiront éventuellement les conséquences, les émissions radioactives n’ayant pas besoin de passeport pour traverser les frontières.
Sylvio LE BLANC
Montréal-Québec
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