Rechercher
Rechercher

Technologies - PUBLI-INFO

Pas de fumée, moins d’odeur, pas de cendre : Philip Morris relève le défi

Face à la diminution constante des ventes de cigarettes conventionnelles, l’industrie du tabac a développé et mis sur le marché depuis plusieurs années déjà une gamme de produits à risques réduits qui chauffent le tabac sans le brûler.

Pas de fumée, moins d’odeur, pas de cendre : Philip Morris relève le défi

Les bâtiments de Philip Morris International à Lausanne. En 2020, 76 % des efforts commerciaux de la compagnie et 99 % de son département R&D ont été consacrés à ses produits sans fumée. Photo DR

« Brûler » le tabac ou simplement le « chauffer » ? Toute la différence est là, et elle est capitale. Car on ne le répétera jamais assez : ce n’est pas tant le tabac lui-même ou la nicotine qui tue, mais la combustion. Est-il besoin de rappeler que ce qui provoque les maladies cardiaques et le cancer sont le monoxyde de carbone (CO), le goudron, les particules fines et les milliers de composants chimiques qui se dégagent dès lors qu’on allume une cigarette, un cigare, une pipe… ou même une feuille de salade ? Or il n’y a rien de tout cela dans les dispositifs à risques réduits parce que la combustion a été remplacée par le chauffage du tabac, qui va produire non pas de la fumée, mais un aérosol de vapeur.

Au milieu de l’été dernier, la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis accordait à Philip Morris International (PMI) la certification « produit du tabac à risque modifié » pour son appareil IQOS. Le n° 1 des cigarettiers en avait fait la demande à travers un dossier de près de 4 000 pages. Au terme de sept mois d’analyse, l’agence de santé américaine a ainsi conclu à l’efficacité du dispositif pour aider les fumeurs à arrêter la cigarette.

Elle le décrit par ailleurs comme « un produit contenant un niveau réduit ou présentant une exposition réduite au tabac ». La FDA ajoute que « des études scientifiques ont montré qu’en passant complètement des cigarettes conventionnelles au système à risque modifié, on atténue considérablement l’exposition du corps à des produits chimiques nocifs ».

Effectivement, les produits sans fumée sont conçus pour réduire ou éliminer considérablement la formation de produits chimiques générés par la combustion du tabac. L’appareil conçu par Philip Morris ne génère ni combustion ni fumée. Ainsi, il émet en moyenne 95 % moins de produits chimiques nocifs que les cigarettes.

Avec son dispositif, la compagnie assure que le consommateur conserve la satisfaction du fumeur sans subir les méfaits de la cigarette conventionnelle. L’industriel admet toutefois qu’il ne s’agit pas d’une alternative à risque zéro puisque le phénomène de dépendance à la nicotine est maintenu. C’est pourquoi le fabricant parle plutôt d’alternative à « risques réduits » ou « modifiés ».

Il convient de signaler que les études de PMI sont soutenues par de prestigieuses institutions indépendantes du monde entier telles que la FDA américaine et bien d’autres (Public Health Agency au Royaume-Uni, British Lung Foundation, UK Center for Tobacco and Alcohol Studies).

Pour rappel, l’IQOS est un appareil comprenant des piles qui chauffent des capsules de tabac sans les brûler, à une température remarquablement inférieure à celle des cigarettes combustibles. Il se distingue donc des e-cigarettes qui, elles, chauffent un liquide pour le vaporiser.

Malgré un investissement lourd de quelque 8,1 milliards de dollars depuis 2008 en recherche et développement, puis en fabrication de son produit, PMI assure ne pas encourager le tabagisme, mais insiste sur son objectif de proposer une alternative à la cigarette traditionnelle, destinée aux fumeurs adultes qui souhaitent arrêter de fumer ou consommer le tabac autrement. Pour l’industriel, les produits chauffants ne sont pas une meilleure alternative mais une option moins nocive.

Le but ultime mis en avant par la société est de cesser à terme la production de tabac combustible. En 2020, 76 % des efforts commerciaux de la compagnie et 99 % de son département R&D ont été consacrés à ses produits sans fumée. Ses résultats à ce jour sont la meilleure preuve de son engagement à conduire un changement sans précédent.

Un accent particulier est également porté sur le confort des utilisateurs et de leur entourage : pas de fumée, moins d’odeur, pas de cendre… tout en permettant aux fumeurs de vivre une expérience très proche de celle procurée par la cigarette combustible.

En effet, lorsque l’on fume depuis de nombreuses années, le geste de porter sa cigarette à la bouche devient automatique. Certains ex-fumeurs ont même tellement l’habitude de la gestuelle qui accompagne cet instant qu’ils se retrouvent parfois à tapoter sur leur stylo comme s’ils voulaient en faire tomber la cendre ! Là où les substituts nicotiniques (patches, gommes à mâcher…) ôtent tout simplement ce geste du quotidien du fumeur, le dispositif de tabac chauffé permet de le conserver.

Un fumeur qui tente d’arrêter de fumer grâce à ce concept pourra ainsi continuer d’amener un objet à sa bouche, de « tirer » dessus, mais aussi, et surtout, d’en laisser sortir cette substance gazeuse qui autrefois était de la fumée et s’est désormais transformée en vapeur.

Présenté par Philip Morris

Management Services Limited

(Moyen-Orient) –

branche du Liban

« Brûler » le tabac ou simplement le « chauffer » ? Toute la différence est là, et elle est capitale. Car on ne le répétera jamais assez : ce n’est pas tant le tabac lui-même ou la nicotine qui tue, mais la combustion. Est-il besoin de rappeler que ce qui provoque les maladies cardiaques et le cancer sont le monoxyde de carbone (CO), le goudron, les particules...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut