La République islamique a relâché la chercheuse australo-britannique Kylie Moore-Gilbert, détenue en Iran depuis 2019 et condamnée pour espionnage au profit d’Israël, a annoncé hier la télévision d’État iranienne.
« Un homme d’affaires et deux citoyens iraniens, détenus à l’étranger sur la base de fausses accusations, ont été libérés en échange d’un espion de double nationalité travaillant pour le compte du régime sioniste », rapporte Iribnews, le site de la télévision d’État, en donnant le nom de Mme Moore-Gilbert.
commentaires (1)
On n'est pas tout-à-fait sûr de quel côté sont les "fausses accusations"!
Yves Prevost
07 h 17, le 26 novembre 2020