Rechercher
Rechercher

Politique - Décryptage

Nasrallah, un discours qui annonce la fin d’une époque...

C’est sans doute un des plus importants discours du secrétaire général du Hezbollah que celui qu’il a prononcé mardi soir. Non seulement parce que le Liban traverse une période particulièrement délicate, mais aussi parce que Hassan Nasrallah a été d’une grande franchise, mettant l’accent sur le fait que le pays est véritablement à la croisée des chemins. Il a ainsi évoqué beaucoup de pistes qui circulaient discrètement dans les milieux politiques, comme la nécessité de se tourner vers l’Est et de procéder à des échanges commerciaux avec certains pays, voisins ou non, sans utiliser le dollar américain.

Même si les propositions du secrétaire général du Hezbollah ne seront pas retenues ni même officiellement discutées, elles montrent en tout cas que le Liban pourrait chercher d’autres voies qui pourraient constituer une rupture avec son passé. Mardi soir, Nasrallah a pris soin de faire assumer la responsabilité d’un éventuel tel changement à l’actuelle administration américaine qui veut étouffer, affamer et détruire, selon lui, les peuples de la région pour servir les intérêts israéliens.

C’est ainsi que, selon lui, la demande de fermer les frontières avec la Syrie, dans le cadre de la loi César, qui vise à étouffer le régime syrien et empêcher toute partie, toute personne ou même tout État à procéder à des échanges avec lui, vise en réalité à pousser le Liban à ouvrir ses frontières avec Israël, dans la foulée de ce qui se passe actuellement avec certains pays arabes.

Pour Nasrallah donc, les choses sont claires : l’ennemi est identifié et les Libanais n’ont pratiquement d’autre choix que celui de réagir. Ce serait donc en quelque sorte, pour eux, une question de survie.

« À ceux qui veulent nous placer devant le choix d’être tués par les armes ou de mourir de faim, nous disons que nous ne déposerons pas nos armes et nous ne mourrons pas de faim. Mais c’est nous qui tuerons ceux qui veulent nous tuer. » Cette phrase-clé, dont Nasrallah a répété à trois reprises la dernière partie, résume tout son discours. Pour le secrétaire général du Hezbollah, il ne s’agit donc plus d’une crise économique, ni d’un problème de corruption ni même de questions structurelles dans le système. Il s’agit bel et bien d’une guerre totale qui ne laisse au Liban d’autre choix que celui de se battre en essayant de creuser de nouvelles pistes, lesquelles n’avaient pas été jusqu’à présent prises au sérieux, le Liban étant traditionnellement considéré comme un pays arabe « à visage occidentalisé ». D’ailleurs, c’est l’un des pays du monde dont l’économie est la plus « dollarisée », et les enseignes de luxe y sont nombreuses et attiraient, pendant les années de prospérité, les clients venus de l’ensemble du monde arabe. Autres temps, autre époque. Car dans son dernier discours, Nasrallah a placé le Liban face à de nouvelles réalités.

Lire aussi

Nasrallah fait de la loi César une affaire libanaise

Le secrétaire général du Hezbollah a pratiquement sonné le glas des méthodes traditionnelles pour sortir de la crise, en préconisant des changements radicaux. Nasrallah a ainsi clairement parlé de la possibilité de se diriger vers l’Iran et la Chine pour contourner ce qu’il considère comme un blocus américain imposé au Liban. Il a aussi parlé d’autres pays, sans les nommer, poussant le gouvernement à ne plus hésiter à étudier ces possibilités. Il faut préciser que depuis des semaines, certains médias avaient évoqué une proposition chinoise pour le secteur de l’électricité et celui des transports en commun au Liban (notamment la réhabilitation et la mise en service du secteur ferroviaire), mais il n’y avait eu aucune confirmation officielle, les ministères concernés continuant à parler de tractations avec des compagnies principalement occidentales.

Pour Nasrallah, les dernières mesures américaines sont en quelque sorte une aubaine. En poursuivant sa politique de sanctions très sévères contre le Liban, qui visent en principe à asphyxier le Hezbollah, mais qui ont des répercussions dramatiques sur l’ensemble du pays, l’administration américaine a quelque part, et peut-être sans s’en rendre compte, rendu service à cette formation. Les mesures américaines, doublées du manque d’enthousiasme d’autres pays qui avaient l’habitude de se tenir aux côtés du Liban, alimentent la thèse du Hezbollah sur la nécessité d’aller chercher de l’aide ailleurs.

Dans son développement, Nasrallah a d’ailleurs clairement rendu les Américains responsables de « la crise du dollar » que traverse actuellement le pays, et il l’a dit dans un langage simple, accessible à ses auditeurs, parlant même d’une fuite de quatre milliards de dollars du Liban entre août 2019 et février 2020.

En tant que composante importante du tissu politique et social libanais, le Hezbollah a certes son mot à dire sur les options du pays. Mais mardi soir, il ne s’agissait plus de le faire dans le cadre des réunions discrètes. Hassan Nasrallah a dressé le tableau général et l’a ouvertement exposé aux Libanais en leur disant que l’équation « déposer les armes ou mourir de faim » n’est pas acceptable et qu’il existe de nouvelles options pour y faire face. S’adressant aux Américains, Nasrallah a dit : « Si vous misez sur le fait que nous aurons faim et que nous partirons, cela ne se produira pas. » En même temps, il s’est voulu rassurant au sujet du gouvernement, surtout après des rumeurs sur sa chute prochaine. Enfin, il a tendu la main à une coopération avec toutes les parties internes, saluant, dans la foulée, les efforts visant à rassembler tous les protagonistes dans le cadre de la réunion élargie qui doit se tenir à Baabda le 25 juin. Son discours a surtout résonné comme l’annonce de la fin d’une époque et l’ouverture d’une nouvelle...

C’est sans doute un des plus importants discours du secrétaire général du Hezbollah que celui qu’il a prononcé mardi soir. Non seulement parce que le Liban traverse une période particulièrement délicate, mais aussi parce que Hassan Nasrallah a été d’une grande franchise, mettant l’accent sur le fait que le pays est véritablement à la croisée des chemins. Il a ainsi évoqué...

commentaires (23)

Un article assez triste, dénué de toute réalité, la seule chose que vous mettez en avant c est qu une personne est prête à décider du sort d un pays, une personne qui se cache veut faire la guerre à la première puissance économique et militaire du monde, cela fait rire. Je pense qu'il est grand temps d ecrire des vérités et non de rapportés des bêtises de journaliste, votre article fait clairement voir votre prise de partie et ne montre pas votre impartialité. Après cela serait bien que le Hezbollah arrête de faire souffrir le peuple libanais, si ils veulent faire la guerre qu'ils la fasse mais ailleurs, laissez les gens tranquil avec votre véhémence et vos actes souvent déplacés. Je suis triste de voir un peuple libanais incapable d etre unis à l intérieur de son pays et que le seul endroit où il est unis c est ailleurs que dans son pays.

Louit Alexandre

23 h 07, le 18 juin 2020

Tous les commentaires

Commentaires (23)

  • Un article assez triste, dénué de toute réalité, la seule chose que vous mettez en avant c est qu une personne est prête à décider du sort d un pays, une personne qui se cache veut faire la guerre à la première puissance économique et militaire du monde, cela fait rire. Je pense qu'il est grand temps d ecrire des vérités et non de rapportés des bêtises de journaliste, votre article fait clairement voir votre prise de partie et ne montre pas votre impartialité. Après cela serait bien que le Hezbollah arrête de faire souffrir le peuple libanais, si ils veulent faire la guerre qu'ils la fasse mais ailleurs, laissez les gens tranquil avec votre véhémence et vos actes souvent déplacés. Je suis triste de voir un peuple libanais incapable d etre unis à l intérieur de son pays et que le seul endroit où il est unis c est ailleurs que dans son pays.

    Louit Alexandre

    23 h 07, le 18 juin 2020

  • Décidément madame Haddad vous continuez à me surprendre avec vos articles! Donc pour vous en temps que Journaliste et probablement en tant que citoyennes Libanaise, vous êtes d'accord qu'on Jetté le Liban dans les bras de L'Iran et les Chinois! Les Chinois chère Madame prennent tout et font très peut de concessions! Ils sont encore plus coriaces que les Iraniens! Donc on tombe de la Liberté d'expression et de pensé Libre à deux dictatures implacables pour sauver un Sayyed, qui prétend être de la résistance, mais en réalité c'est l'envahisseur! Résistance de quoi en 82 invasion Israélien à cause des incursions et attaque de l'OLP du Sud Liban! Même scénario en 2006, mais la c'est le Sayyed et ses sbires qui ont fait la même chose! Conclusion chère Madame toute cette M à commencer à l'arrivée de Nasrallah au pouvoir et vous applaudissez la destruction de toutes les valeurs Lubanaise pour devenir Iranienne ou Chinoise! Félicitations pour votre patriotisme! Vous venez de cracher sur la mémoire des fondateurs de ce pays! BRAVO!

    Marwan Takchi

    22 h 25, le 18 juin 2020

  • Il est grand temps enfin de changer d'alliances

    Chucri Abboud

    16 h 34, le 18 juin 2020

  • j'avais une peur maladive que le genie visionnaire du Secretaire General du Hizballah ne soit un cas isolé dans la platitude intellectuelle libanaise. Je suis réconforté de savoir, apres avoir lu cet article, que le virus co-genial du Secrétaire sera préservé d'une manière presque intégrale dans des couveuse journalistiques activée par des puces a base d'intelligence artificielle.

    SATURNE

    15 h 42, le 18 juin 2020

  • vise en réalité à pousser le Liban à ouvrir ses frontières avec Israël, dans la foulée de ce qui se passe actuellement avec certains pays arabes. ET POURQUOI PAS MADAME? NOUS AURIONS AINSI UNE AUTRE VOIE DE PASSAGE VERS LES PAYS ARABES ET NOUS FINIRONS DES CAPRICES DE LA SYRIE QUI BLOQUE QUAND CELA LUI PLAIT LES CAMIONS LIBANAIS Mais c’est nous qui tuerons ceux qui veulent nous tuer. » Cette phrase-clé, dont Nasrallah a répété à trois reprises la dernière partie, résume tout son discours. CAD JE TUERAI LES AMERICAINS? QUI ETES VOUS ENFERME DEPUIS 14 ANS SIX PIEDS SOUS TERRE POUR MENACER NOS MEILLEURS AMIS EN REALITE? VOUS VOULEZ ATTAQUER LEUR AMBASSADE? LES AMERICAINS RESIDANTS AU LIBAN? ISRAEL? VOUS VOULEZ POUR LES BEAUX YEUX DE L'IRAN PLONGE LE PAYS DANS UNE GUERRE SANS MERCI QUE VOUS SAVEZ QUE VOUS PERDREZ EN FIN DE COMPTE LA VERITE UN ARTICLE ENCENSSANT UN GUIDE NON LIBANAIS UN POINT C'EST TOUT

    LA VERITE

    15 h 42, le 18 juin 2020

  • Pourquoi pas la Chine ?Pourquoi écarter des liens forts avec cette puissance . les Chinois sont partout et ce sont eux qui construisent partout les Chemins ferrovaires et produisent pour tous les pays occidentaux . Faut il subir à l'extrême l'hégémonie américaine et des pays arabes pétroliers ? . non . Par contre faire des trocs avec l'Iran est certes une alternative pour la Syrie mais ce serait le suicide pour le Liban qui est fortement divisé sur le sujet de la résistance et de l'Iran et car même l'Occident n'arrive pas à traiter comme il souhaite avec l'Iran .

    Lecteurs OLJ 2 / BLF

    14 h 39, le 18 juin 2020

  • Décryptage (selon le petit Larousse): Retrouver le sens clair d'un message chiffré en écriture secrète, sans connaître la clef ayant servi à le transcrire.Rendre intelligible un texte obscur, l'élucider......... Malheureusement cette définition ne correspond point au texte de Mme Haddad et toujours selon le Larousse Le mot qui correspond le mieux serait Déception: latin deceptio, -onis, de decipere, tromper) ....une correction du titre s'impose alors car le soi-disant décryptage de l'exposé de hassan est trompeur et n'expose pas le vrai sens de ses intentions celles d'appauvrir le pays pour le sacrifice sur l'autel de ses maîtres iraniens ... Aller vers l'est ou faire de l'échange de biens... Oui et pourquoi pas ouvrir des succursales de produits libanais au ciel auprès des martyrs de tout bords... Déception est sûrement la bon mot.

    Wlek Sanferlou

    14 h 25, le 18 juin 2020

  • HN a enfin été d'une sincérité extrême et avec ce discours il déclare, pour la première fois, ouvertement et sans ambages, enlevant enfin le masque du mensonge dont il nous a fait cadeau lorsqu'il a annoncé avoir changé les statuts de son parti et renoncer a ce projet. De toutes les inepties dites c'est le fond qui compte et le fond c'est justement de se soumettre et devenir cette province tant rêvée! Pour lui les USA sont responsables de la crise économique et vont augmenter la pression jusqu’à ce que le Liban fléchisse et fasse la paix avec Israël. Il vont mettre la pression jusqu’à pouvoir exploiter nos ressources maritimes. Ils vont ... ... ... et donc il nous faut leur résister, les combattre et les tuer, tuer, tuer! Je lui pose une seule question: Pourquoi? Pour vivre sans paix mais dans une guerre continue sans possible future? Pour rester dans la pauvreté la misère et ne pas profiter des richesses du pays comme le tourisme, la culture, les pèlerinages ou même le gaz et le pétrole à l'avenir? Avec ce discours, HN a signé la fin de son parti et mis toute la communauté Chiite et les quelques sous fifres qui lui reste, en danger. Ses armes il peut les garder si cela lui chante mais nous lui botterons les fesses très bientôt car cela fait des années qu'on lui demande de raisonner sans résultat. Alors chose promise chose du qu'il se prépare!

    Pierre Hadjigeorgiou

    13 h 56, le 18 juin 2020

  • des que je vois une article signé de Mme Haddad, je passe...

    Jack Gardner

    13 h 33, le 18 juin 2020

  • Mourir par les armes ou de faim? Il y a une troisième voie que tous les libanais sans exception préféreraient; S'éloigner définitivement de l'axe des mollahs, se rapprocher de l'occident et de ses valeurs, et des pays arabes pour le négoce, et redevenir le trait d'union que nous avons toujours été... Non Mr Nasrallah, non Mme Haddad, nous rapprocher de la Chine et de l'Iran, ce n'est pas l'ADN des Libanais....

    Bachir Karim

    13 h 25, le 18 juin 2020

  • Aide toi le ciel t'aidera dit-on! La politique du Hezb et de ses alliés ou plutôt des partis qui lui sont inféodés ne nous aide en rien actuellement et, dans les faits, il faut croire que si la situation est tellement pourri, c'est bien à cause des dirigeants que nous avons depuis 1990 au départ et surtout depuis 2006. Les négociations avec le FMI en sont un bel exemple; tout faire pour que rien ne puisse se concrétiser et que le statu quo lamentable perdure. Les demandes du 17 octobre ne sont pas adressées, elles sont légitimes mais le pouvoir n'en a cure, les gueux n'ont qu'à souffrir et mourir de faim en silence! Que faire si ce n'est demander la fin de ce pouvoir corrompu, inutile et criminel? Surtout ne pas donner une once de crédit au Hezb et à son chef et à ses discours vides de sens!

    TrucMuche

    11 h 53, le 18 juin 2020

  • je salue la rare voix de la presse francaise au Liban qui continue avec perseverance de nous fournir de l'info plutot que de l'intox... Tara..., Tara..., disait l'autre Scarlett ... et elle avait raison ... de la famine ...comme du desespoir ... Nous sommes tous des ... Scarlett ... qui gagneront dans la lutte pour notre terre libre .. et souveraine ... Encore merci A. A.

    Demian, John S.

    11 h 17, le 18 juin 2020

  • Ce n'est certainement pas Hassan Nasrallah, représentant du régime iranien chez nous avec sa mentalité obscurantiste et rétrograde, qui peut conseiller aux Libanais comment diriger leur pays ! Et ce ne sont pas ses paroles enrobées de miel pour la circonstance qui vont nous convaincre. On le connaît trop bien...voyant depuis des années qu'il ne se préoccupe absolument pas de notre pays et de son peuple, son seul but étant d'exécuter les projets de Téhéran. Irène Saïd

    Irene Said

    10 h 38, le 18 juin 2020

  • Ils sont de moins en moins nombreux a croire, ou meme écouter entièrement, les diarrhées verbales du sieur Nasrallah. Vous en faites visiblement encore partie, grand bien vous fasse. Notre HN d'importation se bombarde macro-économiste et modifie les theories de Keynes ou Ricardo sans peur de se contredire quelques minutes plus tard. Visiblement piqué au vif par la dependence des Libanais au Dollar, il veut le remplacer par des promesses de paradis Perse...sauf que le moindre boutiquier de Dahié donnerait père et mere pur le billet vert. Va commencer par la plutôt que de nous casser les oreilles.

    Lebinlon

    09 h 48, le 18 juin 2020

  • NON et NON et NON Mme Haddad. Il faut arrêter une fois pour toutes vos articles biaisés qui ne représentent que votre propre opinion et non celle de la majorité des libanais. Même si votre idole représente une frange importante de la société, celle ci n’est pas la majorité et ne peut en aucune façon imposer son point de vue aux autres. Nous avons résisté par le passé contre toute hégémonie, nous n’hésiterons pas à résister à nouveau s’il le faut. Que ce soit clair pour tous.

    Lecteur excédé par la censure

    09 h 34, le 18 juin 2020

  • POUR FINIR.... la loi cesar n'aura d'effets que sur les associes de assad et pas du tout sur l'economie du Liban encore moins sur les LIBANAIS. Fin d'une epoque oui, l'epoque actuelle ayant deja fait decouvrir a nos compatriotes le degre de mensonges/propagande et en sont liberes, le seront d'autant mieux que : "" la corde du mensonge est courte" .....qu'ils ne savent plus cacher leur echec a ces guerriers de moeurs & de parrains persans.

    Gaby SIOUFI

    09 h 30, le 18 juin 2020

  • C bien ca, elle a raison: fin d'une epoque. celle ou les moumanaistes guerriers de toutes sortes -aounistes inclus-avaient cru nasrallah et avant lui tous les dirigeants arabes qui avaient jure détruire israel etc... fini cette promesse ! meme les cent mille fusees , les guerres saintes n'ont rien pu faire. meme l'iran, le hezb et d'autres syriens n'ont pu avoir le dessus ,n'etait ce Putin on aurait vu daech a damas. Nouvelle epoque economique cette fois: la chine construirait des installations d'usines d'electricite en BOT, se ferait payer en LL.... non mais,si nasrallah se sent OBLIGE de sortir cette "chose" , scarlet H elle ?adopter une telle ineptie ? mais bon le ridicule ne tue pas... sauf que des eleves risquent d'etre endoctrines par un ridicule cache en doctrine

    Gaby SIOUFI

    09 h 23, le 18 juin 2020

  • Chercher de l'aide ailleurs? Pas si cette aide s'avère être tout aussi asphyxiante et plus exigeante encore que l'engrenage terrible ou l'on se trouve.... Acculés comme nous le sommes, au lieu de changer aveuglement de camps en espérant que le nouveau "tuteur" soit plus indulgent et plus généreux que le précédent, ne vaudrait-il pas mieux penser pour une fois à unir nos troupes? Comme nos chers dirigeants, cet article témoigne avec vivacité du manque absolu de solidarité qui signera la fin du Liban tel que nous le connaissons. Quel dommage...

    Maya Chehab

    09 h 05, le 18 juin 2020

  • Desole Mme Haddad mais le Hezbollah rendra ses armes le jour ou le regime mollahs n'aura plus besoin de ses services ni plus ni moins, que les peuples libanais ou syriens ne soint pas d'accord ou meurent de faim cela est le dernier de leur soucis. SIl'Iran parivient a faure lever l'embargo, a nourrir son peuple et a le ramener dans le concert des nations civilisees alors Assad ou Hezb seront juste des cartes a negocier

    Liban Libre

    09 h 05, le 18 juin 2020

  • Il n'y a aucun signe montrant que la Chine s’intéresse au Liban

    Tabet Ibrahim

    08 h 37, le 18 juin 2020

  • Annonce : cherchons désespérément un « colonel Degaulle » qui puisse souffler à ce pays un esprit de résistance parce que c’est de la survie d’ un petit peuple qui fut extraordinaire qu’il s’agit à présent. Aimé

    Haddad aimé

    07 h 31, le 18 juin 2020

  • “A ete d’une grande franchise”???pour qui prenez vous vos lecteurs? Ce discours a ete une serie ininterrompue de mensonges. Meme quand les faits etaient correctement decrits, les intentions ou raisons ne l’etaient pas. Je suis desole mais cet article n’est pas du journalisme, c’est une prise de position camouflee.

    Saade Joe

    05 h 52, le 18 juin 2020

  • Le projet du HEZB est que tout le LIBAN ressemble aux quartiers misereux sud de Beirut .

    HABIBI FRANCAIS

    03 h 30, le 18 juin 2020

Retour en haut