Antoinette Chahine, militante des droits de l’homme. Photo ANI
● Samy Gemayel, chef des Kataëb, sur Twitter : « Adieu patriarche (Nasrallah) Sfeir, saluez Pierre (Gemayel), Antoine (Ghanem) et nos camarades martyrs. Nous resterons fidèles à vos principes. »
● Bilal Abdallah, député du bloc joumblattiste, sur Twitter : « Aujourd’hui, jour de deuil national. À Bkerké, nous disons adieu au symbole de la réconciliation, du patriotisme et de la souveraineté. Le Liban est triste. »
● Le Courant patriotique libre, dans un communiqué : « (…) Le Liban dit adieu à un guide spirituel en même temps que le pays traverse une étape importante de son histoire. Les positions nationales du patriarche Sfeir fondées sur son attachement à l’indépendance et à la décision libre ont aidé à rapprocher la parole des Libanais dans les circonstances difficiles. »
● Élias Hankache, député Kataëb : « Nous nous prosternons devant vous, ô saint de Bkerké !… Priez pour le Liban. »
● Moustapha Allouche, ancien député, membre du bureau politique du courant du Futur : « Le patriarche Sfeir était le guide spirituel des forces du 14 Mars. Nous le visitions de manière périodique pour écouter ses directives. »
● Antoinette Chahine, militante des droits de l’homme, dans une déclaration : « Lorsque j’étais emprisonnée, ma mère montait pieds nus les marches de Bkerké, et le patriarche Sfeir la recevait, avec ou sans rendez-vous (…). Il disait aux avocats et à Mgr Guy Noujeim que “cette fille (Antoinette Chahine) m’ensanglante le cœur en raison de la souffrance qu’elle vit”. »
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