Rechercher
Rechercher

Liban - L'événement / Jour de la Terre

Sauver la planète, c'est possible : en voici la preuve

Illustration Bigstock

Lundi 22 avril, on fêtait le Jour de la Terre. Dire que cette journée ne semble pas avoir mobilisé les foules relève de l’euphémisme. Dommage, car s’il est une cause pour laquelle le monde devrait se mobiliser, il s’agit bien de notre planète et de sa survie.

Pollution, déchets, surexploitation des ressources… Est-il encore nécessaire de souligner les maux dont souffre la Terre ?

Plutôt que de pointer du doigt les problèmes, nous avons décidé de vous parler de solutions. Car du Liban à l’Inde, en passant par le Honduras, les Philippines, la France ou les Etats-Unis, ils sont nombreux à avoir développé des solutions locales et innovantes qui pourraient bien répondre, de manière globale, aux soucis de notre planète.

Le système de compostage facile mis en place, sur des campus universitaires à travers le Liban, par l’ONG Compost Baladi, ne serait-il pas duplicable ailleurs ? De même, l’invention d’ingénieurs indiens pour neutraliser la pollution émise par les générateurs diesel -véritable fléau au Liban- en la transformant en encre, ne pourrait-elle pas inspirer au pays du Cèdre ? Et de l’expérience de cette île des Caraïbes, qui transforme les bouteilles en plastique récupérées de la mer en asphalte, n’y a-t-il pas des leçons à tirer un peu partout à travers le monde ?

Parce que nous croyons fermement à l’union des forces, L’Orient-Le Jour a participé, cette année, à une opération baptisée « Earth beats » initiée par Sparknews, une organisation qui promeut le journalisme de solution, avec 18 grands médias du monde entier, pour vous proposer toutes ces histoires (en partenariat avec l’Agence universitaire de la francophonie) qui viennent prouver qu’au-delà du constat un peu plombant que les choses vont mal, il existe des solutions. À grande échelle, mais aussi à plus petite échelle. À notre échelle.

Voici ces histoires, en espérant qu’elles vous inspireront.


Lire dans notre dossier

Recyclage des déchets électroniques au Liban : une ONG à la barre, par Suzanne Baaklini, L'Orient-Le Jour

En Inde, une solution ingénieuse et rentable contre la pollution des générateurs diesel, par Jacob Koshy, The Hindu

Les huîtres peuvent-elles nettoyer le port de New York ?, par Eva Botkin-Kowacki, The Christian Science Monitor

Composter au Liban une tonne après l’autre, par Anne Ilcinkas, L'Orient-Le Jour

Des épiceries contre le gaspillage alimentaire, par Caroline De Malet, Le Figaro

Aux Caraïbes, des routes en plastique pour sauver les dauphins, par Glenda Estrada, El Heraldo

San Fernando, ville zéro déchet modèle, par Jan Victor R. Mateo, The Philippine Star

Une plate-forme open source pour trier les déchets, par Chitra Ramani, The Hindu

Protégeons les battements de la Terre, l'édito de Christian de Boisredon, fondateur de Sparknews, et l’équipe de Sparknews


En partenariat avec l'Agence universitaire de la Francophonie


Lundi 22 avril, on fêtait le Jour de la Terre. Dire que cette journée ne semble pas avoir mobilisé les foules relève de l’euphémisme. Dommage, car s’il est une cause pour laquelle le monde devrait se mobiliser, il s’agit bien de notre planète et de sa survie.Pollution, déchets, surexploitation des ressources… Est-il encore nécessaire de souligner les maux dont souffre la Terre ?Plutôt que de pointer du doigt les problèmes, nous avons décidé de vous parler de solutions. Car du Liban à l’Inde, en passant par le Honduras, les Philippines, la France ou les Etats-Unis, ils sont nombreux à avoir développé des solutions locales et innovantes qui pourraient bien répondre, de manière globale, aux soucis de notre planète.Le système de compostage facile mis en place, sur des campus universitaires à travers le Liban,...
commentaires (2)

LES PROFONDEURS DE LA PLANETE EXPLOITEES AU MAXIMUM DE LEURS CAPACITES PAR L,HOMME QUI LES VIDE DE LEURS CONTENUS DE TOUTES SORTES PREDISENT DE PLUS GRANDES CATASTROPHES NATURELLES DE PLUS EN PLUS RECURRENTES ET LA DESTRUCTION SYSTEMATIQUE DANS UN FUTUR MOYEN DE LA PLANETE TERRE COMME ON LA CONNAIT. SI ON NE BOUGE PAS DANS L,IMMEDIAT AVEC DES MESURES DRASTIQUES LES VIDES DANS LES ENTRAILLES DE LA TERRE SERONT REMPLIS PAR LA MATIERE DES CONTINENTS DONT DES PARTIES SERONT ENGLOUTIES... ET L,ATMOSPHERE POLLUEE SANS CESSE ET SANS RETOUR... ENGENDRERONT DES CATASTROPHES BIBLIQUES !

LA LIBRE EXPRESSION.

12 h 34, le 24 avril 2019

Commenter Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • LES PROFONDEURS DE LA PLANETE EXPLOITEES AU MAXIMUM DE LEURS CAPACITES PAR L,HOMME QUI LES VIDE DE LEURS CONTENUS DE TOUTES SORTES PREDISENT DE PLUS GRANDES CATASTROPHES NATURELLES DE PLUS EN PLUS RECURRENTES ET LA DESTRUCTION SYSTEMATIQUE DANS UN FUTUR MOYEN DE LA PLANETE TERRE COMME ON LA CONNAIT. SI ON NE BOUGE PAS DANS L,IMMEDIAT AVEC DES MESURES DRASTIQUES LES VIDES DANS LES ENTRAILLES DE LA TERRE SERONT REMPLIS PAR LA MATIERE DES CONTINENTS DONT DES PARTIES SERONT ENGLOUTIES... ET L,ATMOSPHERE POLLUEE SANS CESSE ET SANS RETOUR... ENGENDRERONT DES CATASTROPHES BIBLIQUES !

    LA LIBRE EXPRESSION.

    12 h 34, le 24 avril 2019

  • Lorsqu'un journal "L'Orient-Le Jour" pour ne pas le nommer, le seul survivant des journaux francophones du Levant, emploie le titre "Earth Beats" sans mettre la traduction française entre parenthèses, pour ses lecteurs plus qu'octogénaires qui ont eu la chance d'être nés du temps heureux du Mandat français du Haut-Commissaire Henri Ponsot et du Président Charles Debbas et qui ne comprennent que l'arabe et le français, cela est-il normal ?

    Annie

    12 h 27, le 24 avril 2019

Retour en haut