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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Les ONG, chaîne de solidarité à soutenir

À la cérémonie de Takreem, de gauche à droite : Youmna Karam, Maha Chalabi, Ricardo Karam, Lara Hariri et Philippe Bustros.

L’excellence arabe réunie au Koweït

Cette année, la cérémonie de remise des prix de Takreem a eu lieu à Koweït City, où tout était prêt pour accueillir les invités de Ricardo Karam. La météo a failli en décider autrement, plongeant l’émirat sous des pluies diluviennes, entraînant inondations et perturbations du trafic aérien. C’est par miracle que le ciel s’est éclairci la veille de l’événement, permettant de justesse d’éviter l’annulation des différents programmes prévus pour le week-end.

Ainsi, malgré une centaine de défections, 450 personnes ont réussi à venir des différents coins du monde pour célébrer ensemble l’excellence arabe.

Cheikh Moubarak Jaber al-Sabah et son épouse Paula ont donné le coup d’envoi des cérémonies avec une soirée orientale dans leur palais Dar el-Noor, qui abrite une des plus belles collections d’art contemporain du Moyen-Orient. Là, bien que les femmes en caftans et autres tenues orientales ont rivalisé d’élégance, c’est le tarbouche de Ricardo qui a fait sensation.

Le lendemain, les invités découvraient à Dar al-athar al-islamiya la collection privée d’art islamique de cheikh Nasser al-Sabah et son épouse Hussa, et ensuite, celle de Abdellatif al-Hamad à l’Arab Fund.

Dans la soirée, la cérémonie de remise des prix de Takreem, suivie d’un grand dîner de gala à l’Opera House, a rassemblé 1 200 personnes qui ont applaudi le cru 2018 des lauréats qui se sont illustrés dans plusieurs domaines : Magda Gobran, la « Mère Teresa » égyptienne, le Palestino-Libanais Émile Haddad, développeur de villes californiennes, Ahmad Mater, fer de lance de la nouvelle scène artistique saoudienne, la Libanaise Nadine Hachache, qui a su allier médecine et technologie, Tahar Ben Lakhdar, le berger qui a révolutionné l’éducation en Tunisie, la Syrienne Nadia Sakati, qui a impacté la recherche dans le monde de la science.

Présents, plus de 50 cheikhs et cheikhas de la famille al-Sabah, des ambassadeurs, l’épouse du Premier ministre libanais Lara Hariri dans l’une de ses rares apparitions publiques, entourée de ses parents Bachir et Ghaida al-Azem, le gratin koweïtien (Bahbabahani, Babtein, al-Sayer, al-Sultan, al-Ghanim... ), ainsi que Souad Juffali, Raja Sidawi, Robert Sursock, Samir Atallah, Maha Chalabi, Hala Pharaon, Jamil et Sihab Kabbara, Omar Danial, Melek el-Nimer, Michel et Randa Accad, Tamara Chalabi, Paula Askari, la militante somalienne Fadumo Dayeb, la journaliste américaine et correspondante internationale de la CNN Arwa Damon, pour ne citer que quelques-uns.

Le lendemain, le forum TAKminds, dernier-né de Takreem, a été lancé par le Prix Nobel de la paix 2014, l’Indien Kaliath Satiyarthi. Cette première édition de TAKminds a regroupé divers panelistes et intervenants qui ont emballé l’audience, suscitant une volonté d’agir pour réformer nos sociétés.

Dimanche soir, Amer (président du conseil d’administration de Gulf Cyro) et Rana Huneidi ont reçu plus d’une centaine de convives encore présents au Koweït autour d’une même table élégantissime et conviviale. Dans l’esprit de Takreem.


Ultra top Mrs. Saad

Théodore Kattouf, président et fondateur de l’organisation

Amideast, ancien ambassadeur américain aux Émirats arabes unis et en Syrie, et considéré à Washington comme un « vétéran » des Affaires étrangères, a fait le déplacement jusqu’à Beyrouth pour célébrer les cinquante ans de la branche libanaise. Depuis cinq décennies, Amideast, organisation regroupant les pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, gère des activités de développement dans le domaine de l’éducation, offrant même des bourses d’études pour aider les jeunes générations à financer leur formation à l’étranger. À cette occasion, le Sea Side a résonné autrement avec le groupe pop-électro français Shine, relayé par la chanteuse Aziza dont la « music is great, wonderful in every way ! », s’est exclamé le Californien Harry Nadjarian (fondateur de Industrial Motor Power Corporation). Quant à nos crooners nationaux, Chucri Sader et Eddie Moutran, ils se disputaient quasiment le micro pour partager la scène avec les artistes.

Le président sortant du conseil d’administration d’Amideast/Liban, Anis Nassar, son successeur Wafa’ Saab (en robe argentée Nada Ghandour) et le comité dont font partie Katarina et Sandra Tarazi, Lina Assaf, Suhair Abou Issa, Maya Frem et Maya Doumet accueillaient leurs invités. Parmi lesquels Leila Charles Saad qui a reçu ce soir-là le « Education Hero Award » pour son rôle précurseur dans le domaine de l’éducation. À 93 ans, la grande dame a tenu avec brio un discours sans l’appui d’aucune note. Le directeur général des écoles Sabis, Ralph Boustani, George Saad, Victor et Tala Saad, Fernand et Eugénie Hosri étaient fiers d’elle. Dans l’assemblée, les anciens ministres Fadi Abboud et Walid Daouk (avec Roula), ainsi que Henri et Marianne Hélou, le député du Metn et secrétaire général du parti Tachnag Hagop Pakradounian, le directeur général du ministère de l’Éducation Fadi Yarak (avec Joumana), le coordinateur spécial adjoint des Nations unies pour le Liban Philippe Lazarini (et Antonia), Nayla Moawad, Raffoul et Mariana Sabbagha, Jean et Joumana Tamer, Salim et Sana Zeenni, Maha Kaddoura, l’ambassadeur Antonio Andary, May Chidiac, Jawad et Zeina Adra, Hala Cochrane, Barbara et Mahmoud Batlouni, Raja et Christiane Makarem, Mohammad et Hania Ahmar, Joseph et Nancy Jabra, Malek el-Khoury, Kristen Smith, Youssef Matar, Charles et Yola Noujeim, Chérif et Rana Idriss, Guy Manoukian et bien d’autres.


Le panache de Marie-Claude

Jeudi 6 décembre, dîner à l’hôtel Le Bristol au profit de la Fondation Père Afif Osseirane (FPAO), qui s’occupe de mineurs en conflit avec la loi dans la prison de Roumieh. L’ancien président Michel Sleiman, Ghassan Hasbani, Michel Pharaon et Leila Solh Hamadé étaient aux côtés de Mona Choueiri, présidente de la FPAO, et du vice-président Kamal Badaro, qui a accompagné au piano des enfants arborant un tee-shirt à l’effigie du père Osseirane pour chanter l’hymne national. Lors de son discours, M. Badaro a mis l’accent sur l’ancienneté de la fondation (1967-2018, soit 51 ans) et les 17 000 enfants pris en charge au cours des décennies. Une équipe de l’école de danse de Marie-Claude Bitar a fait ensuite irruption sur le dance floor, faisant vibrer avec panache la salle de bal, avant d’être relayée par « Scarlett and the Band ». Au milieu de cette belle ambiance, le tirage au sort de la tombola a été effectué. Les gagnants se sont vu remettre un bijou de chez Sélim Mouzannar et des tableaux offerts par le généreux Ramy Boutros. Puis l’avalanche de musique et chansons a repris, partagée avec plaisir par nombre d’invités, dont Pierre Ibrahimcha, Vincent Gelot, représentant Œuvre d’Orient, Sélim et Myrna Antaki, Antoine et Nicole Sacy, Fayez et Jamal Jabado, Mia Ayoub, Viviane Eddé, Nathalie Arif, Patrick et Marianne Prévost, Serge et Nayla Nader, Georges et Christiane Tawil, Teddy Hatem, Amira Rizk et Claudine Badaro...

ditavonbliss@hotmail.com

L’excellence arabe réunie au Koweït Cette année, la cérémonie de remise des prix de Takreem a eu lieu à Koweït City, où tout était prêt pour accueillir les invités de Ricardo Karam. La météo a failli en décider autrement, plongeant l’émirat sous des pluies diluviennes, entraînant inondations et perturbations du trafic aérien. C’est par miracle que le ciel s’est éclairci...

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