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À La Une - Liban

Eblouissant show de lumière et de couleurs en clôture du festival de Jounieh

Le spectacle a été marquée cette année par une innovation qui constitue une première en la matière : le message « Love Lebanon » inscrit par les feux d'artifice est apparu dans le ciel, dans un effort d'insuffler un souffle optimiste à la population.

Comme chaque année, et pour la septième fois consécutive, le festival international de Jounieh a clôturé samedi soir ses festivités de 2017 par son gigantesque et époustouflant feu d'artifice qui a illuminé peu après 22 heures 30 le ciel de la baie de Jounieh et le secteur de Maameltein, sur le littoral du Kesrouan. Photos Jounieh international festival

Cela est devenu une tradition qui accroît, le temps d'une soirée, l'atmosphère festive qui marque l'été du Liban. Comme chaque année, et pour la septième fois consécutive, le festival international de Jounieh a clôturé samedi soir ses festivités de 2017 par son gigantesque et époustouflant feu d'artifice qui a illuminé peu après 22 heures 30 le ciel de la baie de Jounieh et le secteur de Maameltein, sur le littoral du Kesrouan. Ce spectacle éblouissant s'est produit dans le sillage du concert donné au même moment par Michel Fadel qui a donné, avec les artistes de son groupe musical, le coup d'envoi de ce feu d'artifice.

Ce show de lumière et de couleurs a été réalisé à partir de 38 points de départ, simultanément, en mer et sur la côte de Jounieh et Maameltein, sur une longueur de 4 kilomètres, dans une parfaite synchronisation. Le spectacle a été marquée cette année par une innovation qui constitue une première en la matière : le message « Love Lebanon » inscrit par les feux d'artifice est apparu dans le ciel de Jounieh, dans un effort d'insuffler un souffle optimiste à la population. Et cerise sur le gâteau : les organisateurs, conduits par Neemet Frem, ont annoncé qu'ils avaient décidé cette année de raccourcir le spectacle de feux d'artifice de 3 minutes et demi – le limitant à 7 minutes – afin de verser le montant ainsi économisé au Children Cancer Center.

Cela est devenu une tradition qui accroît, le temps d'une soirée, l'atmosphère festive qui marque l'été du Liban. Comme chaque année, et pour la septième fois consécutive, le festival international de Jounieh a clôturé samedi soir ses festivités de 2017 par son gigantesque et époustouflant feu d'artifice qui a illuminé peu après 22 heures 30 le ciel de la baie de Jounieh et le...

commentaires (3)

Je ne parle pas l'anglais, mais assez pour dire : I am scandalized. Des centaines de milliers de dollars brûlés dans le ciel de la Baie de Jounieh tandis que la zone commerciale de la ville manque cruellement d'espaces verts avec des bancs publics pour les promeneurs. Dans le plus petit des jardins publics de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), le "Square Baudin", il y a plus d'arbres que dans toutes les rues de Sarba, Ghadir et Haret-Sakhr réunis. Un peu moins de feux d'artifice et un peu plus d'arbres serait plus profitable pour les Jouniotes !

Un Libanais

17 h 06, le 16 juillet 2017

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Commentaires (3)

  • Je ne parle pas l'anglais, mais assez pour dire : I am scandalized. Des centaines de milliers de dollars brûlés dans le ciel de la Baie de Jounieh tandis que la zone commerciale de la ville manque cruellement d'espaces verts avec des bancs publics pour les promeneurs. Dans le plus petit des jardins publics de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), le "Square Baudin", il y a plus d'arbres que dans toutes les rues de Sarba, Ghadir et Haret-Sakhr réunis. Un peu moins de feux d'artifice et un peu plus d'arbres serait plus profitable pour les Jouniotes !

    Un Libanais

    17 h 06, le 16 juillet 2017

  • Love Lebanon, malgrè ce que l'on dit, le français est en perte de vitesse au Liban,je le vois quand je viens tout les ans.

    Talaat Dominique

    12 h 54, le 16 juillet 2017

  • "Aimer le Liban" (Love Lebanon). En 1941, les Australiens voulaient engager un surveillant d'oeuvre qui parle anglais pour servir d'interprète avec les ouvriers pour les travaux d'installation de la ligne NBT à Jounieh. Ils n'ont trouvé qu'une seule personne âgée, un ancien émigré aux Etats-Unis, Abboud Rouhana. Aujourd'hui l'english spoken règne en maître à Jounieh. Allah Allah ya dini !

    Un Libanais

    11 h 48, le 16 juillet 2017

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