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Économie

Brèves

Le nouveau ministre
de l'Économie renonce à son poste à la Cedrus Invest Bank

Le conseil d'administration de la Cedrus Invest Bank a accepté hier la démission de son PDG Raëd Khoury de son poste de président du conseil d'administration de la banque. Ce dernier en ayant formulé la demande après avoir été désigné, le 18 décembre, au poste de ministre de l'Économie et du Commerce dans le gouvernement de Saad Hariri.
« Cette démarche n'est pas obligatoire sur le plan légal, mais (...) permet à M. Khoury de se consacrer totalement à ses fonctions ministérielles », a précisé un communiqué relayé par l'Agence nationale de l'information.
Raëd Khoury a fondé la Cedrus Invest Bank en 2011 avec Fadi Assali, qui le remplace désormais à la tête du conseil d'administration.

Le taux d'occupation
des hôtels entre 80 et 100 % à Beyrouth pendant les fêtes

Le secrétaire général de la Fédération des syndicats touristiques, Jean Beyrouthi, a déclaré à l'agence al-Markaziya que le taux d'occupation des hôtels de Beyrouth avait atteint 80 % pendant les fêtes de Noël et devrait grimper à 100 % d'ici à la fin de l'année.
« (Ce) taux devrait être d'environ 60 % hors de la capitale, mais il pourrait (cependant) atteindre 100 % dans régions balnéaires et à proximité des stations de ski », a estimé M. Beyrouthi. « La durée moyenne des réservations pour le réveillon de fin d'année est de 7 jours », a-t-il ajouté, relevant une majorité de Libanais expatriés parmi la clientèle des hôtels concernés.

Pétrole
Le baril de brut atteint son plus haut de l'année à New York

Les cours du pétrole ont monté hier pour finir au plus haut de l'année, les échanges restant limités en pleine période de fêtes mais l'optimisme perdurant sur la réduction de production prévue par l'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP).
Le prix du baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, a pris 88 cents à 53,90 dollars sur le contrat pour livraison en février au New York Mercantile Exchange (Nymex), un niveau sans précédent depuis l'été 2015.
À Londres, les marchés étaient fermés et il n'y a donc pas eu d'échanges physiques sur le Brent de la mer du Nord, coté à l'Intercontinental Exchange (ICE). « Le marché est bien disposé car on s'approche des baisses de production prévues par l'OPEP, et il semble bien qu'elles vont se concrétiser », a mis en avant Phil Flynn, de Price Futures Group.
Le cartel a animé la fin de l'année sur le marché pétrolier en annonçant coup sur coup deux accords, l'un en son sein et l'autre avec d'autres pays, qui prévoient des baisses ambitieuses de production à partir du 1er janvier.

Devise
Le rial iranien au plus bas face au dollar

Le rial iranien est tombé lundi à son plus bas niveau historique face au dollar américain, conséquence des doutes croissants sur la capacité de l'Iran à attirer des capitaux étrangers après l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
Sur le marché libre, la monnaie iranienne s'échangeait à 41 500 pour un dollar, contre environ 41 250 dimanche et 35 570 mi-septembre. Avant ces dernières semaines, son plus bas historique, autour de 40 000 pour un dollar, remontait à la fin de 2012.
Des économistes voient plusieurs explications à cette faiblesse, parmi lesquelles la vigueur du dollar face à de nombreuses devises et l'incertitude à l'approche de l'élection présidentielle qui doit avoir lieu en 2017, mais ils ajoutent que l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche le mois dernier constitue un facteur-clé. Le futur président américain a déclaré vouloir revenir sur l'accord de 2015 entre l'Iran et plusieurs grandes puissances, qui prévoit un encadrement strict du programme nucléaire de Téhéran en échange d'un allègement des sanctions, entamé en janvier dernier.
Remettre en cause cet accord pénaliserait évidemment Téhéran alors que le régime s'efforce d'attirer des dizaines de milliards de dollars d'investissements étrangers pour moderniser l'économie iranienne. De plus, les entrées de capitaux ont été inférieures aux prévisions du gouvernement cette année, en partie parce que les grandes banques internationales craignent de s'exposer à des risques juridiques aux États-Unis si elles traitent avec la République islamique.

Indicateur
Le chômage français en baisse pour le troisième mois consécutif

Le nombre d'inscrits à Pôle emploi sans aucune activité était en novembre de 3,45 millions en métropole, en recul pour le troisième mois consécutif, une première depuis la crise en 2008, a annoncé lundi le ministère du Travail.
Le nombre de personnes en catégorie A (sans aucune activité) a diminué de 31 800 par rapport à octobre (-0,9 %). Sur trois mois, leur nombre a baissé de 109 800 (3,1 %).
Depuis le début de l'année, la baisse s'établit à 133 500, « soit une moyenne de 12 000 demandeurs d'emploi en moins chaque mois », se réjouit le gouvernement, soulignant que « l'emploi reste au cœur des priorités pour 2017 ». Il souligne que cette dynamique « est confirmée par les sorties de Pôle emploi pour motif de reprise d'emploi qui ont atteint, ces trois derniers mois, leur plus haut niveau depuis plus de huit ans ». En prenant en compte les travailleurs exerçant une petite activité (catégorie B et C), le nombre de chômeurs était de 5,48 millions en novembre en métropole, soit une hausse de 0,3 % sur un mois et de 0,5 % par rapport au même mois un an plus tôt.

Le nouveau ministrede l'Économie renonce à son poste à la Cedrus Invest Bank
Le conseil d'administration de la Cedrus Invest Bank a accepté hier la démission de son PDG Raëd Khoury de son poste de président du conseil d'administration de la banque. Ce dernier en ayant formulé la demande après avoir été désigné, le 18 décembre, au poste de ministre de l'Économie et du Commerce dans...

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