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Syrie : Obama affirme qu'Assad doit partir

Le président des Etats-Unis Barack Obama a réaffirmé vendredi que son homologue syrien Bachar el-Assad devait quitter le pouvoir, le sort du chef de l'Etat syrien étant l'un des points de désaccord entre Washington et Moscou pour trouver un règlement politique à la guerre.

Au moment où les grandes puissances sont réunies vendredi à l'Onu à New York pour discuter d'un éventuel plan de paix en Syrie, le président Obama a jugé qu'il n'y aurait pas de paix dans ce pays ravagé par quatre ans et demi de conflit "sans un gouvernement légitime", lors de sa conférence de presse annuelle à la Maison Blanche.
"Je pense qu'Assad va devoir partir pour que le pays mette un terme aux effusions de sang ou pour que toutes parties prenantes puissent aller de l'avant", a déclaré le président américain, mais sans préciser à quel moment d'une éventuelle transition politique en Syrie M. Assad quitterait le pouvoir. "Aux yeux de son pays, il a perdu toute légitimité", a encore martelé M. Obama. "Vous ne pouvez pas mettre fin à la guerre civile tant que vous n'avez pas de gouvernement considéré comme légitime par la majorité de ce pays", a martelé le président.

Au même moment, les grandes puissances, dont les Etats-Unis et la Russie, se mettaient d'accord au Conseil de sécurité de l'Onu à New York sur le texte d'un projet de résolution entérinant un plan de paix américano-russe en Syrie, selon des diplomates.
Mais le sort du président syrien reste la principale pomme de discorde entre Américains et Russes.
Le secrétaire d'Etat John Kerry a toutefois été critiqué ces dernières semaines pour avoir mis de l'eau dans son vin et s'être rapproché de Moscou en n'exigeant plus un départ immédiat de Bachar el-Assad, l'allié de la Russie.

Le président des Etats-Unis Barack Obama a réaffirmé vendredi que son homologue syrien Bachar el-Assad devait quitter le pouvoir, le sort du chef de l'Etat syrien étant l'un des points de désaccord entre Washington et Moscou pour trouver un règlement politique à la guerre.Au moment où les grandes puissances sont réunies vendredi à l'Onu à New York pour discuter d'un éventuel plan de...