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Liban

Rifi : « Pas de salut sans l’aide de l’autre »

Le ministre de la Justice a dénoncé hier le « terrorisme noir » et la culture de l’extrémisme.

Le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a insisté hier sur la notion de la « culture de coopération » justifiée, a-t-il dit, par la certitude qu'« il n'y aura pas de salut sans l'aide de l'autre, pas de justice non plus si elle devait être bloquée aux frontières des États ».
M. Rifi s'exprimait lors de l'inauguration de la nouvelle salle des objets saisis relevant des deux Palais de justice de Beyrouth et de Saïda.
La salle vient d'être rénovée grâce au projet « Sécurité et stabilité » financé par l'Union européenne. M. Rifi a salué le rôle joué par l'UE en vue de conforter « la culture de dialogue et de la tolérance, et celle de la coopération internationale pour faire face à la culture de la violence, de l'extrémisme et de la haine que distillent certains ». « Nous continuons de pâtir, comme vous, du terrorisme noir. Pour y faire face, nous devons accroître les mesures visant à renforcer l'État et ses institutions », a-t-il ajouté.
À ce propos, il a salué les multiples initiatives prises à ce jour par l'UE pour soutenir la justice libanaise et « l'aider à développer ses moyens logistiques de manière à parvenir à une justice plus accélérée, plus précise, et à préserver les preuves et les dossiers judiciaires ».

Le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a insisté hier sur la notion de la « culture de coopération » justifiée, a-t-il dit, par la certitude qu'« il n'y aura pas de salut sans l'aide de l'autre, pas de justice non plus si elle devait être bloquée aux frontières des États ».M. Rifi s'exprimait lors de l'inauguration de la nouvelle salle des objets saisis relevant des...

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