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Liban

Ils ont dit... sur le Qalamoun et les nominations sécuritaires

– Ahmad Fatfat, député de Denniyé, membre du bloc du Futur : « Il y a une tentative d'entraîner l'armée dans une bataille qui n'est pas la sienne. Le Hezbollah tente constamment d'entraîner l'armée dans des combats qui ne sont pas les siens et d'imposer son emprise sur la troupe. Les frontières nord et est du côté du Akkar et de Tripoli sont sous le contrôle du régime syrien. Les villages environnants sont aux mains du régime et non de l'opposition, qui se trouve dans le Qalamoun-Est et non le Qalamoun-Nord. Des propos sur l'ouverture d'un front nord sont dirigés contre le courant du Futur et la zone en question, qui est désormais sûre. »

– Hussein Hajj Hassan, ministre du Hezbollah : « La résistance (le Hezbollah) affronte le terrorisme takfiriste pour protéger le Liban et les Libanais. Elle poursuivra sa mission jusqu'à ce que le Liban dans son ensemble et les Libanais soient en sécurité, que le projet terroriste dans la région soit mis en échec et que la paix règne dans la région, libérée des velléités de créer des prétendus émirats de la pensée takfiriste. »

– Nabil Kaouk, vice-président du conseil exécutif du Hezbollah, lors d'une cérémonie au Sud : « D'aucuns au Liban veulent garder le pays prisonnier du chantage des terroristes takfiristes qui ont pris en otages les soldats libanais, et, avec eux, le village de Ersal, dans le cadre d'une agression continue (...) que la résistance affrontera et vaincra. »

– Fadi Karam, député FL, lors de la cérémonie annuelle des Forces libanaises à Melbourne (Australie) :
« Nous ne renoncerons jamais aux tentatives constructives qui visent à trouver des points communs, non seulement au sein d'une même société, mais d'une même patrie. Ainsi, nous parions même sur le retour, un jour, du Hezbollah – ce parti qui semble le plus éloigné de nous – à sa libanité. »

– Gaby Layoun, ancien ministre aouniste, à l'agence al-Markaziya : « Nous comptons mener jusqu'au bout notre bataille contre la prorogation des mandats des responsables sécuritaires. Nous ne pouvons néanmoins révéler les moyens auxquels nous recourrons à cette fin. Ce qui est certain, c'est que nous n'accepterons aucun compromis, et nos alliés nous soutiennent, même s'ils ont recours à des moyens différents pour exprimer la même position. »

– Ammar Houry, député, membre du bloc du Futur, à la Voix du Liban-93.3 : « Ce qui se dit sur des rencontres entre Gebran Bassil et Nader Hariri, dont l'objectif est d'examiner les noms des personnes susceptibles d'être nommées aux postes sécuritaires, n'est pas vrai. Il est néanmoins possible qu'une issue soit trouvée à la polémique relative aux nominations des responsables sécuritaires. »

– Serge Tor Sarkissian, député, membre du bloc du Futur : « L'escalade que mène le Courant patriotique libre sur le dossier des nominations sécuritaires n'est pas à son avantage. Il n'est de l'intérêt de personne de paralyser le Conseil des ministres. »

– Jean Oghassabian, député, membre du bloc du Futur, à la Voix du Liban-100.5 : « Le Courant patriotique libre hausse le plafond de ses revendications et tient un discours menaçant, mais sans plus, sur le dossier des mandats des responsables sécuritaires. Il n'est pas possible en effet de réunir les deux tiers du cabinet pour nommer un commandant en chef de l'armée. Nous nous dirigeons vers le report du départ à la retraite des responsables sécuritaires, puisque personne ne veut généraliser la vacance à toutes les institutions. »

– Ali Khreiss, député, membre du bloc de la Libération et du Développement, lors d'une cérémonie : « En cas d'échec des nominations des responsables sécuritaires, nous refuserons l'option du vide à la tête des institutions sécuritaires. »

– Hassan Fadlallah, député, membre du bloc du Hezbollah, lors d'une cérémonie à Hariss : « D'aucuns tentent, à l'intérieur du pays, de se retourner contre l'accord de Taëf et de paralyser toutes les institutions de l'État, y compris la magistrature suprême et le Parlement. L'accord de Taëf impose l'élection de la personne la plus représentative au niveau de sa communauté et au niveau national, c'est-à-dire la personne qui détient le plus grand bloc parlementaire. C'est l'autre camp qui refuse le partenariat émanant de la Constitution. »

– Ahmad Fatfat, député de Denniyé, membre du bloc du Futur : « Il y a une tentative d'entraîner l'armée dans une bataille qui n'est pas la sienne. Le Hezbollah tente constamment d'entraîner l'armée dans des combats qui ne sont pas les siens et d'imposer son emprise sur la troupe. Les frontières nord et est du côté du Akkar et de Tripoli sont sous le contrôle du régime...

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