Voici donc le mois de février, le plus court de l'année et bizarrement le plus lent, le plus long. Après un lourd janvier noir et chaotique, qui n'en finit pas d'en finir dans l'esprit d'un monde rebaptisé Charlie, relire L'Étranger de Camus dans sa version classique s'impose en douceur. Un livre sur la violence, l'indifférence dans la violence, l'absurdité, l'enchaînement d'événements irréversibles. L'action s'est déroulée en Algérie, en France, mais aussi chez nous... À découvrir, même avec un retard de deux ans, la version superbement illustrée par Jacques Ferrandez, parue en 2013 aux éditions Fétiche. Les mots de Camus et ses propos n'ont pas pris une ride.
Voici donc le mois de février, le plus court de l'année et bizarrement le plus lent, le plus long. Après un lourd janvier noir et chaotique, qui n'en finit pas d'en finir dans l'esprit d'un monde rebaptisé Charlie, relire L'Étranger de Camus dans sa version classique s'impose en douceur. Un livre sur la violence, l'indifférence dans la violence, l'absurdité, l'enchaînement d'événements...
