Le président de la Chambre, Nabih Berry, a reçu hier l'ambassadeur de Syrie, Ali Abdel Karim Ali, pour un entretien qui a porté sur « les relations bilatérales et les dangers que revêt le terrorisme takfiriste pour la région », selon les précisions du diplomate, au terme de l'entretien.
M. Ali a indiqué qu'il a été « rassuré » par les propos de son interlocuteur, selon lesquels l'armée, les services de sécurité et le gouvernement « sont plus que jamais sérieux dans leur lutte contre les îlots terroristes », avant d'indiquer que le président de la Chambre a « mis l'accent sur l'importance de la coordination entre les deux États et gouvernements » libanais et syrien. « Il y va de l'intérêt de la Syrie, comme de celui du Liban. Cette vérité ne peut pas être occultée si l'on veut garantir la victoire contre le terrorisme qui frappe la région entière », a-t-il insisté.
Selon lui, la « résistance de la Syrie et l'appui populaire à son régime ont été à l'origine d'une révision de la politique de la communauté internationale qui misait sur le terrorisme et qui a fini par se rendre compte de son erreur et des dangers de celui-ci ». « Ce qui s'est passé en Égypte et dans la région a fourni des indicateurs positifs en faveur d'une lecture différente des événements, dont la Syrie a été l'initiatrice, en se posant comme un des principaux instruments victorieux contre ce terrorisme », a-t-il ajouté, en estimant que « la sécurité dans la région est un tout » et en mettant en garde contre « une déformation des vérités ».
Liban
Ali plaide pour une coordination libano-syrienne contre le terrorisme
OLJ / le 25 novembre 2014 à 00h00
commentaires (4)
On peut se permettre ; à l’heure où ce Äléh etc. Äléh n’a + la cote, où il n’est + pour grand monde le bää bää bääSSyrien, littéralement, "sauveur mais seulement un pauvre type voué à la lapidation publique ; d’avoir pour ce "plénipotentiaire" de pacotille au rabais une pensée de "sympathie!" plus ou moins "émotive?". Il semble que quelqu’un d’éhhh Sain et évidemment non- Martien bääSSyrien, avait écrit de jolis couplets sur l’envie de ramasser dans le caniveau les mèches du tondu Äalaouïtien en question ! Pour s’en faire…. une postiche ou un grigri…. bon marché. Il paraît que les proches d'oncle noussaïyrî, petit génie äalaouïtique méconnu, affirment que leur ami adoré adore le risque hors piste sans la moindre crainte, l’épigone ébaubi ! Mais n’a-t-il pas, ces temps derniers, de ses forces présumé ? Car, toutes les considérations sur ce que ce bonhomme peut encore espérer des choses de la vie, apparaissent désormais comme aléatoires. Même une mise hors de cause au bénéfice du doute sur sa "liberté" de mouvement réelle, ou à la faveur d’une quelconque "ingéniosité" bääSSàRienne, ne suffira pas à le passer au savon d’Alep ou à l’eau de rose damascène. Certes, on connaîtra encore quelques-unes de ses péripéties mirobolantes si riches en aSSadisme bääSSyriaNique ! Mais pour lui les dés déjà ont roulé : Alea jacta est ! Aux courses, lorsqu’1 tocard s’emballe, on dit qu’il s’est "mis à la faute" et a fauté. C’est bien le cas ici dans son cas-ci ici présent, yâ wâïyléééh !
ANTOINE-SERGE KARAMAOUN
11 h 13, le 25 novembre 2014