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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Un « Closer  » look sur Karim
Décidément Closer adoooore les Libanais. Le magazine, qui est à l'origine des révélations sur la liaison entre François Hollande et Julie Gayet, Hani Yakan et Valérie Trierweiler, publie en une la photo de l'actrice française accompagnée d'« un garde de corps ». Or celui-ci n'est autre que Karim Azhari. Et comme Hani, Karim doit swinguer entre fou rire et agacement. Lui, le general manager de la Luxury Limited Edition, fondée à Paris par Cynthia Sarkis Perros, qui offre promotion, conseil et services de ventes à de grandes marques comme Chopard, Chanel, Élie Saab, Mercedes-Benz ou Renault, être réduit au simple rôle de body guard ! Quelle idée de gratouiller l'amour propre d'un homme qui fraye avec les grands de ce monde, de Bill Clinton à Bernard Arnault, en passant par Brad Pitt, Chralize Theron, Isabelle Adjani ou Catherine Deneuve, entre autres, et foule le tapis rouge aux côtés de July Gayet! Allez Closer, présentez vos excuses...

 

Avec Penone... un BAC de haut vol
C'est bien Giuseppe Penone le signore de l'Arte Povera qui dînait chez Liza, vendredi, en compagnie de Tony Salamé et d'une vingtaine d'invités, dont l'ambassadeur d'Italie Giuseppe Morabito, Élie Saab, Lamia Joreige, Claude et Randa Missir. Auparavant Penone avait visité l'exposition de la Metropolitan Art Society où Mario Saradar, Natahlie Khoury, Dana Khazen, Paul et Manal Khodr, et beaucoup d'autres ont pu serrer la main créatrice du célébrissime Italien, dont les sculptures et les installations mondialement connues ont fait l'objet d'une rétrospective au Centre Pompidou avant d'envahir le château de Versailles. Et, occasion unique, magnifique, pour le public libanais, Penone expose une sélection de ses œuvres au Beirut Art Center (BAC), sur le thème : « Le souffle est une sculpture ».

 

L'ex-ministre se lance dans une nouvelle aventure
Les lonely reporters ont intérêt à tomber amoureux(se). Et au plus vite ! Car Leila el-Solh Hamadé s'est mise en tête de mettre fin au célibat des journalistes. Elle a même « menacé » notre collègue Scarlett Haddad de la marier cette année. À ceux qui lui affirment avoir « oublié » ce projet ou qui lui rétorquent : « Il faut bien que quelqu'un me dise je t'aime et à qui je puisse répondre je t'aime », l'ex-ministre et vice-présidente de l'Association al-Walid ben Talal répond qu'elle ne veut rien entendre, et promet de traiter sérieusement la question. Célibataires endurcis, accrochez-vous, elle en est capable !
C'était lors du dîner qu'elle avait organisé au Talleyrand, en l'honneur du directeur d'an-Nahar, Ghassan Hajjar, marié tout récemment. Pour fêter l'événement, Leila el-Solh Hamadé a mis les petits plats dans les grands : musiciens et chanteur (Amer Zayyan), gâteau de mariage, champagne et un panel d'invités, dont les anciens ministres Ziyad Baroud (avec Linda), Salim Wardé et Mohammad Rahhal ; Élie Ferzli, Nayla Tuéni et Malek Maktabi, Georges Salibi, Mariam Bassam et Dalia Ahmad de la MTV, Mario Aoun (LBC), Jean Yasmine (OTV), Paula Yaacoubian (Futur TV), Habib Chlouk, Abdo Hélou et d'autres encore...

 

La « Môme » pieds nus...
Il a déposé ses valises à l'hôtel Phoenicia, puis direction plein soleil au Sporting. Mais c'est au temple « over the top » de la vie nocturne beyrouthine que Garou a pris son véritable bain (de foule). Après un dîner plantureux chez Mhanna, il a débarqué avec Amine Abi Yaghi, Carole Maroun, Zeina Chamoun, Rafic Ferzli et Hubert Goraieb au Sky Bar, où ce fut carrément l'émeute. Yeux pétillants, sourire ultrabright, il a signé des autographes et enchaîné des selfies avec une nuée de « garouistes » en délire, qui n'ont pas arrêté de tweeter la scène, de la filmer ou de la publier sur Instagram, avant de diriger leur portable allumé sur Patricia Kaas, venue tout droit de la cérémonie du BIAF (Beirut International Awards Festival) rejoindre la rock star canadienne. La pretty « Môme » était également présente au Beirut Holidays Festival pour le concert de Garou : en jean, petite veste et pieds nus (escarpins YSL à la main), assise tout cool à même une marche des gradins (dixit notre collègue Maya Ghandour Hert)... Chez nous, certains spectateurs auraient râlé, pesté et protesté s'ils ne sont pas aux premières loges !

 

Un « oui »... sur les rives du Bosphore
Tous les ingrédients étaient réunis pour que le week-end soit réussi et inoubliable : une croisière sur le Bosphore pour admirer la cité ottomane sur fond de musique jouée par un jazz band, dans le brouhaha des conversations et les entrechoquements des verres à cocktail. Une virée dans la ville où les consommateurs autant que les commerçants ont trouvé leur compte. Et la grande boum a démarré samedi soir, avec l'arrivée en bateau des mariés Mazen Adnane Khatib et Dana Hussein Ammar au « Esma Sultan ». Sur les lieux, habillés par Alain Hadifé d'une bamboula de bougies, d'orthensias et d'orchidées blanches, s'étaient rassemblés parents et amis, parmi lesquels Paul Sabbagh, Moustapha et Leila Bsat, Johnny et Sin Farah, Mohammad et Yasmine Sinno, Rafi Demerdjian, Samer Daouk, Fadi et Balsam Noureddine, Fayez et Asma Rasamny, Nabil Gholam, la styliste Milia M., Maroun Hélou, Hala Mitri, Riad Barrage, les deux sisters Wafa et Farah Haïdar, pour ne citer que quelques-uns des 250 invités, qui ont concentré toute leur énergie sur la piste de danse enflammée par un DJ importé du Liban... C'était le moment d'exaltation que tous attendaient !

 

Housewarming à Beiteddine
La terrasse autour de la piscine était pleine à craquer... Pas moins de trois cents convives, avec à leur tête les anciens présidents Michel Sleiman et Amine Gemayel accompagnés de leurs épouses, l'ex-Première dame Mona Hraoui et cheikha Souad Hmeidy, étaient présents pour la pendaison de crémaillère de Beit el-Mir, le domaine de Raymond et May Audi à Beiteddine. La vallée a résonné sous les chants spirituels de la chorale de Louaizé (NDU), dirigée par le père Khalil Rahmé qui a aussi béni la nouvelle construction architecturée par M. Audi himself. Le déjeuner qui a suivi était également un spectacle : le buffet, élaboré par le chef Nicolas Audi sur un petit air de Russie, offrait un festival de saveurs et de clins d'œil aux bulbes polychromes et dômes torsadés inspirés de la basilique Saint-Basile-le-Bienheureux à Moscou. Parmi les présents : Fouad et Hoda Siniora, Walid et Nora Joumblatt, Adel et Raeda Kassar, May Richani, Raya Daouk, Sélim et Nawal Méouchi, Robert et Viviane Debbas, Chucri et Amal Sader, Samir Moubarak, Nehmé et Thérèse Tohmé, Amal Saad Watt, Ahmad Tabbara, Jean et Amal Bustros, Farid el-Khalil, May Rayess, Youssef et Mona Lahoud, Roby et Tania Arab, Pierre et Marlène Chidiac, Charles Eddé, Randa Bdeir, Alma Maalouf, Monette Chaaya, Albert et Mimi Sader, Sarkis et Seta Demerdjian, Nicolas Nahas ; et pour faire court... des invités de tous les milieux politiques, économiques et culturels.

 

Le selfie de Kamal
Kamal Mouzawak fait l'admiration d'Alain Ducasse, écrit le Figaroscope dans son numéro publié le 10 septembre, qui à travers une dizaine de questions esquisse un portrait du cofondateur de l'association Souk el-Tayeb. En substance, on retient que Kamal est un couche-tôt. Il aime le gin tonic, sauf quand il est fatigué. Il préfère alors siroter un cocktail de jus de fruits frais. En cas de fringale nocturne, il n'avale pas ce qui lui passe par la main dans le frigo, « je bois un verre d'eau pétillante, pour me remplir de bulles ».
Kamal adore écouter Lullababy of Birdland, version Sarah Vaughan... Il apprécie la musique arabe ancienne et le violoncelle. Ses livres préférés sont L'Architecture moderne de Mies Van der Rohe et Le Corbusier. La phrase qu'il aime dire lumière éteinte ? : « Tu me fais toujours sourire. » Et à lui même, il se répète : « Be the change you want to see », comme disait Gandhi. Son ultime luxe ? Ne rien faire. Nous aussi !

ditavonbliss@hotmail.com

Un « Closer  » look sur KarimDécidément Closer adoooore les Libanais. Le magazine, qui est à l'origine des révélations sur la liaison entre François Hollande et Julie Gayet, Hani Yakan et Valérie Trierweiler, publie en une la photo de l'actrice française accompagnée d'« un garde de corps ». Or celui-ci n'est autre que Karim Azhari. Et comme Hani, Karim doit swinguer...

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