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Moyen Orient et Monde - Chine

Pékin : le dalaï-lama ne peut pas décider d’être le dernier chef spirituel tibétain

Le dalaï-lama. Photo/Files/AFP

La Chine a accusé hier le dalaï-lama de « chercher à pervertir l'histoire » et lui a nié tout droit de décider de mettre fin à la tradition pluriséculaire de réincarnation des chefs spirituels tibétains. « Le titre de dalaï-lama est conféré par le gouvernement central, selon une histoire séculaire », a déclaré Mme Hua Chunying, porte-parole de la diplomatie chinoise, en affirmant que ce n'était pas à l'actuel 14e dalaï-lama de choisir s'il aurait, ou pas, un successeur. « La Chine suit une politique de liberté de croyance et de culte, dans laquelle s'inscrit le respect et la protection de la transmission du bouddhisme », a poursuivi Mme Hua, en accusant le Prix Nobel de la paix de « desseins cachés » portant atteinte à cette religion.
Le dalaï-lama, 79 ans, avait affirmé dimanche dans un entretien au journal Welt am Sonntag qu'il entendait être le dernier chef spirituel tibétain et mettre un terme à une tradition religieuse vieille de plusieurs siècles.

(Source : AFP)

La Chine a accusé hier le dalaï-lama de « chercher à pervertir l'histoire » et lui a nié tout droit de décider de mettre fin à la tradition pluriséculaire de réincarnation des chefs spirituels tibétains. « Le titre de dalaï-lama est conféré par le gouvernement central, selon une histoire séculaire », a déclaré Mme Hua Chunying, porte-parole de la diplomatie chinoise, en...
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