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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Life is life !

Le Liban ne cédera pas. Soirées et festivals sont la riposte spontanée d'un pays qui veut vivre coûte que coûte, et jusqu'au bout, malgré la périlleuse instabilité du pays. La preuve, les 4 370 spectateurs, parmi lesquels les ministres Michel Pharaon, Rachid Derbas, Akram Chehayeb et Nabil de Freige, présents au Festival de Beiteddine, qui a donné son coup d'envoi sur fond sonore, envoyant un pied de nez à tous ces tueurs d'hommes qui menacent la paix au Liban. Et ce jeudi, Magida Roumi a bien souligné qu'il s'agissait là d'un moment spécial en entonnant ses chansons dédiées aux martyrs, à la liberté, au drapeau, à Beyrouth... et à « Sayyidi el-Raïsss », clin d'œil au fauteuil de président vacant qui trônait, vide, au premier rang (il a appartenu au président Camille Chamoun et fait partie de la collection historique du palais de Beiteddine)...
Le lendemain, le Festival de Jounieh a pris le relais avec un prodigieux feu d'artifice qui a embrasé le ciel de la baie. Embarqués sur des barges et des bateaux, des centaines de festivaliers admiraient depuis le large un show synchronisé, étalé sur huit kilomètres. À cette occasion, le président du festival Neemat Frem et son épouse Zeina avaient convié 230 invités à dîner sur le Meddream boat où DJ Saïd Mrad, hyperheureux derrière ses platines, a fait tonner ses décibels, faisant même tanguer les vagues. Parmi les présents Marwan et Mona Iskandar, Sami Nader, Nicolas Chammas, Walid Khoury, Rafi Demerdjian, Charles Ghostine, David Issa, Georges Abou Jaoudé, Jad Frem et leurs épouses, ainsi qu'un bon nombre de représentants des médias, pour ne citer que Walid Abboud, Ghassan Hajjar, Yasser Allaoui, Ramzi el-Hafez, Georges Béchir, mais aussi plein plein de jeunes au look glamour, minis, shorts et tropéziennes, qui se sont métamorphosées en divas du dancing.

 

Du glamourissime chez Mouna

File de voitures longue d'environ un kilomètre ; parkings complets et retardataires se garant au loin (là où ils le peuvent)... L'embouteillage devant le BIEL donnait une idée de la grande manifestation organisée par Mona Hraoui pour célébrer les vingt ans du Chronic Care Center. Un centre créé par l'ex-Première dame pour accueillir les enfants diabétiques et ceux atteints de thalassémie, une maladie de sang héréditaire gravissime. Bravant l'atmosphère bien lourde ce jour-là (l'attentat de Dahr el-Baïdar), toute la ville ou presque avait répondu présent. Temps fort de la soirée : l'hymne national et les six écrans géants qui renvoyaient en écho des milliers de drapeaux libanais flottant librement au vent. Puis se sont succédé : le discours de remerciement de Mona Hraoui, la projection d'un documentaire sur le centre, un excellent dîner servi par Cat & Mouth, la prestation de la soprano Samar Salameh et une valse à mille temps avec « Dancing with the stars », orchestrée depuis les coulisses par Janane Mallat.
Le message, ce soir-là, véhiculait l'image d'une société dynamique, porteuse d'espoir et généreuse. Qui aime... et ne compte pas. La liste des présents se déroule d'ailleurs comme un générique sans fin ! Et comprend : Fouad et Hoda Siniora, Robert et Viviane Ghanem, Samir Mokbel, Adnane et Raeda Kassar, Raymond et May Audi, Walid et Rola Daouk (en dentelle blanche Versace), Randa Berry, Lama Salam, la princesse Ghida Talal de Jordanie et sa maman Rajaa Salam, Nora Joumblatt (en Hermès), Leila Solh Hamadé, Marwan et Mouna Sehnaoui, Nada Riad Salamé, Tony et Janine Maamari (en Dries Van Noten), Nadine et Nagib Begdache, Yousef et Liliane Comair, le nonce apostolique, Mgr Gabriel Caccia, Élie Gharzouzi, Solange Gemayel, Jacques et Nicole Sarraf, Ali Ghandour, Naji Abi Assi, Roth Mountain (HCR), Maher et Randa Daouk et évidemment la ravissante Zalfa Boueiz (drapée d'or) accompagnée de la soprano Monica Yunus (qui se produira au Festival de Zouk avec Bryan Terfel ; elle est la sœur du fondateur de la première institution de microcrédit et Prix Nobel 2006 Muhammad Yunus). Mais bon on continue. Il y avait aussi Marwan et Mona Iskandar, Wafa Saab, Loubna Obeid, Alma et Clovis Maalouf, Michel Moawad, Camille et Lilianne Menassa, Khalil et Zizette Mekkaoui (en Dior Vintage), Sélim Zeeni, Adnan et Randa Mroueh, Thérèse Tohmé, Henri et Marianne Hélou, Marlène Harb, Mona Safadi, Joseph et Nicole Areiji, Jaber et Yvette Sawaya, Walid et Lina Assaf, Charles Abou Adal, Mario et Lucie Haddad, Maher et Chadia Abou Ghazalé, Chérif et Rana Idriss, Joe et Maria Raïdi, Monette Chaaya, sans oublier Laure Doumet, Diala Schoucair, India Abdini (scintillante en Chanel) et Noha Baz, chic et choc en bleu Élie Saab et stiletto Stuart Weittzman...

 

La température a grimpé d'un cran...

Abey, caza de Aley. Déjeuner résolument gargantuesque et festif dans le magnifique jardin de la demeure familiale de Marwan Hamza (le mister rock n'roll du Flower Concept), où l'explosive bellydancer Randa Makhoul (acclamée depuis des mois dans le spectacle « Hechek Bechek ») a effectué une entrée fracassante juste après le dessert. Son one-woman-show, riche en couleurs, a fait chavirer les hearts et mis en liesse Samar et Walid Younès, Tima Kassir, Sherine Matar, Elsie et Nazih Braïdi, Pierre et Hala Abou Jaber, Renée el-Aam et sa sœur Mary, Raya et l'indéboulonnable Sélim Mouzannar (visage carbonisé par le soleil)... Et tout autour les téléphones qui s'allument ; on n'arrête pas de twitter et de publier les photos sur Instagram !
Pendant ce temps, Rami Boutros racontait à Omar et Suzan Hamza, Nora Joumblatt, Joseph Moawad, Nabiha Abou Ezzeddine et l'ambassadeur d'Espagne Alfonso Masso qu'il a connu Randa Makhoul sur les bancs de l'ALBA et qu'elle était une des élèves les plus douées de sa promotion. Mais bon voilà, la passion de la danse a été plus forte que tout !
Présents également ce jour-là, la princesse Ghida Talal de Jordanie, le ministre Akram Chehayeb, Nasser et Safa Saïdi, Zalfa Boueiz, Hala Fakhry, Rajaa Salam, May Daouk, Roland et Dima Hraoui, Bernard et Nathalie Khoury, Carole Schoucair, Assaad et Zalfa Rouphaêl, Georges et Fida Boustany, Dania Kassar, Malek et Dina Mroueh, Maya Barbir, et le jeune Mazen Younès qui vient tout récemment de décrocher son diplôme de médecine...

 

Au rythme de Claudia et Cynthia

Le dîner de gala annuel de l'association Anta Akhi (Toi, mon frère), qui accompagne les enfants atteints de maladies et de handicaps lourds, a mobilisé sponsors et donateurs. Quatre cents personnes se sont retrouvées au Sky Bar où Ghada Blanco (agence Weddings & Events) avait mis en scène une soirée flamboyante menée avec brio par Maged Bou Hadir, présentateur du JT à la MTV, et Claude Abou Nader Hindi. Au menu : le ténor Johnny Awad, Rouba et Patrick, puis un film documentaire de trois minutes sur le travail quotidien de l'association, avant que Claudia Patrice et Cynthia Brown n'électrisent la piste par un showcase musical dingue. Et c'était impossible de retenir Raffoul et Marina Sabbagha, Arslane et Hoda Sinno, Tonia Chaoui, Maroun Chammas, Lesli Nasr, Aline Nassar, Maguy Mounsef, Sami et Micha Matta, qui ont dansé comme de grands fous ! Présents également, Christiane Lati, Marianne Karagulla, Abla Chammas, le designer américain de bijoux Miles McNeil, Marwan et Carine Ghosn, Nada Doumet, Fadi Baladi, Garo Chekerdjian, Papou Lahoud, Maro Khazen, Edmond et Lena Gharios, etc.

ditavonbliss@hotmail.com

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Le Liban ne cédera pas. Soirées et festivals sont la riposte spontanée d'un pays qui veut vivre coûte que coûte, et jusqu'au bout, malgré la périlleuse instabilité du pays. La preuve, les 4 370 spectateurs, parmi lesquels les ministres Michel Pharaon, Rachid Derbas, Akram Chehayeb et Nabil de Freige, présents au Festival de Beiteddine, qui a donné son coup d'envoi sur...
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