La Turquie n’apporte aucun soutien aux groupes jihadistes qui combattent le gouvernement de Bachar el-Assad en Syrie et sont souvent proches du réseau el-Qaëda, comme le Front al-Nosra, a déclaré hier le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan. Au contraire, « nous avons pris les mesures nécessaires contre eux, et nous continuerons à agir ainsi ».
La Turquie, l’un des adversaires les plus ardents de Damas dans la région, a longtemps défendu un soutien plus affirmé à la nébuleuse fragmentée des insurgés, faisant valoir le mérite de donner aux combattants modérés l’autorité nécessaire pour contrer le poids grandissant des éléments plus radicaux. Ce calcul semble de plus en plus risqué, compte tenu des conquêtes territoriales engrangées ces dernières semaines dans le nord de la Syrie, limitrophe de la Turquie, par le Front al-Nosra et l’État islamique en Irak et au Levant affilié à el-Qaëda.
La Turquie, l’un des adversaires les plus ardents de Damas dans la région, a longtemps défendu un soutien plus affirmé à la nébuleuse fragmentée des insurgés, faisant valoir le mérite de donner aux combattants modérés l’autorité nécessaire pour contrer le poids grandissant des éléments plus radicaux. Ce calcul semble de plus en plus risqué, compte tenu des conquêtes territoriales engrangées ces dernières semaines dans le nord de la Syrie, limitrophe de la Turquie, par le Front al-Nosra et l’État islamique en Irak et au Levant affilié à el-Qaëda.
La Turquie n’apporte aucun soutien aux groupes jihadistes qui combattent le gouvernement de Bachar el-Assad en Syrie et sont souvent proches du réseau el-Qaëda, comme le Front al-Nosra, a déclaré hier le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan. Au contraire, « nous avons pris les mesures nécessaires contre eux, et nous continuerons à agir ainsi ». La Turquie, l’un des...
Franchement Brave cet Erdogan....
12 h 26, le 08 novembre 2013