« Il n’est pas permis que le chef de l’État soit amené à céder sa prérogative la plus importante », qui est de donner son accord à la mouture gouvernementale, a souligné M. Harb dans une déclaration. « De même qu’il n’est pas permis que le Premier ministre désigné abandonne son pouvoir de former le cabinet en collaboration avec le président », a-t-il ajouté.
« Si cela s’était produit auparavant dans le cadre de l’accord de Doha, du fait de l’intervention des armes non légales dans le jeu politique, cela ne signifie pas qu’il nous faut refaire la même chose aujourd’hui, faute de quoi nous ne pourrions plus jamais former un gouvernement, le chef de l’État deviendrait un simple scribe et le Premier ministre un punching-ball », a-t-il lancé.
commentaires (2)
"Cela s’était produit avec Doha, du fait de l’intervention des armes non légales dans le jeu politique....". Mais ces "armes" sont toujours là et "interviennent" dans le jeu politique ! Alors, Botross, que va-t-il donc faire ?
Antoine-Serge KARAMAOUN
07 h 53, le 08 octobre 2013