Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis mardi une riposte "violente" si Damas attaquait le territoire israélien, alors que les États-Unis et plusieurs capitales européennes envisagent une intervention en Syrie.
"L'État d'Israël est préparé à toute éventualité", a dit M. Netanyahu dans un communiqué à l'issue de consultations sur la situation en Syrie. "Nous ne sommes pas partie prenante dans la guerre civile en Syrie, mais si nous détectons une tentative de nous faire du mal, nous réagirons, et riposterons violemment", a-t-il affirmé.
Les remarques du Premier ministre israélien surviennent alors que le régime syrien a promis mardi de se défendre contre une frappe internationale qui semble imminente.
Les Etats-Unis et leurs alliés semblent de plus en plus déterminés à lancer une frappe en Syrie, après une attaque chimique présumée près de Damas le 21 août dont l'opposition et plusieurs capitales accusent le régime syrien.
Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a assuré pour sa part mardi que son pays disposait de "moyens de défense qui vont surprendre".
Selon lui, une intervention militaire "servira les intérêts d'Israël et en deuxième lieu du Front al-Nosra", groupe armé jihadiste combattant avec les rebelles syriens et qui a prêté allégeance à Al-Qaïda.
Les forces armées américaines sont "prêtes" pour une action militaire en Syrie si le président Barack Obama donne son aval, a déclaré mardi à la BBC le secrétaire à la Défense Chuck Hagel, affirmant que les Etats-Unis allaient bientôt présenter des preuves de l'usage par le régime de Bachar al-Assad d'armes chimiques.
En Israël, la population se hâtait de s'équiper en masques à gaz. "Depuis le début de la semaine (démarrant le dimanche en Israël, ndrl), il y a eu quatre fois plus d'appels que d'habitude vers notre centre de renseignements, une augmentation significative", a déclaré à l'AFP une porte-parole des services postaux israéliens, qui distribuent les masques à gaz.
"L'État d'Israël est préparé à toute éventualité", a dit M. Netanyahu dans un communiqué à l'issue de consultations sur la situation en Syrie. "Nous ne sommes pas partie prenante dans la guerre civile en Syrie, mais si nous détectons une tentative de nous faire du mal, nous réagirons, et riposterons violemment", a-t-il affirmé.
Les remarques du Premier ministre israélien surviennent alors que le régime syrien a promis mardi de se défendre contre une frappe internationale qui semble imminente.
Les Etats-Unis et leurs alliés semblent de plus en plus déterminés à lancer une frappe en Syrie, après une attaque chimique présumée près de Damas le 21 août dont l'opposition et plusieurs capitales accusent le régime syrien.
Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a assuré pour sa part mardi que son pays disposait de "moyens de défense qui vont surprendre".
Selon lui, une intervention militaire "servira les intérêts d'Israël et en deuxième lieu du Front al-Nosra", groupe armé jihadiste combattant avec les rebelles syriens et qui a prêté allégeance à Al-Qaïda.
Les forces armées américaines sont "prêtes" pour une action militaire en Syrie si le président Barack Obama donne son aval, a déclaré mardi à la BBC le secrétaire à la Défense Chuck Hagel, affirmant que les Etats-Unis allaient bientôt présenter des preuves de l'usage par le régime de Bachar al-Assad d'armes chimiques.
En Israël, la population se hâtait de s'équiper en masques à gaz. "Depuis le début de la semaine (démarrant le dimanche en Israël, ndrl), il y a eu quatre fois plus d'appels que d'habitude vers notre centre de renseignements, une augmentation significative", a déclaré à l'AFP une porte-parole des services postaux israéliens, qui distribuent les masques à gaz.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis mardi une riposte "violente" si Damas attaquait le territoire israélien, alors que les États-Unis et plusieurs capitales européennes envisagent une intervention en Syrie."L'État d'Israël est préparé à toute éventualité", a dit M. Netanyahu dans un communiqué à l'issue de consultations sur la situation en Syrie. "Nous ne...
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