Le sort d’une réfugiée syrienne enlevée toujours inconnu
OLJ /
le 22 août 2013 à 00h17
Imane Adib Moussalli, une mère de famille syrienne réfugiée au Liban avec ses proches, a disparu samedi dernier alors qu’elle se rendait de la maison où elle réside dans le village de Mouannasa, Jabal Akroum (Akkar), au dispensaire al-Rahmé à Tripoli pour y suivre un traitement. Son mari a reçu un coup de fil d’une cabine téléphonique (un numéro portant le code régional 04) d’un individu lui demandant une rançon de 100 mille dollars pour la libérer. Une enquête a été ouverte par les forces de l’ordre pour tenter de retrouver sa trace. La famille d’Imane tout comme le vice-président du conseil municipal de Mouannasa, Hassan Hamido, ont lancé un appel aux ravisseurs, leur demandant d’épargner la jeune femme qui vit en réfugiée au Liban, et dont les proches dépendent des aides et n’ont aucune fortune personnelle leur permettant de payer une telle rançon. À noter qu’Imane est mère de quatre enfants, dont l’un est handicapé et un autre un nourrisson n’ayant pas dépassé les trois mois. Les enlèvements sont devenus monnaie courante au Liban. Plusieurs otages ont été libérés après paiement de rançons.
Imane Adib Moussalli, une mère de famille syrienne réfugiée au Liban avec ses proches, a disparu samedi dernier alors qu’elle se rendait de la maison où elle réside dans le village de Mouannasa, Jabal Akroum (Akkar), au dispensaire al-Rahmé à Tripoli pour y suivre un traitement. Son mari a reçu un coup de fil d’une cabine téléphonique (un numéro portant le code régional 04) d’un...
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