Le président de l’association Life, l’avocat Nabil Halabi, a publié hier des observations recueillies auprès des habitants de Saïda, évoquant « la participation de groupes armés relevant du Hezbollah et du mouvement Amal au combat contre le groupe d’Ahmad el-Assir », sachant que le commandement de l’armée a démenti cette information.
« Les habitants ont accusé des partisans de participer aux perquisitions et aux arrestations, évoquant également des opérations de vol et des expressions à caractère confessionnel les accompagnant, souligne l’association Life dans un communiqué. Nous n’avons pu confirmer ces informations, mais nous avons reçu plusieurs photos d’éléments armés portant l’uniforme militaire avec un ruban jaune au bras et perquisitionnant des immeubles connus à Abra, relève Nabil Halabi. Nous détenons aussi des informations sur l’existence des véhicules observés lors des arrestations, garés à l’intérieur du centre religieux az-Zahrani au sud de Saïda, relevant de cheikh Naboulsi, proche du Hezbollah. Bien que non confirmées, ces informations devraient conduire à une enquête judiciaire sérieuse », précise le communiqué, appelant en outre le commandement de l’armée à « sanctionner les militaires qui ont maltraité les personnes arrêtées, les rouant de coups, sachant que plusieurs d’entre elles s’étaient livrées à l’armée sans manifester de résistance ».
L’association a appelé surtout le commandement de l’armée à « dévoiler les noms des détenus afin de faciliter les recherches de ceux qui sont portés disparus depuis la fin des incidents ». Nabil Halabi a dénoncé dans ce cadre « l’interdiction imposée pendant de longues heures par l’armée aux véhicules de la Défense civile d’évacuer les blessés et les civils lors des accrochages ». « Cette interdiction a été levée suite à des médiations politiques, mais l’armée a retenu plusieurs hommes dans les quartiers chauds, qui avaient pourtant sollicité l’aide de l’institution militaire, relève-t-il. Le sort de ces hommes reste inconnu. L’on compte parmi eux des employés de la coopérative Bsat et plusieurs ouvriers syriens qui s’étaient abrités à l’entrée des immeubles ».
« Les habitants ont accusé des partisans de participer aux perquisitions et aux arrestations, évoquant également des opérations de vol et des expressions à caractère confessionnel les accompagnant, souligne l’association Life dans un communiqué. Nous n’avons pu confirmer ces informations, mais nous avons reçu plusieurs photos d’éléments armés portant l’uniforme militaire avec un ruban jaune au bras et perquisitionnant des immeubles connus à Abra, relève Nabil Halabi. Nous détenons aussi des informations sur l’existence des véhicules observés lors des arrestations, garés à l’intérieur du centre religieux az-Zahrani au sud de Saïda, relevant de cheikh Naboulsi, proche du Hezbollah. Bien que non confirmées, ces informations devraient conduire à une enquête judiciaire sérieuse », précise le communiqué, appelant en outre le commandement de l’armée à « sanctionner les militaires qui ont maltraité les personnes arrêtées, les rouant de coups, sachant que plusieurs d’entre elles s’étaient livrées à l’armée sans manifester de résistance ».
L’association a appelé surtout le commandement de l’armée à « dévoiler les noms des détenus afin de faciliter les recherches de ceux qui sont portés disparus depuis la fin des incidents ». Nabil Halabi a dénoncé dans ce cadre « l’interdiction imposée pendant de longues heures par l’armée aux véhicules de la Défense civile d’évacuer les blessés et les civils lors des accrochages ». « Cette interdiction a été levée suite à des médiations politiques, mais l’armée a retenu plusieurs hommes dans les quartiers chauds, qui avaient pourtant sollicité l’aide de l’institution militaire, relève-t-il. Le sort de ces hommes reste inconnu. L’on compte parmi eux des employés de la coopérative Bsat et plusieurs ouvriers syriens qui s’étaient abrités à l’entrée des immeubles ».
Le président de l’association Life, l’avocat Nabil Halabi, a publié hier des observations recueillies auprès des habitants de Saïda, évoquant « la participation de groupes armés relevant du Hezbollah et du mouvement Amal au combat contre le groupe d’Ahmad el-Assir », sachant que le commandement de l’armée a démenti cette information. « Les habitants ont accusé des partisans...
L'armée n'a rien vu et rien entendu, COMME LE 7 MAI 2013. L'armée est aveugle quand il s'agit du Hezbollah . L'idiot de Kassir est tombé dans le piège du Hezbollah préparé avec l'appui de certains éléments de l'armée.
14 h 01, le 27 juin 2013