Le secrétariat général, hier, au cours de sa réunion à Achrafieh. Photo Hassan Assal
Le secrétariat général du 14 Mars a exigé hier « le retrait total et immédiat du Hezbollah et de ses combattants du territoire syrien », pour empêcher une détérioration plus grave de la situation, qui a déjà commencé dans la région du Hermel et « qui peut affecter les villes et villages du Liban dans son ensemble ».
Réuni hier à Achrafieh sous la présidence de son coordonnateur, Farès Souhaid, le secrétariat a de nouveau condamné « l’implication du Hezbollah dans les combats en Syrie à la demande de Téhéran et dans le but de protéger le régime syrien ». « Ce faisant, il ouvre grand la voie à une discorde confessionnelle sunnito-chiite, contre laquelle il met en garde au plan verbal, mais pour laquelle il œuvre sur le terrain » et qui menace non seulement le Liban, mais la région toute entière, a estimé le 14 Mars. Le secrétariat général a également mis en garde contre « la fierté avec laquelle le Hezbollah affirme se battre en Syrie », estimant que cela laissera des blessures profondes dans les relations libano-syriennes et parmi les habitants de la Békaa, et tout particulièrement de Baalbeck-Hermel.
Le secrétariat a également condamné les nouvelles violations de souveraineté à la frontière nord et est du pays en provenance de Syrie, et a encore une fois appelé au déploiement de l’armée libanaise le long de la frontière libano-syrienne avec le soutien des forces internationales conformément à la résolution 1701. « Toute atteinte (...) à la sécurité du pays constitue une ligne rouge quelle que soit la source à l’origine de cette atteinte, les forces d’Assad (...), l’Armée syrienne libre ou autre », a souligné le secrétariat dans son communiqué.
Il a enfin renouvelé son soutien au Premier ministre désigné Tammam Salam dans sa mission de formation du nouveau cabinet « d’intérêt national », appelant ce dernier à « ne céder à aucune pression et à continuer à œuvrer en fonction de la confiance qu’il a obtenue de la part de toutes les parties et à partir du cadre qu’il s’est fixé lui-même dans ses concertations avec le président de la République ».
Réuni hier à Achrafieh sous la présidence de son coordonnateur, Farès Souhaid, le secrétariat a de nouveau condamné « l’implication du Hezbollah dans les combats en Syrie à la demande de Téhéran et dans le but de protéger le régime syrien ». « Ce faisant, il ouvre grand la voie à une discorde confessionnelle sunnito-chiite, contre laquelle il met en garde au plan verbal, mais pour laquelle il œuvre sur le terrain » et qui menace non seulement le Liban, mais la région toute entière, a estimé le 14 Mars. Le secrétariat général a également mis en garde contre « la fierté avec laquelle le Hezbollah affirme se battre en Syrie », estimant que cela laissera des blessures profondes dans les relations libano-syriennes et parmi les habitants de la Békaa, et tout particulièrement de Baalbeck-Hermel.
Le secrétariat a également condamné les nouvelles violations de souveraineté à la frontière nord et est du pays en provenance de Syrie, et a encore une fois appelé au déploiement de l’armée libanaise le long de la frontière libano-syrienne avec le soutien des forces internationales conformément à la résolution 1701. « Toute atteinte (...) à la sécurité du pays constitue une ligne rouge quelle que soit la source à l’origine de cette atteinte, les forces d’Assad (...), l’Armée syrienne libre ou autre », a souligné le secrétariat dans son communiqué.
Il a enfin renouvelé son soutien au Premier ministre désigné Tammam Salam dans sa mission de formation du nouveau cabinet « d’intérêt national », appelant ce dernier à « ne céder à aucune pression et à continuer à œuvrer en fonction de la confiance qu’il a obtenue de la part de toutes les parties et à partir du cadre qu’il s’est fixé lui-même dans ses concertations avec le président de la République ».
Le secrétariat général du 14 Mars a exigé hier « le retrait total et immédiat du Hezbollah et de ses combattants du territoire syrien », pour empêcher une détérioration plus grave de la situation, qui a déjà commencé dans la région du Hermel et « qui peut affecter les villes et villages du Liban dans son ensemble ».Réuni hier à Achrafieh sous la présidence de son...