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Liban

Reconnaissance, relecture, continuité

Le père Daccache a construit son discours autour des trois devoirs de reconnaissance, de relecture et de continuité de la mission universitaire. Le devoir de reconnaissance passe par de nombreuses personnalités civiles et ecclésiastiques qui ont façonné l’USJ et lui ont permis de croître et de porter ses fruits. Pour beaucoup de nos lecteurs, ces noms ne diraient rien, mais ce n’est certainement pas le cas pour les noms de Paul Huvelin ni celui du père jésuite Ambroise Monnot, qui ont donné leurs noms à nos rues. Ambroise Monnot fut en particulier l’homme à qui l’on doit l’achat du terrain sur lequel furent construits les bâtiments qui deviendront l’Université Saint-Joseph et son collège secondaire. Malgré le fait qu’il ne connaissait pas l’anglais, ce pionnier réussit auprès des catholiques des États-Unis à collecter entre 1871 et 1875 plusieurs millions de dollars à cette fin. « Il faut être jésuite pour le faire », a ajouté avec humour le père Daccache, en lisant son texte.
Le devoir de relecture s’inscrit dans une constante de la pédagogie ignatienne, a précisé le recteur. Relire l’histoire de l’USJ, c’est retrouver les six objectifs recherchés par la génération des fondateurs : le service de la jeunesse, la constitution d’un corps de professionnels, la promotion de la société et de son développement, le service du bien commun et public, la défense du catholicisme et de la foi catholique, l’expansion de la francophonie et le service des pays du Proche-Orient.
Le père Daccache a construit son discours autour des trois devoirs de reconnaissance, de relecture et de continuité de la mission universitaire. Le devoir de reconnaissance passe par de nombreuses personnalités civiles et ecclésiastiques qui ont façonné l’USJ et lui ont permis de croître et de porter ses fruits. Pour beaucoup de nos lecteurs, ces noms ne diraient rien, mais ce...

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