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Liban

Poursuites contre dix personnes, dont Mawlaoui, pour appartenance à un groupe armé

Le commissaire du gouvernement près le tribunal militaire, le magistrat Sakr Sakr, a engagé hier des poursuites contre dix personnes, dont Chadi Mawlaoui, pour appartenance à un groupe armé ayant pour but de mener des actes terroristes.
Le juge Sakr les a aussi accusés de transporter des armes et des matières explosives entre le Liban et la Syrie. Ils ont été déférés devant le premier juge d’instruction militaire, Riad Abou Ghida.
Selon des sources citées par la chaîne télévisée LBCI, l’un des accusés, Ali Amine Khaled, a avoué que le groupe travaillait en coordination avec Oussama el-Chababi à Aïn el-Héloué.
De son côté, Chadi Mawlaoui a expliqué à la LBCI, lors d’un appel téléphonique, que « les forces de sécurité sont au courant de tous ses mouvements ». Il a ajouté qu’il « n’a pas confiance dans la justice libanaise et que de nouvelles poursuites contre lui sont inutiles ». Chadi Mawlaoui a en outre affirmé au site d’information en ligne, Now Lebanon, qu’il « ne se rendra pas à la justice ».
Le commissaire du gouvernement près le tribunal militaire, le magistrat Sakr Sakr, a engagé hier des poursuites contre dix personnes, dont Chadi Mawlaoui, pour appartenance à un groupe armé ayant pour but de mener des actes terroristes.Le juge Sakr les a aussi accusés de transporter des armes et des matières explosives entre le Liban et la Syrie. Ils ont été déférés devant le premier...

commentaires (2)

LA LOI EST " LA LOI " lorsqu'elle s'applique à tous IMPARTIALEMENT ! Sinon, c'est la PAGAILLE !

SAKR LEBNAN

10 h 37, le 16 mars 2013

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Commentaires (2)

  • LA LOI EST " LA LOI " lorsqu'elle s'applique à tous IMPARTIALEMENT ! Sinon, c'est la PAGAILLE !

    SAKR LEBNAN

    10 h 37, le 16 mars 2013

  • Et les combattants du Hezbollah, qui se déplacent armés jusqu'au cou entre la Syrie et le Liban et font leur grand "jihad" au champ de bataille Homs-Qousseir, appartiennet-ils à un groupe armé ? L'Etat et sa justice ont-ils jamais osé leur adresser la parole et demandé : vénérables, que faîtes-vous ?

    Halim Abou Chacra

    04 h 57, le 16 mars 2013

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