Durant une réunion du Rassemblement national pour l’élimination de tout genre de discrimination contre la femme, tenue hier à Beyrouth, la campagne a commenté « la décision de la commission ministérielle chargée d’étudier l’amendement de la loi sur la nationalité, qui a une fois de plus ajourné l’examen de l’affaire, se contentant d’apporter quelques améliorations aux services préférentiels, notamment les conditions de travail et de séjour ». « Comme si les autorités ne considèrent la femme que comme une citoyenne de seconde zone », poursuit le communiqué.
Une fois de plus, la campagne sur la nationalité a demandé « l’amendement du premier article de la loi sur la nationalité, de manière à donner à l’homme et la femme le même droit de transmettre leur nationalité aux enfants » nés d’un conjoint étranger.
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