Il faut fournir aux rebelles syriens du matériel antichar et antiaérien afin qu’ils puissent « lutter à armes égales » avec les forces de Bachar el-Assad, a estimé hier un membre de la famille royale saoudienne. « Je ne suis pas au gouvernement, je n’ai donc pas à faire preuve de diplomatie (...) Il faut pouvoir lutter à armes égales. La plupart des armes dont disposent les rebelles viennent de stocks syriens qu’ils ont saisis et de déserteurs venus avec leurs propres armes », a ainsi déclaré le prince Tourki al-Fayçal lors du Forum de Davos, ajoutant que « ce qu’il faut, ce sont des armes sophistiquées, de haut niveau, qui permettent d’abattre des avions et de détruire des blindés à distance. Et cela ne leur parvient pas ».
Le prince, ancien chef des services de renseignements et frère du ministre des Affaires étrangères, a en outre estimé que les puissances étrangères disposaient désormais de suffisamment d’informations pour choisir les organisations rebelles qu’elles souhaitent armer.
Le prince, ancien chef des services de renseignements et frère du ministre des Affaires étrangères, a en outre estimé que les puissances étrangères disposaient désormais de suffisamment d’informations pour choisir les organisations rebelles qu’elles souhaitent armer.
Il faut fournir aux rebelles syriens du matériel antichar et antiaérien afin qu’ils puissent « lutter à armes égales » avec les forces de Bachar el-Assad, a estimé hier un membre de la famille royale saoudienne. « Je ne suis pas au gouvernement, je n’ai donc pas à faire preuve de diplomatie (...) Il faut pouvoir lutter à armes égales. La plupart des armes dont disposent les...
Son tour arrivera et on verra si son souhait sera le meme pour la bensaoudie, pays exemplaire en democrazy. Peut il nous dire de qui parlait abdallah de jordanie a davos quand il disait que alqaida etait finance par un pays etranger, de qui s'agit il ??
17 h 23, le 27 janvier 2013