Monsieur Bassil, dégagez !
Vous rendez-vous compte, Monsieur Gebran Bassil (j’élimine le titre de ministre que vous ne méritez vraiment pas), que la majorité des habitants de ce pays vous maudit du matin au soir ?
Et vous savez très bien pourquoi : vos promesses de nous assurer le courant électrique n’ont jamais été tenues ! En cette période de plein hiver, comme d’ailleurs en plein été, les coupures de courant sont de plus en plus fréquentes, mais cela ne semble nullement perturber votre quiétude. Et tout ce que vous savez faire, c’est nous abreuver de vos déclarations insipides et rejeter la faute sur les « autres ».
Franchement, à votre place, j’irai me cacher, honteux, et je laisserai ma place à quelqu’un capable de faire quelque chose pour le bien du pays et de ses concitoyens.
Irène SAÏD
Espoir d’une année meilleure
En ce début de l’an 2013, nos regards sont tournés vers nos responsables qui doivent réparer leurs erreurs ayant causé l’affaiblissement de nos institutions étatiques. Il est d’ailleurs aberrant d’assister encore à leurs zizanies qui bloquent les chances de déboucher sur un modus vivendi qui dissiperait la tension persistante entre les différents partis. Pensent-ils et agissent-ils uniquement en bons citoyens libanais, dans l’intérêt du pays et de ses habitants ?
Face aux dérapages, ils devraient ouvrir un peu plus les yeux et faire travailler leur matière grise.
Pour ce faire, le mot « dialogue », devenu un refrain vidé de tout sens, ne doit plus être pris à la légère. Il doit être entamé au plus vite, basé (sous dérogation) sur les normes de notre Constitution, tout en aplanissant les fractures confessionnelles afin de renforcer l’entente intercommunautaire. C’est bien au Liban que le printemps arabe a pris naissance au nom de la liberté et de la démocratie. Prouvons notre attachement à notre pays en écartant tous les obstacles, dans l’unique but de préserver, au sein du Moyen-Orient, son image de terre tant admirée pour sa beauté et son hospitalité.
Bonne année malgré tout à tous les Libanais de bonne foi et surtout de bonne volonté !
Hilda DADOURIAN
Vous rendez-vous compte, Monsieur Gebran Bassil (j’élimine le titre de ministre que vous ne méritez vraiment pas), que la majorité des habitants de ce pays vous maudit du matin au soir ? Et vous savez très bien pourquoi : vos promesses de nous assurer le courant électrique n’ont jamais été tenues ! En cette période de plein hiver, comme...
commentaires (0)
Commenter