Que Jennifer Lopez choisisse le couturier Zuhair Murad pour sa tournée mondiale, rien d’exceptionnel à cela : la chanteuse internationale est l’une de ses plus grandes admiratrices et elle l’a prouvé maintes fois sur le tapis rouge. En revanche, réaliser les costumes de celle qui met le feu à la scène avec ses chorégraphies endiablées était un challenge, comme me l’a confié le couturier libanais lors de son passage à Paris. La collaboration s’est faite simplement, sur un coup de fil, et le couturier ne cache pas sa joie : « Jennifer Lopez est une amie, mais j’ai été très touché par sa confiance. »
Malgré l’armada de collaborateurs toujours présents, il a eu une grande liberté pour réaliser les tenues de cette tournée mondiale. Zuhair Murad n’hésite pas à me parler de ses premières appréhensions : « Ce n’est pas quelque chose qu’on fait tous les jours dans une carrière de couturier. » L’artiste recherchait l’esprit des années 1920, « le vieux Hollywood », elle lui a aussi transmis les textes des chansons qu’elle interprétera sur scène, et c’est avec ces informations que le couturier a dessiné les premières esquisses des robes qui l’habilleront sur scène... Une fois les dessins validés par l’équipe de stylistes – « Jennifer Lopez est très à l’écoute de chacun et respecte le travail de ses collaborateurs » –, les petites mains de l’atelier beyrouthin se sont mises à l’ouvrage et très rapidement, le couturier s’est rendu à Los Angeles, la cité des anges, pour la séance d’essayage. Une séance de travail qu’il décrit comme « extraordinaire et effectuée dans la bonne humeur ». Elle a plébiscité chacune de ses créations et a entraîné le créateur libanais dans une chorégraphie improvisée. « C’était drôle de danser avec elle », commente Zuhair Murad, le sourire aux lèvres.
Une collaboration des plus étroites s’est alors installée et c’est elle qui a suggéré l’idée de faire des tenues qui se détachent et se dévoilent au fur et à mesure. Chacune des tenues se révèle donc plurielle : « Elle arrive sur scène avec ce qu’on pourrait croire une longue robe et à la fin de la chanson, elle se retrouve avec un justaucorps ! »
Réaliser un costume de scène est très différent d’une robe destinée au tapis rouge. L’artiste danse sur scène, certaines matières rigides sont donc à bannir. « Il faut qu’elle puisse bouger dans ses vêtements », précise le couturier libanais. Le choix des couleurs est évidemment important. « Un pastel a un effet pauvre sur scène », dit- t-il, avant de préciser qu’il a choisi des couleurs fortes comme le doré, le rouge, le blanc, le bleu, le noir et les indispensables paillettes « pour que Jennifer brille sur scène » !
Un seul bémol à cette étroite collaboration : aucune photo capturée pour immortaliser la séance d’essayage. « Une erreur monumentale ! » avoue-t-il, mais la faute est au bonheur...
Malgré l’armada de collaborateurs toujours présents, il a eu une grande liberté pour réaliser les tenues de cette tournée mondiale. Zuhair Murad n’hésite pas à me parler de ses premières appréhensions : « Ce n’est pas quelque chose qu’on fait tous les jours dans une carrière de couturier. » L’artiste recherchait l’esprit des années 1920, « le vieux Hollywood », elle lui a aussi transmis les textes des chansons qu’elle interprétera sur scène, et c’est avec ces informations que le couturier a dessiné les premières esquisses des robes qui l’habilleront sur scène... Une fois les dessins validés par l’équipe de stylistes – « Jennifer Lopez est très à l’écoute de chacun et respecte le travail de ses collaborateurs » –, les petites mains de l’atelier beyrouthin se sont mises à l’ouvrage et très rapidement, le couturier s’est rendu à Los Angeles, la cité des anges, pour la séance d’essayage. Une séance de travail qu’il décrit comme « extraordinaire et effectuée dans la bonne humeur ». Elle a plébiscité chacune de ses créations et a entraîné le créateur libanais dans une chorégraphie improvisée. « C’était drôle de danser avec elle », commente Zuhair Murad, le sourire aux lèvres.
Une collaboration des plus étroites s’est alors installée et c’est elle qui a suggéré l’idée de faire des tenues qui se détachent et se dévoilent au fur et à mesure. Chacune des tenues se révèle donc plurielle : « Elle arrive sur scène avec ce qu’on pourrait croire une longue robe et à la fin de la chanson, elle se retrouve avec un justaucorps ! »
Réaliser un costume de scène est très différent d’une robe destinée au tapis rouge. L’artiste danse sur scène, certaines matières rigides sont donc à bannir. « Il faut qu’elle puisse bouger dans ses vêtements », précise le couturier libanais. Le choix des couleurs est évidemment important. « Un pastel a un effet pauvre sur scène », dit- t-il, avant de préciser qu’il a choisi des couleurs fortes comme le doré, le rouge, le blanc, le bleu, le noir et les indispensables paillettes « pour que Jennifer brille sur scène » !
Un seul bémol à cette étroite collaboration : aucune photo capturée pour immortaliser la séance d’essayage. « Une erreur monumentale ! » avoue-t-il, mais la faute est au bonheur...
Que Jennifer Lopez choisisse le couturier Zuhair Murad pour sa tournée mondiale, rien d’exceptionnel à cela : la chanteuse internationale est l’une de ses plus grandes admiratrices et elle l’a prouvé maintes fois sur le tapis rouge. En revanche, réaliser les costumes de celle qui met le feu à la scène avec ses chorégraphies endiablées était un challenge, comme me l’a confié le...
