"Il est responsable des morts, de la violence et de l'oppression qui engloutissent la Syrie et ses vaines promesses de réformes ne trompent personne", a déclaré le chef de la diplomatie britannique dans un message posté sur Twitter.
En début de matinée, le Premier ministre britannique David Cameron avait réaffirmé que le président syrien devait s'en aller.
"+Partez+: voilà mon message à Assad", avait déclaré le chef du gouvernement sur la chaîne BBC 1. "La quantité de sang qu'il a sur les mains est vraiment impensable", avait-il souligné.
Dans sa première allocution en sept mois, le président syrien Bachar al-Assad a affirmé que toute transition passerait par les urnes, appelant à un "dialogue national" sous l'égide du gouvernement actuel, après la fin des opérations militaires.
M. Assad s'est montré inflexible, affirmant que le conflit dans son pays qui a fait, selon l'ONU, plus de 60.000 morts, n'opposait pas le pouvoir et l'opposition mais "la patrie et ses ennemis".
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