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Moyen Orient et Monde

Hillary Clinton hors de cause concernant Benghazi

L’ancien ambassadeur Thomas Pickering et l’amiral Mike Mullen, ancien chef d’état-major interarmes, les deux présidents de la commission d’enquête indépendante sur l’attaque du consulat américain de Benghazi, qui a coûté la vie le 11 septembre à l’ambassadeur des États-Unis en Libye, ont déclaré que la responsabilité de Hillary Clinton n’était pas engagée. Le département d’État a d’ailleurs annoncé la démission d’Eric Boswell, secrétaire d’État adjoint pour la Sécurité diplomatique. Trois autres responsables, dont l’identité n’a pas été révélée, ont été relevés de leurs fonctions et placés en congé administratif.
Selon le rapport de la commission d’enquête, le dispositif de sécurité au consulat américain de Benghazi était « extrêmement inadapté » au moment de l’attaque, en raison de failles structurelles dans le fonctionnement du département d’État. Il pointe de manière cinglante des faiblesses de « leadership et de gestion » dans deux services du département d’État, une mauvaise coordination entre responsables et une « véritable confusion » à Washington et sur le terrain sur la répartition des responsabilités en matière de prise de décision.
Cette évaluation ternit le bilan des quatre années passées par Hillary Clinton au poste de secrétaire d’État qui, toujours malade, reste interdite d’avion jusqu’à la mi-janvier. M. Reines avait révélé samedi que Mme Clinton souffrait d’une « commotion cérébrale » après un malaise la semaine dernière consécutif à une « déshydratation extrême ».
L’ancien ambassadeur Thomas Pickering et l’amiral Mike Mullen, ancien chef d’état-major interarmes, les deux présidents de la commission d’enquête indépendante sur l’attaque du consulat américain de Benghazi, qui a coûté la vie le 11 septembre à l’ambassadeur des États-Unis en Libye, ont déclaré que la responsabilité de Hillary Clinton n’était pas engagée. Le...

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